The Last of Us (2023) (saison 01): Résumé de l’épisode 04

Voici le résumé et aperçu de l’épisode 04 de la série télé The Last of Us.

The Last of Us (2023) (s01x04): S’il te plaît, tiens ma main.

Résumé: Alors qu’ils se rendent au Wyoming, Joel raconte à Ellie son passé avec son frère Tommy. après l’épidémie, ils se sont rapprochés d’un groupe de survivants se rendant à Boston, où ils ont rencontré Tess et Marlene. Tommy, toujours à la recherche de quelque chose pour quoi se battre, a été facilement recruté par les Fireflies, mais a ensuite abandonné leur cause et s’est retiré de lui-même. Campant dans les bois pour la nuit, Joel avertit Ellie de ne faire confiance à personne qu’ils rencontrent car ils feront davantage que les voler. Le lendemain, ils atteignent les ruines de Kansas City, Missouri. L’autoroute est bloquée, les obligeant à faire un détour dans la ville. Ellie voit un homme implorer de l’aide, mais Joel le poursuit. Une brique brise la vitre du camion, une bande de pointes perce les pneus et des coups de feu envoient le couple se précipiter dans une laverie automatique.

Ellie se cache alors que Joel tue deux hommes avec son arme, cette dernière s’enraye. Un troisième (Bryan) dans un corps à corps, essaie d’étouffer Joel. Ellie intervient avec son arme de poing et tire sur Bryan dans le dos, celui-ci immobilisé au sol essaie de négocier. Joel confisque son arme et la renvoie avant de poignarder mortellement Bryan alors qu’il crie grâce. Joel et Ellie s’échappent tandis que d’autres bandits (faisant partie d’un groupe qui a renversé le gouvernement et pris le contrôle de la ville) trouvent les corps. Leur chef, Kathleen Coghlan, est informée des événements. Elle postule ouvertement que ses ennemis (dont Henry Burrell, qui, selon elle, a dénoncé son frère pour qu’il soit exécuté) sont responsables d’avoir contacté les tueurs et ordonne à ses partisans de fouiller la ville. Pendant ce temps, Joel apprend à Ellie comment tenir correctement son arme et accepte de la laisser la porter.

Le commandant en second de Kathleen, Perry, lui fait découvrir leur dernière cache dans un grenier avec boîtes de conserve vides et dessins d’enfant où Henry avait manifestement trouvé refuge. Redescendant Perry lui montre ce qu’il a découvert dans le sous-sol, une dalle de béton fractionnée qui remue, car quelque chose bouge sous terre. Perry insiste pour qu’ils règlent le problème, mais Kathleen lui ordonne de cacher les preuves d’infection jusqu’à ce qu’ils trouvent Henry. Joel localise un immeuble de grande hauteur où ils peuvent avoir une bonne vue sur les environs et trouver une issue de secours. Allongée pour dormir dans l’un des appartements, une des blagues d’Ellie fait rire Joel pour la première fois. Brusquement réveillé par la voix d’Ellie, Joel trouve Henry et son frère de huit ans Sam les tenant sous la menace d’une arme.

ATTENTION: Je ne fais et ne propose AUCUNE COPIE d’épisode ni de quoi que ce soit, merci de ne pas me contacter à ce sujet car je ne répondrai pas.

Nier: Automata Ver1.1a (2023) (saison 01): Résumé de l’épisode 05

Le cinquième épisode de la série animée NieR: Automata Ver1.1a est disponible depuis aujourd’hui et voici son résumé ainsi que son aperçu.

NieR Automata Ver1.1a (2023) (s01x05): Mave[R]ick.

Résumé: 2B et 9S sont envoyés dans un village de machines, à la demande de la Résistance. Les deux androïdes seront surpris de voir une communauté de formes de vie mécaniques aussi avancée et non hostile. Ils échangeront ainsi avec un certain Pascal.

ATTENTION: Je ne fais et ne propose AUCUNE COPIE d’épisode ni de quoi que ce soit, merci de ne pas me contacter à ce sujet car je ne répondrai pas.

Leisure Suit Larry: Wet Dream Dry Twice (Nintendo Switch)

Le deuxième jeu de la série Leisure Suit Larry (et le dernier que j’ai acheté aujourd’hui) est Wet Dream Dry Twice.

Après un retour bienvenu et salué, Larry Laffer nous présente aujourd’hui la suite directe de ses aventures. Toujours révélateur des mentalités de son époque depuis les années 80, Leisure Suit Larry continue d’enfoncer les portes du politiquement correct et de la décence pour nous offrir ses répliques de tombeur sur le retour. Mais comme la société, Larry évolue à son rythme. Et si cet épisode était celui de l’âge de raison… non faut pas déconner non plus !

Les rêves humides ça mouille les draps:

Seul bémol dans ce déroulement, la quatrième partie du récit, sur les cinq que comporte cet épisode, est moins inspirée. En revenant sur les lieux du dernier épisode en date, dans la ville de New Lost Wages, Larry sort un peu trop de son rôle de playboy. Même si l’aventure est toujours aussi plaisante et offre un final surprenant, nous ne retrouvons pas ce qui a fait l’ADN de la série. C’est une vraie prise de risque de la part des développeurs qui se rapprochent bien plus des canons d’un jeu d’aventure.

Malgré ce revirement, l’humour est toujours omniprésent dans cet opus. Cet humour, qui prend sa source sous la ceinture et qui a fait la joie des joueurs n’a pas disparu, loin de là. Les allusions coquines fusent à cent à l’heure tout le long de notre aventure. Pas une ligne de dialogue ne cache un sous-entendu, ou ne le cache pas d’ailleurs. Larry est en pleine forme et il ne rate aucune occasion pour tenter de montrer à quel point les années 80 fonctionnaient, d’après lui, de manière bien différente. Le décalage avec la technologie et la culture des années 2020 est lui aussi source d’amusement et de moquerie qui font mouche, même si ce décalage est moins exploité que dans l’épisode précédent.

Nos aventures se déroulant dans un archipel paradisiaque, nous allons aussi retrouver pas mal de références. Que ce soit à Mario ou à Monkey Island, une foule de détails sont cachés dans les décors que nous parcourrons. Une foule de phallus se cache aussi plus ou moins bien dans les décors, un choix esthétique qui nous met dans l’ambiance et qui fait rire au début, mais qui se montre lassant à force. Il est aussi regrettable que les conquêtes de Larry se jettent directement sur lui sans aucun préambule. La drague a disparu de cet épisode.

Bien sûr, il faudra toujours mélanger des items improbables pour obtenir l’effet, encore plus improbable, voulu. Souvent matière à prise de tête dans de nombreux titres, cette mécanique, dans ce Larry, n’échappe pas à la règle. Toutefois, de manière générale, j’ai moins souffert sur ce titre que sur d’autre point’n click. Seuls, deux ou trois passages ont demandé le sacro-saint « essai tout ce qui est possible » pour venir mettre en place une interaction difficile à prévoir. De même, la durée de vie semble dans la partie haute du panier des titres du genre. Il aura fallu presque 20 heures pour en venir à bout, il en faudra sans doute moitié moins pour les pros.

Avec la technique ça passe toujours mieux:

La série des Leisure Suit Larry a toujours offert des graphismes soignés, surtout pour ses protagonistes féminins. Ce second épisode, depuis son retour sur le devant de la scène, confirme cet état de fait. Les décors, dans un style très cartoon, regorgent de détails. Il est toujours regrettable que trop peu d’animations ne viennent nous divertir, mais cela ne vient pas non plus gêner la lisibilité. Un mal pour un bien. De manière générale, les animations des personnages sont correctes. Certes, un point’n click ne se juge pas sur ce critère, mais donner l’impression de faire partie d’un dessin animé est toujours un plus. De ce côté, le titre de CrazyBunch ne déçoit pas. Chaque protagoniste a ses mouvements propres. Ce n’est pas du Pixar, mais le rendu est suffisant pour ne pas nous sortir de nos aventures.

La navigation, que ce soit dans les menus ou dans les décors se fait parfaitement, aussi bien en nomade qu’en docké. La gestion des joy-cons est optimale. Les sticks servent à déplacer Larry ou le curseur. Les touches ZL et ZR permettent de faire défiler les points d’intérêts présents dans le tableau, évitant ainsi de rater un item important. Le reste est plus classique, mais associé au tactile en mode portable, c’est un vrai plaisir de naviguer à travers les menus, certes, c’est un peu moins souple qu’à la souris, mais tout aussi ergonomique. Le mode docké perd de cette souplesse, mais il reste tout à fait jouable et permet de profiter de ces plantureuses … aventures dans des conditions plus qu’acceptables.

Si les voix ne sont pas disponibles en français, les sous-titres et les traductions sont de qualités. Nous ne perdons rien de l’humour grivois du titre. Toujours en PEGI 16, les scènes de jambes en l’air sont toujours un peu plus que suggérées, mais restent visibles par un public allant des adolescents pervers avertis aux adultes dépravés consentants. De même, les suggestions de Larry et des truculents protagonistes de nos aventures sont adaptées à la limite d’âge proposée et sont toujours tournées en dérision allégeant ainsi les propos.

Voici ma vidéo de gameplay du début du jeu.

Leisure Suit Larry: Wet Dream Dry Twice #01: Partie 01.

Conclusion:

Qu’on se le dise, Larry Laffer est devenu un adulte ou presque. Fini les listes de conquêtes, il se concentre désormais uniquement, ou c’est tout comme, sur l’élue de son coeur dans une aventure légère et prenante. Ce que la licence a perdu en grivoiserie, elle l’a compensée en clarté sans jamais perdre en chemin l’humour porté sur la chose qui fait sa renommée. Ses énigmes sont toujours un modèle de logique et de débilités assumées. Le décalage entre Larry et les années 2020 s’estompe peu à peu, mais sa quête est d’autant plus attachante. Son gameplay, classique, est porté par des contrôles, optimisés pour nos Nintendo Switch, qui le rendent agréable à jouer peu importe les conditions. Les fans d’humour lubrique et de point’n click y trouveront forcément leur compte et seuls les aficionados de la première heure, attachés aux humiliations subies par Larry, risquent de se plaindre de ce revirement. La série des Leisure Suit Larry a su se renouveler et nous avons hâte de voir sa suite.

Glyph: Avance, avance, petit scarabée ! (Nintendo Switch)

Une fois de plus, j’ai profité des promos pour m’acheter des jeux Nintendo Switch, et le premier est Glyph.

Glyph du studio danois Bolverk Games, c’est le type même du jeu dont on n’attend rien et qui pourtant nous fait lâcher nos joy-cons après une séance de deux heures en se disant, quoi déjà ! Le jeu qui détend tout en offrant un gameplay exigeant. Le parfait mélange entre le plaisir de l’exploration, de la découverte et l’exigence de mécaniques accessibles, mais diablement efficaces.

Roule ma boule:

Le monde tel que nous le connaissons a bien changé, réduit en poussière par la faute de l’ultime création des hommes. Pour en savoir plus et peut-être remettre les choses en ordre, il faudrait un super-héros aux pouvoirs démesurés. Et c’est justement là qu’intervient Glyph, une petite morpho-ball. Nous devrons donc amener cette sympathique bille jusqu’au terrible boss de fin.

Loin d’être démuni face à l’adversité, notre boule possède quelques atouts dans sa manche pour traverser les étendues désertes et dangereuses dont son univers est fait. Elle sait tout naturellement sauter, charger un double saut, prendre appui sur les murs, taper le sol, et même prendre une apparence de hannetons qui lui permet de voler sur des distances appréciables.

Mais gare à la chute, car le sable qui constitue ce monde est dangereux et tout faux pas sera fatal. Sous la forme d’un plateformer en 3D, Glyph mélange des phases d’exploration et de puzzle. Il faudra toujours être attentif à notre environnement pour ne pas rater un secret caché ou un moyen de passer l’obstacle qui se dresse devant nous. Toujours très malin dans sa construction et son level-design, les développeurs de Bolverk Games ont su tirer le meilleur parti des mécaniques qu’ils ont mis en place en proposant une expérience aérienne qui fait la part belle à la découverte.

Sans jamais nous guider, hormis durant le court tutoriel, c’est à nous, joueurs, de mettre en place notre propre stratégie, en utilisant au mieux les capacités de Glyph, pour récupérer les différents éléments qui sont éparpillés dans les niveaux et ainsi pouvoir débloquer sa sortie. Il sera aussi possible de récolter de quoi acheter des customisations pour notre bille et de quoi débloquer des niveaux spéciaux, basés sur le speedrun.

Qui dit plateformer 3D, dit caméra. Les niveaux de Glyph étant très ouverts, aucun mur ne viendra gâcher notre plaisir. Si très vite, il nous faudra apprendre à contrôler notre boule rebondissante et volante, un rond nous indiquant sa position au sol nous aidera énormément dans la gestion des sauts et des vols. La possibilité de s’appuyer sur les murs pour y grimper à force de sauts aide aussi grandement en évitant la frustration de chute lors des premières parties.

Fly like a eagle:

Glyph répond parfaitement à nos sollicitations, et s’il faut un petit temps pour comprendre et apprécier son inertie, ses contrôles sont un modèle d’optimisation. Le stick gauche nous permet de déplacer la bille, tandis que le stick droit nous permet de déplacer assez rapidement la caméra centrée sur Glyph. Les touches ZL, ZR et Y complètent ce mapping et permettent respectivement de planer, de sauter et de venir taper le sol. Des ajouts viendront parsemer notre aventure, mais le principal se fera avec ces trois touches.

La mécanique de charge au sol permettra très souvent de venir « nous poser » sur une plateforme en annulant l’inertie acquise par Glyph, très pratique dans les phases aérienne, cette mécanique est complétée par le côté très aérien des niveaux que nous allons explorer. L’envie de déplacer la caméra tout autour de nous, pour découvrir de quoi est fait notre environnement et ce qui pourrait se trouver au-delà, apporte un contrepoint parfait à la difficulté induit par le côté plateformer.

Avec plus de 80 niveaux d’exploration, notre aventure nous tiendra occuper pendant une bonne dizaine d’heures, et cela sans atteindre (loin de là d’ailleurs) le 100 %. Venir à bout de tous les secrets de Glyph est un vrai challenge. Les 30 niveaux en contre-la-montre qui viennent compléter le tableau demandent, eux aussi, une pratique et un skill que je n’ai pas été capable d’atteindre pour en venir à bout, ce qui ne veut rien dire certes, mais ne soyons pas méchant…

Graphiquement, le titre des développeurs danois fait tout pour nous mettre dans une ambiance mélancolique. Les couleurs chaudes s’enchaînent dans ses paysages en ruines. Que ce soit de jour ou de nuit, notre voyage est toujours rempli d’émerveillement. Il est bien aidé par les thèmes musicaux du compositeur Frederic Keglberg. Avec une quarantaine de titres qui se suivent en accompagnant chaque note de beaucoup de douceur, les compositions ajoutent beaucoup l’atmosphère que cherche à mettre en place le studio Bolverk Games.

En termes de contenu, si venir à bout des niveaux est déjà gratifiant, en trouver tous les secrets permettra en plus de débloquer des skins pour notre bille. Que ce soit pour personnaliser sa forme ronde, sa forme de hanneton ou sa trace, il y en a pour tous les goûts et si ça ne rajoute rien aux mécaniques, c’est un petit ajout sympathique.

Le seul reproche que l’on peut faire à Glyph concerne sa difficulté. Et notamment nos morts. Si atteindre le bout du niveau en ayant récupéré toutes les clés ne pose pas trop de difficultés, mettre la main sur ses secrets est bien plus difficile, surtout lorsque notre trépas nous ramène directement au début du niveau. Alors certes, les éléments débloqués sont conservés, mais devoir retrouver toutes les clés pour sortir est un peu pénible, un retour à la dernière plateforme validée aurait encouragé davantage la découverte.

Voici ma vidéo de gameplay du début du jeu.

Glyph #01: Partie 01.

Conclusion:

Avec son concept de plateformer 3D mêlant réflexion et observation, Glyph nous emmène dans un voyage à l’ambiance mélancolique et aux mécaniques simples, mais diablement efficaces. Magnifiées par un level-design proposant beaucoup de verticalité, nos parties s’enchaînent alors que le temps défile sans que nous ne nous en rendions compte. Si voir le bout de l’aventure est à la portée de chaque joueur, réaliser un 100 % demandera un travail acharné qui plaira au fan de speedrun et de complétion. Si son prix, pour un titre indépendant, pourra en refroidir plus d’un (en promo actuellement), il n’en reste pas moins un jeu aussi agréable en session courte qu’en session longue qui mérite d’être connu.