Wonder Woman (1977-1978) (saison 02): Résumé des épisodes 16 à 20

La saison 02 de la série télé Wonder Woman arrivent aussi bientôt à sa fin, Retrouvez aujourd’hui les résumés et aperçus des cinq avant derniers d’épisodes de cette saison 02.

Wonder Woman (1977-1978) (s02x16): Un diamant pour Wonder Woman.

Résumé: Après avoir été la cible du tueur Woodward Nightingale, Diana apprend que le prochain contrat concerne le milliardaire Carlo Indrezzano. Elle devient donc son garde du corps par l’intermédiaire de Wonder Woman. Mais après plusieurs tentatives ratées, Nightingale décide d’engager un tueur inconnu spécialiste du déguisement.

Note:

  • Troisième apparition d’Eve.

Wonder Woman (1977-1978) (s02x17): Le maître des ordinateurs.

Résumé: Les mémoires des ordinateurs les plus puissants du monde ont été enlevées par un seul et même scientifique, Bernard Havitol. Pour le retrouver, Diana va utiliser le petit robot Rover pour remonter la piste du professeur fou.

Note:

  • L’histoire a de fortes similitudes avec l’épisode Le Minotaure (s01x03) de la série Le Nouvel Homme invisible. L’acteur jouant le scientifique fou est d’ailleurs le même, Ross Martin.

Wonder Woman (1977-1978) (s02x18): Vol pour l’oubli.

Résumé: Steve et Diana infiltrent la base aérienne de San Remo afin de surveiller le bon déroulement des essais du nouvel avion, le Z-400. La base est aussi sous les projecteurs avec l’arrivée d’un concert de rock supervisée par le manager Edmund Dante. Mais en fait, il s’agit d’une couverture pour saboter l’appareil.


Wonder Woman (1977-1978) (s02x19): Séance de terreur.

Résumé: Alors qu’une importante conférence pour la paix doit se tenir, de nombreux dignitaires étrangers sont approchés par un jeune homme faisant des polaroïds de personnes proches décédées. L’adolescent, Matthew est sous l’influence d’escrocs qui veulent faire de l’argent en faisant du chantage aux émissaires étrangers.

Notes:

  • Quatrième apparition d’Eve.

Wonder Woman (1977-1978) (s02x20): Formule secrète.

Résumé: Alors qu’il nettoie comme d’habitude le laboratoire dont il est responsable, Alan, un employé de ménage mélange par accident plusieurs ingrédients qui explosent. Le directeur de la compagnie qui l’emploie et des concurrents veulent connaître la formule de l’explosif. Diana est envoyée pour le protéger des éventuels criminels.

Note:

  • Cinquième et dernière apparition d’Eve.

ATTENTION: Je ne fais et ne propose AUCUNE COPIE d’épisode ni de quoi que ce soit, merci de ne pas me contacter à ce sujet car je ne répondrai pas.

L’Homme qui tombe à pic (1982-1983) (saison 02): Résumé des épisodes 16 à 20

Nous voilà presque à la fin de la saison 02 de la séries télé L’Homme qui tombe à pic avec les résumés et aperçus des cinq avant derniers épisodes de la saison.

L’homme qui tombe à pic (1982-1983) (s02x16): Une pluie de dollars.

Résumé: Colt et Howie sont en train de filmer des cascades pour un film de guerre dans une petite ville paisible lorsque toute la tranquillité est brisée par des « extraterrestres » envahissant la ville dans un OVNI en forme de soucoupe, qui cambriolent la banque de la ville et kidnappent Jody. Colt a du pain sur la planche pour démêler le mystère après avoir été accusé à tort du cambriolage et détenu par la police de la ville.


L’homme qui tombe à pic (1982-1983) (s02x17): Alerte à la blonde.

Résumé: Une femme qui a été arrêtée pour un hold-up fait kidnapper Jody par son complice pour forcer Terri à la faire libérer sous caution. Colt sait qu’elle va essayer de prendre la fuite, alors il la suit tout en essayant de localiser Jody, tandis qu’elle tente de le semer.


L’homme qui tombe à pic (1982-1983) (s02x18): Le trésor du B25.

Résumé: Sur la piste d’un profanateur de tombes qui a fui au Panama à bord d’un B-25 de la Seconde Guerre mondiale volé, Colt et Howie font appel à l’aide d’un pilote vétéran au tempérament fougueux et sont rejoints par une enquêtrice en assurance séduisante mais peu sincère, qui s’intéresse également à l’avion.


L’homme qui tombe à pic (1982-1983) (s02x19): Un trafic peut en cacher un autre.

Résumé: Colt se rend en Caroline du Sud rural pour venir en aide à son ancienne petite amie Irene après que son mari a été assassiné et que son fils est devenu un fugitif, victime d’un homme d’affaires riche et malhonnête qui utilise l’opération de fabrication de moonshine locale comme couverture pour le trafic de cocaïne.


L’homme qui tombe à pic (1982-1983) (s02x20): PS: Je t’aime.

Résumé: Colt, avec l’aide d’une cascadeuse qui aime jouer les détectives, s’efforce de faire fermer un repaire de jeu illégal à Palm Springs afin d’innocenter un ami acteur qui a été accusé à tort de meurtre.

ATTENTION: Je ne fais et ne propose AUCUNE COPIE d’épisode ni de quoi que ce soit, merci de ne pas me contacter à ce sujet car je ne répondrai pas.

Mana Spark complete edition: Rogue & Roll (Nintendo Switch)

Le dernier jeu que j’ai acheté est Mana Spark: Complete Edition la encore sur Nintendo Switch.

Un RPG en dungeon-crawling utilisant les joysticks dans la même veine que The Binding of Isaac et Enter the Gungeon, en voilà une bonne idée ! C’est le projet ambitieux du petit développeur indépendant Behemutt, sortant sous le nom de Mana Spark. Dans ce monde lugubre, les humains sont faibles et les monstres utilisent une énergie, la mana, pour dominer les territoires, pillant les villages humains et les tuant sans distinction. Un beau jour, c’en est trop, et vous décidez de contre-attaquer pour le bien de la race humaine. Pour ce faire, vous allez établir un campement de rebelles et vous enfoncer profondément dans la tanière des monstres pour les anéantir et libérer les hommes de leurs chaînes.

L’histoire est ensuite un peu en retrait lorsque vous descendez les étages des donjons, vous débloquerez deux autres personnages et lirez quelques bribes de l’histoire, mais il est clair que le point majeur de ce jeu est son gameplay.

Dans votre quête pour vaincre tous les ennemis de l’humanité, vous incarnez un chasseur archer du nom d’Ellis, qui peut tirer des flèches en visant avec le joystick droit pour faire apparaître un réticule, et en tirant avec ZR. Le stick gauche est lui utilisé pour se déplacer, et comme tous les sticks shooters, il est un peu dur de maîtriser les contrôles au début. Enfin, le bouton ZL va permettre d’utiliser certains objets ou pouvoirs déblocables, et L de faire un dash pour accélérer un court instant. Le jeu se fait en vue du dessus, et vous progressez à travers les étages en exterminant tous les ennemis avant de descendre plus bas par le biais d’un escalier. Chaque étage est généré aléatoirement, tant dans l’apparition des monstres que dans l’ordre des salles, donc chaque partie va être un challenge différent. Mana Spark a été comparé à Dark Souls pour sa difficulté et pour l’utilisation d’un campement pour améliorer son personnage, mais la comparaison s’arrête ici. Il y a deux monnaies dans le jeu, tout d’abord les runes, qui sont remplies de mana, et qui peuvent être échangées dans votre camp pour des améliorations permanentes, de nouveaux talents, pour affaiblir les monstres, ou pour cuisiner de la nourriture donnant des bonus passifs, comme par exemple des vies en plus. C’est la ressource majeure du jeu, utilisée également pour rallier d’autres rebelles à votre cause dans votre campement.

En descendant toujours plus profondément dans les donjons, vous tomberez parfois dans une « salle étrange », à partir de laquelle vous pourrez envoyer les runes à votre campement, et ainsi ne pas toutes les perdre quand vous mourrez inévitablement. Car dans ce jeu, attendez vous à mourir sans cesse, et le seul moyen d’améliorer un peu votre sort est de collecter ces runes pour vous rendre plus fort. L’autre monnaie du jeu est constituée des pièces d’or, qui peuvent s’échanger pour des améliorations temporaires depuis les salles étranges. Les items trouvables ou à améliorer sont ce qui va vous faire rejouer indéfiniment, car vous verrez que vous serez extrêmement faible au début, à tel point qu’il vous sera très difficile de passer les premiers niveaux, mais la promesse de l’amélioration de votre humain va vous faire persévérer !

La musique de Mana Spark s’accorde très bien avec l’aventure, des thèmes orchestraux viennent remplir ce monde sordide d’une nouvelle dose de tristesse, donnant à chaque instant un sentiment de danger et de désolation. Bien qu’il n’y ait pas beaucoup de musiques différentes, elles tournent assez bien plus vous descendez les étages, et les bruitages sont tout autant satisfaisants.

Visuellement, le jeu utilise un style très pixelisé, de plutôt bonne facture mais qui n’est clairement pas ce que l’on fait de mieux, avec un nombre de jeux colossal au pixel art maîtrisé à la perfection, celui-ci ne sort pas du lot. Les décors et les fonds sont bien dessinés, mais ils se répètent souvent, et le manque d’un bestiaire conséquent signifie que vous verrez peu de nouveaux sprites en avançant toujours plus profondément dans les donjons. Les effets et les sortilèges sont par contre très bien réalisés, tirer plusieurs flèches à la fois ou utiliser des bombes par exemple est un plaisir pour les yeux.

Mana Spark va vous faire jouer pendant de longues heures, tant que vous êtes patient ! Vous enchaînerez les morts pour espérer gagner quelques runes et faire mieux à la partie suivante. Si l’on rajoute la génération aléatoire des niveaux aux éléments d’amélioration tirés des RPG, ce jeu est très vite addictif et les contrôles sont solides une fois que vous les maîtrisez. Petit bémol, les temps de chargement à chaque fois que vous descendez d’un niveau sont très longs, et pour un jeu où l’on meurt beaucoup et où il faut sans cesse recommencer c’est tout de même dommage. A côté de cela, Mana Spark ose des idées assez créatives, comme par exemple le fait que certains ennemis travaillent ensemble pour essayer de vous éliminer, ainsi des Gobelins peuvent grimper sur des loups et foncer droit sur vous.

Si vous arrivez à vaincre le premier boss, vous pourrez débloquer un deuxième personnage, puis un autre un peu plus loin, chacun maniant soit une arbalète, soit une épée, ce qui vient diversifier le gameplay, et vous pourrez choisir celui que vous préférez entre chaque partie pour essayer d’arriver le plus loin possible.

La version que j’ai acheté est la Complete édition, qui en plus du jeu en lui même, est fourni avec son DLC Forgotten Crypts, en voici la description.

Un tout nouveau personnage:

Galiana est naturaliste et consacre sa vie à étudier les plantes et les animaux, notamment comment l’homme peut survivre grâce à leur aide. Elle attaque avec un boomerang qui marque les ennemis comme une cible pour son fidèle chien !

Nouveau scénario et nouveaux ennemis:

De nouveaux lieux dangereux des Forgotten Crypts sont à explorer ! Vous y rencontrerez des ennemis complètement inédits pour lesquels vous devrez adapter votre tactique.

Nouveau déverrouillable: Compétences:

Un nouveau PNJ nous a rejoint dans le campement. Il a de précieuses connaissances à partager sur de nouvelles techniques de combat.

Nouveaux objets:

Il y en avait déjà 31 et nous en ajoutons 21 de plus, dont certains font partie de nos favoris !

Nous espérons que cela ajoutera beaucoup de variété à votre aventure.

Mode coop local:

Vous pouvez maintenant explorer les donjons avec un ami ! Le joueur 2 contrôle le chien tandis que le joueur 1 contrôle l’un des 4 personnages. Ce n’est pas censé être un défi difficile, mais plutôt un bon moment à partager à deux !

Voici maintenant ma vidéo de gameplay qui vous fera découvrir le début du jeu.

Mana Spark: Complete Edition #01: Partie 01.

https://youtu.be/NG4oozepys8

Conclusion:

Si vous êtes fan des dungeon-crawlers, alors vous adorerez Mana Spark. Les combats sont complexes, les éléments de RPG en ce qui concerne les améliorations du personnage rendent l’aventure addictive malgré la frustration des morts très rapides au début. Ce jeu est indubitablement très complet, même si on regrettera le manque d’un bestiaire conséquent, et des temps de chargement trop longs. En dehors de cela, il ravira les fans du genre, et offre une belle courbe de progression pour ceux qui n’auraient jamais joué à un jeu de la sorte, la gestion de la puissance du personnage aidant.

Legend of the Skyfish: Moonwhale (Nintendo Switch)

Un autre jeu que j’ai acheté est Legend of the Skyfish comme vous vous en doutez sur Nintendo Switch.

The Legend of…:

Legend of the Skyfish nous présente les aventures de Petit Hameçon Rouge, au travers d’un introduction misant sur l’aspect « légendaire » très graphique, présentant son peuple et sa ville de pêcheurs. A l’origine, créatrice de prospérité et richesse, la pêche est au centre de l’activité humaine… mais l’homme, toujours égal à lui-même et rempli d’avidité, se met à pêcher toujours plus loin et toujours plus profond. provoquant le réveil d’une créature maléfique, Skyfish, seigneur des abysses… et bientôt des cieux. Créant une horde de mutants, la bête s’apprête à conquérir et briser tout ce qui fait l’univers paisible de notre héroïne, à commencer par la séparer de son frère et la jeter à l’eau. Sauvée par MoonWhale, gardienne des océans, elle devra affronter les mutants et Skyfish dans un ultime combat afin de retrouver son frère et sauver son peuple.

C’est un long chemin, c’est une belle histoire:

Legend of the Skyfish ne s’encombre pas de longs romans et nous propose de petits dialogues qui viendront présenter les 3 « mondes » que composent l’univers du jeu. Chacun d’eux sera donc introduit par des monologues de MoonWhale, qui va nous présenter les aspects fondamentaux du jeu, se débarrasser des gardiens mutants, éviter les pièges, résoudre les puzzles, détruire les totems disséminés dans chacun des 15 niveaux de chaque monde et affronter un boss à la fin de chacun d’eux.

Dans cette histoire nous serons accompagné de Fizyx, un petit poisson volant à l’allure de fée clochette, qui sera toujours prêt à nous alerter et nous guider.

Le chemin que nous allons parcourir se dévoile ainsi sous forme de 3 cartes successives composées d’îles et de petits tracés en pointillés les reliant, que nous traverserons à dos de baleine.

Les options du jeu sont pour ainsi dire peu nombreuses et permettront principalement de régler les volumes de la musique et des effets, voir les crédits et relire la cinématique d’intro. Les textes sont directement en français et excellemment traduits, ce qui est un bon point dont on oublie souvent l’importance.

Twin Stick canne à pêche:

Si de prime abord, Legend of the Skyfish fait naturellement penser à un bon vieux Zelda en 2D vu de dessus (Links Awakening, A link to the past, pour ne citer qu’eux) arborant ici un aspect livre d’illustrations / bandes dessinées, c’est au niveau de son gameplay et de sa progression que celui-ci va principalement se démarquer.

Cette progression n’est pas de type « semi monde ouvert » mais segmentée et il ne sera pas nécessaire de faire des allers-retours d’une zone à une autre, non. Linéarité avant tout. Le gameplay est là aussi légèrement différent car il mettra en exergue une « arme » principale, ou plutôt un instrument peu exploité en tant que tel dans le monde des jeux d’aventures, une canne à pêche 2.0 !

Pour ce faire, utilisez le stick droit pour viser (merci la petite ligne en pointillets et le magnétisme des cibles) puis appuyez sur le bouton R (ou ZR) pour lancer votre hameçon. La cible peut être de plusieurs natures. Il peut s’agir premièrement d’objets en or que vous pourrez attirer comme un gros cube, mais également des plaques en or posées au sol qui serviront cette fois-ci de réceptacle à vos sauts (au-dessus de la terre, de l’eau, des dangers… qu’importe !). Visez les et rejoignez-les dans l’instant !

Sur chaque île/niveau nous ferons la rencontre d’ennemis qu’il faudra frapper avec notre canne (A, B, X ou Y) pour les faire disparaître. Chacun d’eux a ses spécificités et sera plus ou moins facile à dégommer. On pourra également utiliser notre canne en mode grappin afin de les faire venir à nous et éviter une attaque à distance difficile à parer. Cela permettra également de les étourdir et pourquoi pas les « téléporter » directement dans un piège. Dans tous les cas, ceux-ci ne sont pas bien difficiles à occire et serviront avant tout de prétexte pour vous faire perdre du temps dans la résolution des puzzles.

Vos cibles peuvent être inaccessibles selon votre situation, trop loin par exemple, ou si des obstacles faits de pierres, d’arbres ou de feuillages vous séparent. Ils peuvent également être en mouvement et donc plus compliqués à viser (sic !).

Les îles seront parsemées de puzzles de progression et de pièges qui mettront en avant des principes classiques de gameplay, dalles de pression, grilles, leviers, timers, pics, fléchettes, déplacement de blocs, tourniquets, etc.

Mais… ce ne serait pas très original s’il n’y avait pas le gros changement provenant de la présence de notre fameuse canne à pêche qui va littéralement ajouter une nouvelle dimension à ces éléments connus et reconnus. Le fait de pouvoir les activer à distance par exemple mais aussi de se « téléporter » rapidement d’un endroit à l’autre et ainsi défier les lois de la physique et du temps.

Vous aurez l’occasion de découvrir de petits coffres cachés qui contiennent des améliorations pour votre capuche, votre canne et votre hameçon. A chaque nouvelle découverte une nouvelle possibilité vous est offerte. Equipez la version qui vous conviendra le mieux de chaque objet, plus de coeurs, plus de rapidité, fil plus long, effets différents sur les ennemis, furtivité, etc.

Une direction… très artistique:

Si le gameplay m’a beaucoup plu, il en est de même des graphismes et de l’accessibilité du jeu.

La direction artistique est extrêmement soignée et à mon goût. Elle est davantage dans le registre des livres anciens, gravures ou livres de contes. Cela ne plaira peut-être pas forcément à tout le monde. J’ai particulièrement apprécié cette ambiance, ces détails et animations comme les arbustes qui frétillent quand on passe dessus ou quand on les secoue avec notre canne ou encore les petites levées de poussière quand on court. Ce sont ces petits détails mis bout à bout qui rendent le beau, vivant.

La bande son est globalement agréable et bien dans le thème, bien qu’essentiellement composée de 2 ou 3 musiques. Les effets sont eux aussi particulièrement bien choisis.

Variété, simplicité, amusement, longévité:

Les niveaux sont variés, que ce soit par leur composition ou par la mise en place des éléments de décors, pièges et « chemins ». Les puzzles sont également accessibles et variés, bien mis en scène… et tout cela se densifie tranquillement avec l’avancée dans les mondes de Legend of the Skyfish. Les petites animations d’ouvertures de grilles qui figent le temps et déplacent la caméra pour montrer l’impact d’une action sont réellement utiles à la lisibilité de la progression des puzzles, ce qui plaira je pense au plus grand nombre.

Je n’ai trouvé aucun niveau particulièrement difficile. Même si certaines énigmes sont très bien pensées, elles ne sont pas conçues pour frustrer le joueur mais pour lui donner un sentiment de satisfaction permanent. Seules les portions comportant de très nombreux pièges et des timers (via des leviers qui vont automatiquement se refermer au bout d’un temps donné) m’ont parfois stressé et fait perdre mes moyens (et ma capacité à viser juste) mais avec le temps ça a été de moins en moins le cas.

La durée de vie est d’environ 4 heures, peut être un peu plus, difficile d’estimer exactement sachant que c’est un jeu qui se joue très facilement par plus ou moins brèves sessions. Ce qui m’a le plus donné du fil à retordre au final a été la défaite des boss (intéressants et demandant de maîtriser le « saut ») le temps de trouver leur pattern, assez rapidement au final.

Je vous met ma vidéo de gameplay qui vous permettra de découvrir les trois premiers niveaux

Legend of the Skyfish #01: Partie 01.

https://youtu.be/YnCpaZIXH-Y