Voici la cinquième partie des aventures de notre petite ombre de The Longing sur Nintendo Switch.
The Longing #05: Partie 05.
Voici la cinquième partie des aventures de notre petite ombre de The Longing sur Nintendo Switch.
The Longing #05: Partie 05.
Je dernier jeu que j’ai acheté aujourd’hui est la compilation Gunman Clive HD collection, qui réunis Gunman Clive 1 et Gunman Clive 2 bien sur, sur Nintendo Switch.
Les deux premiers Gunman Clive sont disponibles sur 3DS (Je vous avez déjà présenté le premier il y a 10ans sur 3DS dans cet article) et ont permis à son créateur de donner un peu de popularité à sa série de jeux de plateforme. Succès sur l’eShop de la 3DS, Gunman Clive a ensuite tenté l’aventure de la HD avec une compilation des deux épisodes retravaillés en HD sur Wii U, toujours pour un prix bien bas, et ce n’est pourtant pas synonyme de jeu au rabais ! Les années passent, mais le plaisir reste et on est plutôt content de replonger dans ces deux jeux avec la compilation HD qui signe son retour sur Nintendo Switch.
Commençons par Gunman Clive 1.
Voici le « plan » qui compose les cinq niveaux du jeu.
Quatre emplacements de sauvegardes sont prévu.
Et vous avez le choix entre trois personnages en début de partie.
Simple jeu de plateforme 2D, on dirige un cowboy qui doit récupérer sa bien-aimée. Pour arriver à son objectif, il traverse les niveaux dans un gameplay 2D, comme tout bon vieux héros de jeu de plateforme qui se respecte. Son aventure est parsemée de phases plus ou moins originales (surtout dans le deuxième épisode) mais aussi de boss dans chacun des deux jeux. Au menu principal on choisit l’un des deux jeux et il se lance instantanément sans chargement, un effet assez sympathique même si ça ne fera plaisir qu’aux gros joueurs de voir ce petit exploit.
Le héros peut simplement sauter et tirer, comme dans un Megaman par exemple mais en moins speed et moins exigeant. Les niveaux ne sont pas exempts de power ups à ramasser et sont parfois ponctués de boss. La progression assez classique est agréable. Pour leur petit prix, chaque jeu fait un très bon travail, ils ne révolutionnent rien du tout mais on sent qu’il y a un vrai travail derrière pour rendre le tout agréable à jouer, sans que ce soit ni trop facile ni trop difficile, c’est amusant à jouer. Le tout se parcourt dans un style graphique style doodle (dessiné) qui est très agréable à l’oeil avec ses couleurs chaudes. La HD n’apporte pas énormément à ce style déjà chatoyant visuellement mais elle rend le tout bien lisse et sans accroc même si on n’avait pas grand-chose à reprochait à la 3DS sur ce point, encore moins à la Wii U.
Le confort visuel est quand même meilleur et on peut garder une expérience portable en faisant les jeux en toute mobilité. Il est à noter que ceux qui veulent profiter de cette compilation dans des conditions 100% salon peuvent aussi opter pour le jeu en console docké.
Voici la aussi la « carte » des différents niveaux.
Toujours quatre emplacements de sauvegardes.
Ainsi que le choix entre trois personnages (les trois même que pour le premier) pour commencer la partie.
Le second épisode sort un peu plus des sentiers battus avec des phases en 3D, une direction artistique un peu plus colorée et qui explore de nouveaux horizons. On s’éloigne parfois des couleurs chaudes du western classique, ça ne plaira pas à tout le monde esthétiquement parlant. Mais ce deuxième épisode apporte toujours des niveaux classiques et efficaces. Les jeux sont identiques aux versions 3DS, cette HD Collection ne change pas leur déroulement.
En ce qui concerne la musique il n’y a aucun changement à noter, il ne m’a pas semblé entendre une meilleure qualité du son. Les musiques restent toujours aussi sympathiques, avec pas mal de flute comme ligne directrice, pour bien représenter cette ambiance western. Enfin je parle surtout du premier épisode, dans le second les musiques sont bien plus variés, tout comme les différents niveaux. Le changement n’est que visuel pour cette compilation HD. L’absence de la 3D stéréoscopique de la 3DS n’est pas une énorme perte, l’effet était sympathique mais la HD compense cette perte par sa finesse. C’est au joueur de choisir s’il est fan de jeux en 3D stéréoscopique sur 3DS.
Le premier épisode, plus classique que le second, se voit d’ailleurs apporter un petit bonus, on peut maintenant d’entrée jouer avec Chieftain Bob, ce qui n’est possible sur 3DS que dans le second épisode. Globalement les défauts des deux jeux sont qu’ils sont très courts et que certains sauts manquent un peu de précision mais le très petit prix gomme très vite ces défauts. D’ailleurs avec cette compilation, la durée de vie des deux jeux cumulés paraît bien plus correcte au joueur et les deux Gunman Clive sont plus qu’au niveau pour un si petit tarif. Contrairement à plusieurs compilations HD de nos jours, les deux épisodes reviennent moins chers ensemble en HD par rapport à l’achat des deux jeux séparément sur 3DS.
Voici les séquences de gameplay que je vous ai enregistrée pour chacun des jeux.
Gunman Clive #01: Partie 01.
Gunman Clive #02: Partie 01.
Conclusion:
Portage à l’identique des version Wii U et 3DS, cette version Nintendo Switch sera donc surtout conseillée à ceux qui n’ont pas encore croisé la route de ces deux jeux indé qui méritent d’être découvert.
Retrouvons maintenant les résumés et aperçus des épisodes 06 à 10 de la série télé Wonder Woman.
Wonder Woman (1976-1977) (s01x06): Gargantua.
Résumé: Un couple d’espions nazi ont conditionné un gorille pour tuer des agents américains ainsi que Wonder Woman.
Wonder Woman (1976-1977) (s01x07): Le projet Pluton.
Résumé: Un scientifique américain, le professeur Warren, détient le moyen de provoquer des tremblements de terre. Il développe ses recherches au cœur d’un complexe sous le nom de projet Pluton. Les nazis qui sont au courant de cette découverte envoient leur meilleur agent, Le Faucon, enlever la formule. Il est mis en échec une première fois par Wonder Woman. Mais l’espion n’est pas au courant qu’il est atteint de la peste bubonique et qu’il contamine tous ceux qui l’entourent. Diana et Steve jouent contre la montre pour éviter la contamination de la population et retrouver l’espion.
Wonder Woman (1976-1977) (s01x08): Le dernier billet de deux dollars.
Résumé: Wotan, l’un des meilleurs espions nazi, a pris grâce à la chirurgie esthétique l’apparence du directeur de l’imprimerie nationale de billets de banques. Son projet est de créer de faux billets de banque de deux dollars pour inonder le marché américain et détruire ainsi l’économie de guerre. Mais Diana a reconnu l’homme grâce à ses pouvoirs.
Wonder Woman (1976-1977) (s01x09): Le jugement de l’espace (partie 01).
Résumé: Andros, émissaire d’une commission extra-terrestre, doit annoncer aux terriens que s’ils ne cessent pas leur guerre intestine, leur planète sera condamnée à la destruction. Les nazis intéressés par les capacités d’Andros envoient des hommes l’enlever à Washington. Après une première tentative ratée grâce à l’intervention de Wonder Woman, Andros est à nouveau piégé par un journaliste, Bjornsen, à la soldes des allemands. Il est amené dans une forteresse nazi ainsi que Steve et Wonder Woman, eux aussi capturés.
Wonder Woman (1976-1977) (s01x10): Le jugement de l’espace (partie 02).
Résumé: Alors qu’Andros est toujours détenu prisonnier par les nazis, Wonder Woman tente désespérément d’obtenir l’aide du conseil pour annuler l’ultimatum. En vain, elle devra user de toutes ses capacités pour le délivrer et parvenir à sauver les terriens.
ATTENTION: Je ne fais et ne propose AUCUNE COPIE d’épisode ni de quoi que ce soit, merci de ne pas me contacter à ce sujet car je ne répondrai pas.
L’avant dernier jeu que je me suis acheté est Lost World: Beyond the page comme vous vous en doutez sur Nintendo Switch.
Voici pour commencer les commandes du jeu.
Lost World: Beyond the page fait partie de la liste de jeux, encore trop peu nombreux, qui cherchent à faire ressentir une émotion en abordant des thèmes douloureux sur notre média préféré. Tout en finesse et en délicatesse, à la manière de Rime ou de Gris, le titre du studio Sketchbook Games aborde la perte d’un être cher sans faux-semblant, mais avec beaucoup d’humanité. Est-ce suffisant pour en faire un immanquable de nos Nintendo Switch ? La vision que nous avons du jeu vidéo est en grande partie au cœur de la réponse à cette question.
Deux mondes, une histoire:
Barbara est une jeune fille qui pour son anniversaire a reçu un journal. Passionnée d’écriture, elle livre à travers les pages de ce cahier ses inquiétudes personnelles et le début d’une histoire fantastique. Le jeu se découpe de cette manière en deux parties bien distinctes : une première qui se concentre sur l’écriture du journal et les confessions de notre narratrice et une seconde sur l’épopée merveilleuse d’une héroïne prête à tout pour sauver les siens. Les deux univers font bien évidemment écho, à la fois dans leur gameplay puisque nous retrouvons de la plateforme et des puzzle games dans les deux avec toujours cette luciole qui permet de déplacer les mots, mais aussi dans leur histoire.
L’histoire inventée par Barbara n’est autre qu’une traduction poétique et fantaisiste de la réalité. Puisque nous parlons d’inspiration, ajoutons que la direction artistique entre les délicates aquarelles et la silhouette de la protagoniste rappelle un peu Child of Light. Autrement dit, c’est réussi.
Le pouvoir des mots:
Pour la partie journal, nous sommes témoins d’un douloureux épisode familial, la grand-mère maternelle de la jeune fille est tombée malade et doit séjourner à l’hôpital. Nous allons donc suivre l’évolution de l’état de santé de cette vieille dame et nous plonger par la même occasion dans les tendres souvenirs qui unissent ces deux générations. Et pour faire avancer ce récit, le jeu vous demande de déplacer l’avatar de Barbara sur les phrases et jouer avec les mots afin de passer à la page suivante. Il suffit parfois d’atterrir sur une partie d’une phrase pour voir la suite se déployer. Certains mots peuvent être déplacés pour faciliter la progression du personnage, d’autres prennent tout leur sens en offrant des actions. Par exemple, le mot « nuit » glissé sur le soleil va faire tomber l’illustration dans l’obscurité.
C’est intuitif et plutôt malin. Le pouvoir des mots s’accentue avec l’imagination de l’écrivaine. Dans le monde magique d’Estoria, l’alter ego de cette dernière reçoit une dernière leçon de la part de celle qui lui a tout appris et devient ainsi la nouvelle gardienne du village. Celui-ci est ravagé une nuit par un immense dragon et pour la survie de son peuple, notre héroïne part en quête des lucioles et rétablir l’équilibre de son monde, le livre des mots sous le bras. Cet accessoire recueille les différents mots décisifs rencontrés au fil de la partie et qui délivrent une action indispensable pour avancer dans chacun des niveaux. Certains sont permanents, d’autres disparaissent une fois leur utilité passée. C’est ainsi que vous allez pouvoir « casser » les différents obstacles qui se dressent sur votre chemin, « réparer » des ruines pour faciliter votre parcours, mais aussi « brûler », « faire silence », « ignorer », etc.
Un conte interactif bouleversant:
Très facile à prendre en main, mais pas toujours simple d’exécution. A cela s’ajoute quelques petits bugs où l’aventurière se met à flotter et parfois, refuse de courir. C’est assez rare pour ne pas gâcher l’expérience, sachez simplement qu’ils existent. Pas de difficulté non plus dans les passages qui impliquent de la réflexion. Car l’environnement avec lequel il faut interagir s’accompagne d’une légère surbrillance. Il n’y a pas de situations complexes qui nécessitent de se creuser les méninges progresser, tout apparaît clairement.
Résultat, Lost World: Beyond the page peut se terminer d’une traite, en seulement quatre heures. L’absence totale de challenge pourrait en rebuter certains et je dois avouer que ma première impression n’avait rien de formidable: « oh, un jeu ludo-éducatif pour apprendre à lire. » Quelle erreur. Après l’introduction, quand l’histoire se délie, difficile de s’arrêter. L’épreuve que cette jeune fille doit endurer profite d’une mise en scène intelligente. La fiction devient un refuge et adoucit à sa manière la dure réalité. Vécu comme un conte interactif, le titre réussit tout de même à nous impliquer émotionnellement. A de minces occasions, le jeu vous donne la possibilité de faire des choix de dialogues, ou de choisir un nom, une couleur. Ça n’a pas véritablement d’impact dans le jeu, mais c’est une douce façon de nous laisser écrire une partie de l’histoire, nous aussi.
Voici ma vidéo de gameplay qui vous présente tous le chapitre 01.
Lost World: Beyond the page #01: Partie 01.
Conclusion:
En offrant une narration magnifique tout au long de ses deux histoires qui s’imbriquent et s’alternent parfaitement, Lost World: Beyond the page aurait pu être un must-have de nos Nintendo Switch. Malheureusement la trop grande différence de réalisation entre ses deux parties en fait une expérience bancale. Bien que vraiment poignant à certains moments, des soucis techniques et un manque de variété dans son gameplay rendent le titre trop inégal. Il n’en reste pas moins un titre extrêmement plaisant et que j’ai vraiment à parcourir tout au long des six heures nécessaires pour en venir à bout, et cela, à un tarif raisonnable de 15€.
Je me suis aussi acheté le jeu Snug Finder: Complete edition, bien sur, sur Nintendo Switch.
Snug Finder est un beau jeu d’objets cachés (pour les enfants mais j’ai eu plaisir à y jouer). Devenez un chercheur et essayez de trouver tous les objets, mais attention, parfois ce n’est pas si facile.
Plongez dans un jeu merveilleux avec de belles illustrations, des sons magnifiques et une atmosphère chaleureuse. Passez des heures sur 60 niveaux incroyables avec plus de 300 objets cachés.
Voici ma vidéo de gameplay qui vous présente les deux premiers niveaux ainsi que le troisième que j’avais presque terminé.
Snug Finger #01: Complete edition: Partie 01.