C’est aujourd’hui que se termine de la série animée La famille Addams sur le blog, avec les résumé et aperçu des six derniers épisodes.
La famille Addams (1973) (s01x11): The Circus Story (L’histoire du cirque).
Résumé: La famille Addams visite un cirque qu’ils découvrent être « Le pire spectacle du monde ». Ils décident d’aider lorsque Honest John leur parle de ses problèmes avec un cirque rival qui vole ses travailleurs.
La famille Addams (1973) (s01x12): The Addams Family at Sea (La Famille Addams en mer).
Résumé: La famille Addams entreprend son premier voyage en mer, mais la vue d’Ali l’alligator et d’Ocho la pieuvre en train de danser effraie tous les passagers à bord, au point qu’ils sautent par-dessus bord. Les bandits Lefty et Joe volent promptement tous les objets de valeur à bord en conséquence, mais les Addams sont bientôt à la poursuite des voleurs alors qu’ils tentent une fuite en vedette.
La famille Addams (1973) (s01x13): The Voodoo Story (L’histoire du Vaudou).
Résumé: Madame Hoodoo constate que toutes ses malédictions et ses sorts échouent lamentablement à effrayer la famille Addams et les choses tournent mal pour elle quand sa potion d’amour tourne mal et que Granny la bénit. Elle décide de retourner en Haïti pour des leçons de vaudou avancées.
La famille Addams (1973) (s01x14): The Roller Derby Story (L’histoire du Roller Derby).
Résumé: Mercredi Addams choisit de visiter le Roller Derby pour célébrer son treizième anniversaire, et la famille Addams se retrouve bientôt impliquée dans la rivalité acharnée entre les Anges et les Démons, ce qui conduit à ce que la famille Addams joue pour les Anges.
La famille Addams (1973) (s01x15): The Addams Family Goes West (La Famille Addams part à l’Ouest).
Résumé: Suivant la piste des grands pionniers, la famille Addams se rend dans les grands espaces de l’Ouest et se retrouve à déjouer des personnages tels que Wyatt Burp, Silly the Kid, Wild Bill Hiccup et Badmouth Ben.
La famille Addams (1973) (s01x16): The Addams Family at the Kentucky Derby (La Famille Addams au Kentucky Derby).
Résumé: Pugsley Addams veut un cheval pour son anniversaire, alors la famille Addams se rend au Kentucky pour en acheter un. Ils choisissent un vieux cheval épuisé nommé Bones, mais la cuisine de Granny lui fait tellement de bien qu’il redevient un coureur rapide et est monté par Pugsley pour remporter le Kentucky Derby. Ainsi, à la fin, après avoir sacrifié leur bonne réputation, les Addams rendent tristement Bones aux Kelly, car il est maintenant un gagnant, laissant Pugsley déçu et le coeur brisé.
ATTENTION: Je ne fais et ne propose AUCUNE COPIE d’épisode ni de quoi que ce soit, merci de ne pas me contacter à ce sujet car je ne répondrai pas.
Une nouvelle série arrive sur le blog (en remplacement de la série animée Hong Kong Fou Fou) c’est la série animée La légende de CrocBlanc dont voici les aperçus (désolé mais il n’y aura pas de résumé cette fois-ci car je n’ai malheureusement pas le temps de revisionner tous les épisodes) des cinq premiers épisodes.
La légende de CrocBlanc(The Legend of White Fang) est une série télévisée d’animation franco-canadienne en 26 épisodes de 26 minutes basée sur le roman Croc-Blanc de Jack London, produite par Cinar, diffusée à partir du le 16 novembre 1992 sur TF1 dans Club Dorothée Avant l’Ecole, ensuite de 1995 et 1996 sur TF1 dans A Tout’ Spip, 1997 et 1998 toujours sur TF1 dans Salut les Toons et de 2006 et 2008 sur France 5 dans Midi les Zouzous.
Au Canada anglophone, elle a été diffusée à partir du 1er janvier 1994 sur Family Channel et au Québec à partir du 8 septembre 1995 à Radio-Québec.
Histoire:
Mi-chien, mi-loup, Croc-Blanc est né dans le grand nord canadien. Guidé par son instinct, il va alors aller à la rencontre des hommes et vivre de nombreuses aventures, se heurtant à la civilisation et aux différents aspects des êtres humains, la cruauté ou la cupidité d’une part, mais aussi la confiance et l’amitié d’autre part… Ainsi il va se lier d’amitié avec la jeune Wendy Scott, une enfant pleine d’entrain et fille unique de Weedon Scott, journaliste du « Le Clairon ». A Dawson City, il peut aussi compter sur Bella O’Brien qui tient un hôtel, sur le Sergent Oakes et surtout sur Corbeau de Lune, un indien vivant seul dans la forêt et qui lui donne toujours de sages conseils. Wendy et Croc-Blanc auront souvent à affronter Alex De Laszlo (Duc de Dawson) et Beauty Smith, un personnage pas très malin toujours accompagné de son bulldog Jack.
Voici les génériques de début et de fin, en français et anglais.
La légende de Croc-Blanc (1992-1993): Générique de début (français).
La légende de Croc-Blanc (1992-1993): Générique de début (anglais).
La légende de Croc-Blanc (1992-1993): Générique de fin (français).
La légende de Croc-Blanc (1992-1993): Générique de fin (anglais).
La légende de Croc Blanc (1992-1993) (s01x01): Le piège.
La légende de Croc Blanc (1992-1993) (s01x02): La pépite d’or.
La légende de Croc Blanc (1992-1993) (s01x03): Croc Blanc est banni.
La légende de Croc Blanc (1992-1993) (s01x04): William.
La légende de Croc Blanc (1992-1993) (s01x05): L’or des fous.
ATTENTION: Je ne fais et ne propose AUCUNE COPIE d’épisode ni de quoi que ce soit, merci de ne pas me contacter à ce sujet car je ne répondrai pas.
Nous sommes aujourd’hui à 19 jours de mon opération (pour ceux qui ne serai pas au courant, cela consiste en une deuxième augmentation mammaire), moins de trois semaines, et je commence tous doucement à avoir la trouille, je suis pas une chochotte pour ce qui est de la douleur mais je sais très bien ce qui m’attend. :-/ Le chirurgien m’a déjà prévenu que j’aurai aussi mal que la première fois (faut savoir que c’était la troisième pire douleur de ma vie).
Certain diront que c’est un mal pour un bien, d’autre plaisanteront en disant « il faut souffrir pour être belle » et le reste c’est que je fait une connerie, que j’ai choisi trop gros et qu’on ne verra que sa.
Pour commencer, c’est déjà le cas, on ne voie que ça avec les nibards que j’ai déjà alors sa ne vas pas changer grand chose pour moi, après l’opération je devrai passer d’un 100D avec des implants de 500cc à un gros 100EE voir 100F (cela dépendra de la marque et du modèle de soutifs) avec des implants de 900cc.
Par contre la prochaine fois je vais avoir comme un petit problème, car les implants que j’aurai cette fois-ci sont les plus gros qu’on trouve sur le marché (en gel de silicone cohésif), et si je veux par la suite faire une troisième augmentation mammaire, soit faudra que je me contente d’implants remplie de sérum physiologique qui ne m’intéresse pas du tout, soit me les faire faire sur mesure (ce qui bien sur a un cout, lol).
Quand au fait que c’est une connerie, on m’a dit sa aussi la première fois, que j’allais le regretter, et non je ne le regrette pas et ces même personne après avoir vu le résultat était la en train de me dire que c’est bien fait, que j’ai de beaux seins, il y a même des nanas qui me demandais ou j’ai fait sa et combien ça m’a couté, et bien la première fois c’était 4000 euros et cette fois-ci 6000 euros, presque le prix d’une bagnole d’entrée de gamme, et j’ai que les air-bags, lol
J’espère juste que comme c’est la deuxième augmentation mammaire, que la douleur sera pas aussi forte que le dise les « prédictions » parce que la première fois j’avais tellement mal partout que je ne savait plus si c’était les implants, les cicatrices, mon dos (j’étais dans le fauteuil chez ma mère qui était super dur) ou quoi.
Déjà sorti sur le WiiWare, Swords & Soldiers de Romino Games a eu droit à un portage sur 3DS par Circle Entertainment. Le résultat est pire que catastrophique et le jeu est devenu injouable. Alors qu’à l’époque la suite était en préparation prévue sur Wii U, Two Tribes a pris en mains les choses et a re-sorti le jeu sur Wii U avec une version HD du premier opus. Bien mieux que la version Nintendo 3DS, le jeu s’est bien vendu sur Wii U et sa suite aussi a pu sortir sans encombre. Les deux jeux prennent maintenant la route de la Nintendo Switch pour plus de visibilité.
Pour ceux qui ne connaissent pas Swords & Soldiers, c’est un tower defense, avec une petite sauce de STR, qui se déroule dans des niveaux en 2D. La caméra est placée comme dans n’importe quel jeu de plateforme 2D et les cartes prennent donc la forme de niveaux à scrolling horizontal. Au départ dessiné en ligne droite, les cartes proposent parfois quelques embranchements. Plusieurs emplacements sont disponibles pour construire des tours le long de la carte. Elles deviendront vite un enjeu important de vos parties.
En tant que dirigeant de vos troupes vous allez devoir récupérer de l’or à proximité de votre camp sur chaque carte avec des mineurs. L’or vous permet alors de créer des soldats plus puissants qui iront attaquer les ennemis, vos unités sont plus ou moins puissantes selon leur classe et la quantité d’or qu’elles demandent. Les unités avancent et attaquent toutes seules comme dans la plupart des tower defense, c’est donc uniquement sur leur gestion qu’il faudra se concentrer. Enfin pas que, le joueur peut aussi utiliser des sorts de soin au poison en passant par des ultimes ravageurs. Bien entendu, chacune des trois classes du jeu à son arbre de technologies, ses unités et sorts qui lui sont propre. L’équilibrage est plus que raisonnable.
Swords & Soldiers propose plusieurs modes de jeux dont trois campagnes solo, un mode défis, un mode escarmouche et bien entendu le mode multi. Le multi est même bien plus agréable grâce au Gamepad. Chacun ayant son écran. Les joueurs apprécieront de pouvoir régler un grand nombre de paramètres de la partie afin de déterminer l’intensité du combat. A noter qu’il y a aussi des trophées internes au jeu à déverrouiller. Le titre est également traduit en français, ce qui est une bonne chose sur un service où beaucoup de jeux indépendants ne sont pas traduits. Les trois campagnes du jeu sont toujours présentes comme sur Wiiware, mais on ne peut pas passer directement à celle de son choix comme c’était le cas sur Nintendo 3DS.
Je vous ai enregistré ma partie jusqu’au niveau 07 pour que vous puissiez vous faire une bonne idée du jeu.
Swords & Soldiers #01: Gameplay (partie 01).
Conclusion:
Sans surprise, le portage de Swords & Soldiers se fait sans encombre sur Nintendo Switch et on vous conseil une fois de plus de découvrir cet opus. Si vous l’avez déjà fait, cet achat est plus qu’inutile.
Il y a des jeux qui arrivent à nous intriguer dès que nous posons notre regard dessus. Ces derniers suscitent une attente à la hauteur de leurs promesses, et malheureusement, la plupart ne nous laisse qu’un goût amer à la fin de la partie. A contrario, d’autres expériences réussissent à nous tenir en haleine et à nous émerveiller tout au long de sa progression. The Excavation of Hob’s Barrow fait partie des rares jeux qui appartiennent à cette deuxième catégorie
Développé par Cloak and Dagger Games, un développeur indépendant britannique, The Excavation of Hob’s Barrow est un Point’n Click qui lorgne sur le fantastique et l’horreur. Il est édité par les américains de Wadjet Eye Games et est disponible sur la Nintendo Switch depuis le 23 janvier 2023 au prix de quinze euros.
Avant de commencer le test, je tien à préciser que le jeu ne propose aucune traduction française. Un niveau courant, voire plus (!) en anglais est nécessaire pour jouer à The Excavation of Hob’s Barrow. Surtout moi, qui est habitués moyennement à la langue de Shakespeare, ai dû m’entourer d’un traducteur.
Un jeu à l’ambiance glauque et étrange…
Thomasina Bateman est une antiquaire de renom dans l’Angleterre de l’époque victorienne. Elle prépare d’ailleurs un livre sur sa spécialité, les tumulus, ces anciens cimetières qui contiennent moult vestiges des époques passées. C’est en cette qualité d’experte que Thomasina reçoit une lettre d’un certain Leonard Shoulder qui l’invite à Bewlay afin de fouiller le tumulus de Hob’s Barrow.
Dès son arrivée, Thomisina est face à l’hostilité des habitants qui ne veulent pas d’une étrangère dans leur village. Plus étrange, le fameux Leonard Shoulder est introuvable, et les villageois se braquent en entendant le nom de Hob’s Barrow. Ils feignent l’ignorance face aux questions de l’antiquaire.
Cependant, Thomisina est une femme déterminée, et elle va mener l’enquête pour trouver ce qui se trame dans la ville de Bewlay, et surtout pour localiser Hob’s Barrow.
The Excavation of Hob’s Barrow est un Point’n Click. Le jeu ne révolutionne pas la formule du genre. Nous résolvons des énigmes à l’aide du décor qui nous permettent de progresser. Nous allons devoir parler aux habitants de la ville, les questionner et les aider afin qu’ils puissent nous mener à Hob’s Barrow.
En revanche, à défaut d’être originaux, les développeurs de Cloak and Dagger Games proposent un Point’n Click maîtrisé de bout en bout. Hormis deux ou trois énigmes, la difficulté est bien calibrée et ces dernières sont toutes cohérentes. Nous ne restons jamais bloqués très longtemps, car la réponse est toujours logique.
En liant la narration au Point’n Click, The Excavation of Hob’s Barrow réussit à créer une expérience captivante dans laquelle nous n’avons qu’une seule envie, résoudre l’enquête au plus vite pour en savoir un peu plus.
Car en plus de posséder un très bon gameplay, The Excavation of Hob’s Barrow se démarque par une narration qui frôle la perfection. J’ai été impressionnés par cette qualité d’écriture, par cette maîtrise et cette maturité qui transpirent dans le travail de l’auteur.
… d’une écriture qui frôle la perfection:
Les personnages sont admirablement bien caractérisés, sans jamais tomber dans le cliché. Nous avons une galerie de personnages qui restent dans la mémoire, avec leurs qualités, leurs failles, mais surtout leurs secrets. Même si certains dialogues ne nous aident pas pour avancer dans l’aventure, nous sommes toujours prêts à écouter ce qu’ils pensent les uns des autres afin de mieux comprendre l’univers dans lequel nous évoluons.
The Excavation of Hob’s Barrow est un récit typiquement lovecraftien. C’est un sous-genre de la fiction d’horreur qui ne se focalise pas sur le gore ou le choc, mais qui crée sa dramaturgie autour d’un monde étrange, incompréhensible et mystérieux. Nous avons un personnage pragmatique qui se retrouve confronté à des éléments surnaturels et qui doit remettre en cause son propre monde de rationalité.
Là encore, à défaut de révolutionner les codes du récit, Cloak and Dagger Games propose une histoire maîtrisée qui nous captive jusqu’à son dénouement. Les dialogues sont formidablement bien écrits et je suis encore impressionné par cette écriture intelligente, fine et ciselée à la perfection.
Le seul petit défaut se trouve lors de la résolution où le jeu décide de ne pas nous donner la fin de tous les personnages de Bewlay.
Malheureusement, le jeu n’est accessible qu’en anglais, un anglais assez soutenu pour fermer ses merveilleuses portes à ceux qui ne maîtrisent pas la langue de Shakespeare. Surtout pour moi, qui est moyennement habitué de cette langue, j’ai dû régulièrement me faire aider d’un traducteur pour ne pas passer à côté d’informations importantes pour le récit.
Comme je l’ai déjà susmentionné, certaines énigmes sont un peu moins cohérentes, et donc moins agréables à résoudre. Elles empêchent le jeu d’atteindre la perfection.
Certaines personnes pourraient être aussi déçues, à l’heure où les récits proposent des structures à choix multiples, de n’avoir que très peu d’influence sur l’histoire qui se déroule sous nos yeux. Pour ma part, je préfére être dirigés dans une narration simple, mais maîtrisée que d’être abandonnés dans une narration multiple, mais mal écrite.
La durée de vie est environ de quatre à huit heures pour un jeu à quinze euros. Je vous propose une fourchette plutôt grande, car vous pouvez foncer sans chercher à découvrir les mystères qui entourent Bewlay. La durée de vie est donc plutôt correcte pour ce genre d’expérience, car même si ces heures représentent un investissement quantitatif moyen, elles représentent en revanche un investissement qualitatif très intéressant.
La version sur la Nintendo Switch est pour moi la meilleure qui se trouve sur le marché. Entièrement tactile, le Point’n Click de Cloak and Dagger Games est un plaisir à jouer, que ce soit en mode docké ou en mode portable. J’ai eu cependant quelques bugs lors de certaines cinématiques quand le menu des objets n’était encore pas fermé.
Les graphismes ne sont pas faits pour tous. Même si la réalisation est irréprochable, certains pourraient ne pas apprécier le pixel art et l’univers angoissant et malsain qui est déployé. Les graphismes sont cependant cohérents et réussissent à renforcer le sentiment d’étrangeté de cette petite ville de Bewlay.
La bande-son est aussi très réussie. La musique est très bonne, la direction des comédiens de doublage est parfaite et les bruitages ne souffrent d’aucun défaut.
Voici une séquence de gameplay découvetre (faut avouer pas très longue vu que c’était la première) que je vous ai enregistré.
The Esclavation of Hob’s Barrow démo: Gameplay découverte.
Conclusion:
Attention, pépite indépendante en vue ! The Excavation of Hob’s Barrow est plus qu’une belle surprise, c’est un incroyable Point’n Click basé sur une narration lovecraftienne maîtrisée de bout en bout. J’ai aimé l’excellente qualité d’écriture, le gameplay simple mais jamais ennuyeux, ainsi que la direction artistique qui sublime cette ambiance morbide. Malheureusement, le jeu n’est disponible qu’en anglais, un anglais très soutenu qui ferme la porte à beaucoup de joueurs potentiels qui mériteraient d’essayer cette incroyable aventure.