Le meilleur des super-heros Marvel 96 et 97

L’autre arrivage de Comics du mois que j’ai reçu sont de les numéros 96 et 97 de la série Le meilleur des super-heros Marvel.

Le premier est le numéro de cet autre arrivage est le numéro 96: Agent Coulson.

Résumé: Voilà le super-espion préféré des lecteurs ! Fer de lance la protection de l’univers Marvel, découvrez l’agent Phil Coulson, l’étonnant agent du S.H.I.E.L.D. !

Prouvant qu’on n’a pas besoin de super-pouvoir pour se rendre utile, Phil Coulson faitson apparition sur grand écran en 2008. Il unit les Héros les plus puissant de la Terre et confirme les statut de principale super-équipe mondiale des Avengers ! Dans ce volume, le scénariste Mark Waid rassemble les plus grands dessinateurs pour mettre en scène une fantastique aventure du S.H.I.E.L.D. Tous les héros ne porte pas de capes… la preuve par Coulson !

Contenu:

  • S.H.I.E.L.D. (vol. 3): n°01, 02, 03, 04, 05 et 06.

Le deuxième est le numéro 97: Superior Spider-man

Résumé: Grands pouvoirs, Grandes responsabilités. Esprit dangereux ! L’héroïsme et la malveillance fusionnent pour donner naissance au Spider-man Supérieur. En 2013, Dan Slott bouscule le statu quo du plus grand super-héros de Marvel en tuant l’incroyable Spider-man, infligeant un grand choc à tous les fans de comics du monde entier. A présent, découvrez comment l’auteur et ses collègues ont mis en place l’un des rebondissement les plus controversé de l’histoire du Tisseur, tandis que le Docteur Octopus prend la place d’un Avengers… et applique sa cruelle logique aux plus abjects vilains de Marve. Tenez-vous prêt à voir une alliance arachnéenne pas comme les autres… dirigée par Otto Octavius !

Contenu:

  • Superior Spider-man: n°01.
  • Superior Spider-man Team-UP: n°01, 02, 03 et 04.
  • Scarlet Spider (vol 2): n°20.

Marvel Comics, la collection de référence 88 et 96

Voici le nouvel arrivage de Comics du mois pour commencer 88 et 69 de Marvel Comics, la collection de référence.

Le premier est le numéro 88, Thor Dieu du Tonnerre: Le boucher des Dieux.

Résumé: A travers le passé, le présent et le futur, Thor doit affronter un terrible ennemi qui s’en prend au divinités. Mais qui se cache derrière cet horrible tueur et quelle est cette volonté qui le pousse à vouloir exterminer tous les panthéons ? d’une façons ou d’une autre Thor doit résoudre cet effroyable mystère avant qu’Asgard et ses habitants ne soient tous anéanti par Gorr, le Boucher des Dieux !

Contenu:

  • Thor: God of Thunder: n°01, 02, 03, 04 et 05.

Le deuxième numéro est le 96, Infinity (première partie).

Résumé: Surgis du fin fond du cosmos, les antiques bâtisseurs tracent un sanglant sillon à travers la galaxie, éradiquant d’innombrables planètes sur le chemin de leur destination: La Terre. En l’absence des Avengers, Thanos, le titan fou, tire d’avantage de la situation et passent à l’attaque. Mais il n’aspire pas à la domination globale, cherchant plutôt le savoir ancestral des Inhumains… Ainsi qu’un terrible secret, demeuré dans l’ombre depuis de nombreuses années.

Contenu:

  • Infinity: n°01, 02 et 03.
  • Avengers: n°18, 19 et 20.
  • New Avengers: n°09 et 10.

Riders republic: Bêta

C’est aujourd’hui que ce termine la bêta de Riders republic, je me suis donc décidé à l’installer et à y jouer.

Pour ceux qui ne savent pas ce qu’est une bêta c’est simplement la possibilité de jouer à un jeu avant sa sortie afin d’identifier et signaler les éventuels bugs qu’ils pourraient encore y avoir.

Le jeu commence avec un petit message de remerciement qu’on aime tant. 🙂

Voici le personnage que je me suis choisi. 🙂

Pendant ma session de jeu, j’ai eu l’occasion de tester deux véhicules, dont le vélo de cross et les ski, voici la vidéo découverte de ma partie.

Voici pour terminer, l’écran de lancement du jeu.

The Gardens Between: Et c’est le temps qui court…

Le deuxième jeu que je me suis acheté est un puzzle-game du nom de The Gardens Between.

The Gardens Between nous propose de rencontrer Arina et Frendt, deux jeunes garçons, deux voisins et les deux meilleurs amis du monde. Ensemble, dans la cabane qu’ils ont construite au fond du jardin, ils se souviennent de quelques moments clés de leur amitié.

Pour le joueur, cette exploration passe par une série d’îles. Dix-neuf au total et autant de niveaux dont le but est toujours le même, amener une lanterne allumée au sommet de l’île. Un défi qui ne sera que rarement compliqué, le jeu misant plus sur l’originalité de son concept que sur la difficulté de ses énigmes.

En effet, The Gardens Between a trouvé sa mécanique originale. On ne contrôle pas les deux personnages, on contrôle le temps qui passe. Orientez un stick vers la droite et le temps s’écoule, les personnages se déplacent alors automatiquement, tant que le chemin est dégagé. Au contraire, orientez votre stick vers la gauche et le temps se rembobine et avec lui les déplacements des personnages. Une mécanique toute simple que le jeu décline tout le long des niveaux du jeu, sans jamais apporter de réelles modifications à ce concept de départ.

On joue donc avec l’écoulement du temps, avançant et reculant pour résoudre des énigmes simples, comme taper un code sur clavier sur lequel les enfants marchent ou encore figer une goutte d’eau le temps qu’elle provoque un court-circuit, ce qui allume une ampoule supprimant un mur de brume. On ne dépasse jamais ce stade de difficulté, même si certains niveaux font des usages plus amusant du principe. je citerai par exemple ce niveau où des blocs permettant de transporter la lanterne que porte Arina bougent au rythme de la musique d’une vieille radio dont Frendt peut changer la station. Ou cet autre où les modifications de l’environnement sont le reflet des modifications apportées à une peinture murale.

Puisqu’on parle de peinture, abordons ensemble la partie artistique. Le résultat est plutôt bon, dans un style simple et assez reposant. Les niveaux sentent bon la nostalgie des années 80-90, avec ses vieilles consoles, sa télé d’un autre âge et autres petits détails qui sembleront familiers à ceux ayant grandi durant cette période. j’apprécie aussi le clin d’oeil des jeux vidéo sauce retro qui se lancent sur certains écrans. La musique accompagne le jeu tout en tranquillité, à l’exception du niveau musical cité plus haut.

Hélas, si le concept du jeu est intéressant et le visuel réussi, on reste un peu sur sa faim. La faute d’abord à une absence relative de difficulté. Les îles ne sont pas bien grandes et elles sont de plus divisées en sous-zones séparées par des ponts lumineux qui s’éteignent une fois traversés. On ne reste donc jamais bloqué très longtemps et la durée de vie s’en ressent. On comptera entre deux et trois heures pour terminer le jeu et celui-ci n’a aucune replay-value à fournir. C’est peu et on quitte finalement le jeu avec l’impression que le jeu aurait été plus à sa place sur mobile plutôt que sur nos machines de salon. Ce n’est pas une surprise vu l’historique du développeur qui, sans rendre une mauvaise copie, risque d’avoir du mal à marquer les esprits avec ce titre.

Voici maintenant ma séquence de gameplay des premiers niveau du jeu jusqu’au moment ou je me suis retrouvé bloqué.

Je termine comme toujours par l’écran de chargement du jeu.