Après vous avoir mis une vidéo de gameplay découverte, voici la vidéo de la première partie du jeu The Legend of Zelda of Breath of the Wild sur Nintendo Switch.
The Legend of Zelda: Breath of the Wild #02: Partie #01 (Nintendo Switch).
Après vous avoir mis une vidéo de gameplay découverte, voici la vidéo de la première partie du jeu The Legend of Zelda of Breath of the Wild sur Nintendo Switch.
The Legend of Zelda: Breath of the Wild #02: Partie #01 (Nintendo Switch).
Voici ma première vidéo de gameplay du jeu The Legend of Zelda of Breath of the Wild sur Nintendo Switch qui n’est pas la première partie mais plutot une vidéo gameplay découverte.
The Legend of Zelda: Breath of the Wild #01: Gameplay découverte.
Je viens de recevoir le jeu The Legend of Zelda of Breath of the Wild sur Nintendo Switch.
Voici les photos de la jaquette ainsi que de la cartouche.
Un nouveau Zelda est toujours un événement. Depuis maintenant 31 ans, la série a régulièrement rimé avec excellence, offrant aux joueurs des moments absolument inoubliables. Aujourd’hui, Nintendo ouvre le rideau sur Breath of the Wild, un épisode incroyablement ambitieux qui revient aux sources de la série… avec un succès qui défie l’imaginable !
Malgré son ancienneté, la série Zelda est facile à définir. Des jeux d’aventure où le joueur tient clairement le rôle du héros, bravant les défis pour sauver la Princesse Zelda et le Royaume D’Hyrule, sauf rares exceptions. Link, c’est l’avatar du courage et de l’abnégation, faisant régulièrement oublier sa petite taille par ses exploits en combat. Mais la série Zelda, c’est avant tout l’idée d’une expérience unique dans laquelle on découvre un monde jusqu’à ses tréfonds, rencontrant ainsi des personnages hauts en couleurs. Le concept d’avancée vers l’inconnue et de quête longue et prenante était déjà ce qui avait fait le succès du premier opus. Les joueurs étaient livrés à eux-mêmes, sans indication de direction à prendre et sans barrière visible. Si les épisodes suivants ont souvent offert des trames plus structurées, contenant le joueur dans une ligne narratrice, Breath of the Wild fait un incroyable retour en arrière. Une aventure sans barrière qui s’inscrit d’office comme une véritable redéfinition du terme « monde ouvert ». Mais rentrons un peu plus dans le détail.
Histoire:
Comme l’expliquent les différents trailers, Link se réveille d’un sommeil qui aura duré 100 ans dans des lieux désolés. Seul un vieil homme lui donne quelques informations… En visitant la zone, on se rend compte que l’on est sur un large plateau duquel on ne peut pas descendre. Seul moyen d’en sortir, récupérer les quatre trésors cachés dans des sanctuaires pour ensuite récupérer le Paravoile, qui nous permet de planer. Les trésors en question, ce sont des pouvoirs spécifiques des bombes carrées ou rondes que l’on peut déclencher à distance, un aimant qui permet de déplacer de gros objets métalliques, la possibilité de créer de gigantesques blocs de glace à partir d’étendues d’eau et enfin la possibilité de bloquer le temps pour certains mécanismes. Tous ces pouvoirs, vous les obtenez pendant les deux premières heures de jeu, ce qui vous laisse entrevoir la vitesse à laquelle les développeurs voulaient que vous ayez accès à tout votre panel de mouvements.
Car même bloqué sur ce plateau tutoriel en début d’aventure, vous comprenez déjà la grande liberté que constitue le game design de The Legend of Zelda of Breath of the Wild. Vous pouvez littéralement aller où vous voulez, sans aucune restriction dans vos déplacements horizontaux ou verticaux. Avancez vers une paroi et Link la grimpe automatiquement ! C’est aussi simple que cela. Si une jauge d’endurance vous oblige à faire attention à la taille de ce que vous voulez escalader, vous pouvez largement influer sur cette distance maximale selon l’inclinaison de la paroi que vous montez, par exemple. Dès le début du jeu, vous pouvez escalader ce que bon vous semble avec un minimum de stratégie dans votre ascension, et les moyens d’augmenter temporairement ou définitivement votre barre d’endurance sont nombreux. Croyez-moi, cela fait quelque chose de se rendre compte à quel point on est libre de nos mouvements. C’est d’autant plus remarquable que le monde dans lequel on évolue est une véritable ode à l’exploration ! Breath of the Wild offre des panoramas magnifiques et des plans à couper le souffle, à tel point qu’on reste parfois une bonne minute en haut d’une falaise à contempler son environnement ! Les vallées et les plaines, le vent qui souffle dans l’herbe, les incroyables effets de lumière, ce nouveau Zelda offre un spectacle magistral. Pourtant, il est évident que le titre souffre de quelques problèmes techniques, comme de l’aliasing ou du clipping, sans compter quelques ralentissements. Il n’est pas rare de voir le framerate baisser, parfois drastiquement, dans des zones forestières par exemple. Toutefois, ces problèmes sont vites oubliés et n’ont pas vraiment d’impact sur l’expérience globale de jeu. Jamais un jeu nous aura offert un tel orgasme visuel pour un univers aussi vaste sur console portable ! A vrai dire, même sur console de salon, rares sont les mondes de l’ampleur de celui de Zelda Breath of the Wild.
Avancée et donjons:
La structure de Breath of the Wild est très particulière. Vous avez plusieurs quêtes principales que vous pouvez suivre en même temps. Dès le début du jeu, rien ne vous empêche de foncer au château pour tenter d’affronter Ganon. Aucune barrière scénaristique en tout cas. Par contre, attendez-vous quand même à mourir, parce que vous n’êtes pas dignement préparé ! Et voilà justement à quoi servent les autres quêtes principales (et pourtant facultatives). Non seulement elles développent l’histoire et vous expliquent ce qu’il s’est passé il y a 100 ans, mais elles vous permettent aussi de récupérer des pouvoirs supplémentaires, très utiles pour survivre. Notez soit dit en passant que la narration est maintenant aidée par du voice-acting, du moins pour les personnages les plus importants.
Mais la bonne chose, c’est que même si vous décidez de suivre une des quêtes principales, le mot d’ordre reste toujours la liberté. Non seulement vous pouvez avancer dans plusieurs quêtes à la fois selon vos envies, mais à l’intérieur d’une même quête, vous pouvez tout faire dans l’ordre de votre choix. C’est justement le cas des différents donjons du jeu, chacun attribué à une tribu, et dont le déroulement est plutôt singulier, surtout pour les habitués de la série. Toujours sans spoiler, disons qu’ils s’axent bien plus sur la réflexion que sur les combats, certains d’entre eux suintant d’ingéniosité. Puisqu’on parle de réflexion, les sanctuaires sont un format de donjon inédit, beaucoup plus courts et beaucoup plus nombreux qu’à l’accoutumée. Au nombre d’une centaine, ils demandent souvent au joueur de maîtriser les différents mécanismes du jeu, avec des récompenses à la clef pour les plus doués. Non seulement chaque sanctuaire fait aussi office de point de téléportation sur la carte, indispensable pour un jeu de cette ampleur (oui, c’est beaucoup plus grand que Skyrim, par exemple), mais leur complétion permet aussi d’améliorer la jauge de vie et d’endurance de Link, petit à petit.
Let’s Fight:
Le plus incroyable avec tout cela, c’est que je n’ai pas encore parlé des combats. Et pour cause, ils sont moins nombreux que ce que la série nous avait offert jusqu’ici. Moins nombreux, mais aussi plus tactiques, Breath of the Wild ne manque clairement pas de difficulté. Il faut toujours faire attention à sa position et à ses mouvements face à des ennemis parfois imprévisibles. La maniabilité est heureusement fluide, nous permettant de changer d’arme ou de type de flèches en quelques dixièmes de seconde via une pause active. D’ailleurs à ce sujet, le titre marque le coup en changeant totalement son système d’armement avec un principe d’armes jetables. Vous passerez votre temps à récupérer celles de vos adversaires et devrez choisir ce que vous gardez sur vous, vous obligeant à être efficace avec tous les types d’armes. Bien évidemment, cet épisode propose de nombreux challenges corsés comme des boss cachés, par exemple. On vous l’a déjà dit, mais Breath of the Wild est plein de surprises.
Et c’est justement ça l’intérêt du titre. L’éternel sentiment de découverte. Il serait difficile de vous décrire les innombrables moments d’étonnement qui ponctueront votre aventure. Malgré la densité du monde, vous serez récompensés à chaque fois que vous suivrez votre propre route, monterez une colline qui semblait ne servir à rien ou fouinerez une zone d’apparence désertée. Un coffre, une petite énigme ou des surprises bien plus intéressantes, il y a toujours quelque chose à faire, et ceci sans compter la pelletée de quêtes annexes données par les nombreux NPC du jeu. Car oui, Breath of the Wild a ses villages, avec des personnages qui agissent parfois différemment selon l’heure de la journée. Cette densité, et la beauté du Royaume d’Hyrule, font de Breath of the Wild l’expérience la plus enivrante du jeu vidéo.
J’aurais encore beaucoup de choses à vous dire et pourtant, c’est ici que je vais m’arrêter. Vous ai-je tout dit ? Non, loin de là. Mais pour que Breath of the Wild soit une expérience aussi unique pour vous qu’elle le fut pour moi, je dois m’assurer que vous la viviez dans les mêmes conditions. Il faut que vous découvriez par vous-même ce qui le meilleur jeu d’aventure depuis Ocarina of Time… qu’il surpasse ! Cela ne fait aucun doute, Breath of the Wild est un chef d’oeuvre qui s’inscrit déjà au panthéon du jeu vidéo.
En atendant de vous mettre mes séquence de gameplay qui arriverons cet après midi, voici déjà la bande annonce du jeu/
The Legend of Zelda: Breath of the Wild: Bande annonce.
Voici la quatrième partie du jeu Paper Mario: The Origami King sur Nintendo Switch que je vous ai enregistré.
Paper Mario: The Origami King #04: Partie #04 (Nintendo Switch).
J’ai reçu aujourd’hui la compilation Collection of mana sur Nintendo Switch.
Voici les photos du boitier ainsi que de la cartouche.
Il faut savoir que cette compilation est sortie au Japon aux débuts de la Nintendo Switch, plus exactement le 1er juin 2017. Tous les fans de la série dans le reste du monde (dont moi) durent ronger leur frein jusqu’à l’annonce providentielle de sa sortie occidentale.Cette compilation reprend les trois premiers jeux de la série, à savoir Mystic Quest, Secret of Mana et le mythique (car jamais sorti du Japon jusque-là) Seiken Densetsu 3. Ce dernier gagne au passage un nom officiel: Trials of Mana.
Mystic Quest:
Mystic Quest est le premier jeu de la série. Il est paru sur GameBoy en 1991 au Japon et en 1993 en Europe. Son nom original est Seiken Densetsu: Final Fantasy Gaiden, son nom anglais est d’ailleurs Final Fantasy Adventure. Il s’agit en effet à l’origine d’un spin-off à Final Fantasy, mais adoptant un style Action-RPG, type Zelda. Le jeu nous est parvenu à l’époque déjà avec une traduction française intégrale. Il ne faut pas le confondre avec l’autre jeu Mystic Quest sorti sur Super Nintendo, qui est aussi un spin off de Final Fantasy mais qui n’a aucun rapport avec la série Mana.
On y incarne un jeune gladiateur, obligé de combattre des monstres dans une arène pour le Roi Noir de l’Empire Glaive. On apprend très rapidement que l’arbre Mana se meurt et qu’il faut le sauver pour sauver le monde. C’est ainsi que le héros s’échappe et commence sa quête.
Le gameplay est très simple : on se déplace avec la croix directionnelle, on attaque avec A et on utilise une magie ou un objet avec le bouton B. Le menu est accessible avec le bouton Start (mais aussi X sur Nintendo Switch) et un second menu comprenant la carte du monde, la sauvegarde et les statistiques du personnages avec Select (également Y sur Nintendo Switch).
Le jeu inclut déjà grands nombres des concepts de la série, tels que les différentes armes, les objets (le classique Bonbon pour se soigner), les monstres emblématiques de la série (les Lapins, les Champignons…), les magies, mais aussi la jauge de puissance. Celle-ci se remplit lorsque l’on n’attaque pas, et son niveau détermine la puissance de l’attaque, c’est à dire que vide les dégâts infligés seront minimes tandis que pleine ils seront à 100%.
Mystic Quest a connu un remake sur GameBoy Advance en 2003/2004, connu en Europe sous le nom Sword of Mana (Shinyaku Seiken Densetsu). Il s’agit du même contenu mais avec des graphismes actualisés et d’ailleurs très beaux. La version contenue dans cette compilation est celle de la GameBoy malheureusement. On aurait aimé avoir les 2. Ceci-dit, malgré son âge et quelques bugs de collisions, le jeu reste très agréable à jouer et dispose d’une durée de vie d’environ 15 heures.
Secret of Mana:
Le jeu qui a fait vraiment découvrir la série dans le monde entier. Secret of Mana (Seiken Densetsu 2) est sorti sur Super Nintendo en 1993 au Japon, puis en 1994 en Europe avec, encore une fois, une traduction française. Il s’agit toujours d’un Action-RPG.
Le jeu se situe dans un monde ayant connu une grande guerre par le passé. Cette guerre avait vu la création d’une arme meurtrière, la forteresse Mana. Celle-ci fonctionnait en utilisant l’énergie Mana, émanant de l’arbre du même nom, et l’affaiblissant. Au début du jeu, Mana est faible et en danger car un empire maléfique cherche à réactiver et prendre le contrôle de la Forteresse Mana. On incarne un jeune garçon qui tombe d’un pont et doit trouver un moyen de rentrer dans son village. Sur sa route, il entend un fantôme et découvre une épée, qu’il va prendre. Il devient ainsi le porteur de l’épée Mana et va devoir restaurer la puissance de l’épée.
Le gameplay n’a pas beaucoup changé, il faut toujours se déplacer avec la croix directionnelle et attaquer avec B. Le bouton A sert lui à courir. Les magies et objets sont accessibles via des menus circulaires avec les touches X (pour celui du héros) et Y (pour ses deux alliés, il faut appuyer une seconde fois pour passer d’un personnage à l’autre). Lorsque le menu est ouvert, le temps s’arrête, on n’est pas pressé. On navigue entre les objets avec les flèches droites et gauche et on change d’anneau avec haut et bas. On peut aussi changer de personnage contrôlé par le joueur avec la touche Select.
Les nouveautés ici, c’est déjà la possibilité de jouer jusqu’à trois joueurs en local, chacun contrôlant un des protagonistes de l’histoire. Ensuite, la jauge a légèrement changé. En effet, au fil de l’aventure, vous récolterez des sphères d’armes, permettant de les reforger et d’augmenter leur puissance. Ceci fait, vous pourrez maintenir le bouton B enfoncé pour charger de une à huit barres supplémentaires, augmentant ainsi grandement la puissance de l’attaque une fois le bouton relâché. L’inconvénient, c’est que le personnage chargeant une attaque se déplace en contrepartie très lentement. Autre point, courir consomme la barre d’attaque, et on ne peut pas changer de direction.
Personnellement, il s’agit de mon jeu préféré, toutes plateformes et époques confondues. Il est ressorti par la suite sur la console virtuelle de la Wii, puis sur smartphones et enfin sur PC et consoles modernes via un remake 3D (dont je préfère ne pas parler plus). Le jeu dispose d’une durée de vie d’au moins 25 heures, ce qui est plutôt correct.
Trials of Mana:
De son nom original, Seiken Densetsu 3, Trials of mana est un peu le graal des fans de la série, car il s’agit du seul épisode à n’avoir pas franchi les frontières du Japon. Il est sorti sur Super Nintendo en 1995. Comme beaucoup de fans à l’époque de la démocratisation d’internet et des émulateurs, j’ai pu y jouer, traduit en français par des fans. Il arrive enfin officiellement en Europe, avec une traduction officielle, un nom officiel et et un remake 3D dont la démo est sortie sur la PS4 et l’eshop de la Switch le 18 mars 2020.
Mais revenons-en à la version SNES, qui est dans la compilation. Le jeu nous explique qu’une fois encore la puissance de l’arbre Mana est menacée et des fées partent à la recherche de guerriers pouvant sauver le monde.
Grosse nouveauté, nous avons ici le choix entre 6 protagonistes. Ce choix sera difficile car chacun dispose de son propre début du jeu (le prologue) et que vous ne verrez que celui du personnage principal, pas ceux de ses compagnons. De plus, chaque personnage a une Némesis (un ennemi juré) et cela donne lieu à trois possibilités différentes pour la partie du jeu se situant dans la cité de Pedan. Cela signifie déjà que le jeu dispose dès le début d’une bonne rejouabilité si vous voulez connaître tous les morceaux de l’histoire.
Ensuite, le jeu permet enfin de dépasser la limite de 4 objets identiques dans l’inventaire ! Cela s’avérait effectivement un peu restreint sur les précédents jeux. Courir ne consomme plus la jauge d’attaque, qui d’ailleurs a changé. Dorénavant, chaque coup porté à l’adversaire remplit la jauge, et quand elle est pleine, on peut déclencher un coup spécial plus puissant. Comme autre nouveauté, chaque personnage peut changer de classe deux fois dans le jeu. Chaque changement donnera accès à un choix entre deux classes, une qualifiée de claire et l’autre d’obscure, mais le choix n’influence pas le scénario, juste les armes et attaques. Le changement de niveau demande également au joueur de faire un choix, car il faudra ajouter un point à une des statistiques du personnage. Il faudra veiller à augmenter celle principalement utilisée par la classe de celui-ci. Les combats sont toujours en temps réels mais il y a tout de même un changement. Lorsque l’on s’approche trop d’ennemis, le jeu passe en mode combat. Les personnages dégainent leurs armes et se déplacent plus lentement. Lorsque tous les ennemis de la zone sont morts, vous avez une chance d’avoir un coffre au trésor, et dans celui-ci, il y aura parfois une roue tournant rapidement et qu’il faudra arrêter au bon moment, sous peine de prendre des dégâts.
Enfin, les graphismes ont encore fait un sacré bon en avant, le jeu se révélant être un des plus beaux de la Super Nintendo, aux côtés des autres derniers jeux sortis dessus. De plus, il y a également une gestion jour/nuit et des bonus/malus sur les magies selon le jour de la semaine (dans le jeu) car chaque nuit passée à l’auberge fait progresser le temps. Le jeu dispose d’une très bonne durée de vie, étant de base plus long que Secret of Mana, et grâce à sa rejouabilité.
En attendant de vous mettre des séquences de gameplay, voici déjà la bande annonce de cette compilation (je précise que contrairement à ce qu’on voie dans la bande annonce, les trois jeux sont en français).
Pour terminer, voici les coffrets des versions en 3D sortie sur Playstation 4 de Secret of Mana et Trials of Mana.