La star de The Last of Us se prend pour Super Mario dans cette hilarante parodie de HBO !

Certaines émissions de télévision sont de véritables institutions. Aux Etats-Unis, l’un des shows les plus populaires est le Saturday Night Live, qui en est actuellement à sa 48e saison. Et quand l’émission reçoit la star du moment, Pedro Pascal, et qu’elle s’attaque à un nouveau jeu vidéo, ça fait le tour du monde.

Quand Mario Kart rencontre Pedro Pascal:

Le quatrième épisode de The Last of Us est désormais disponible, et une nouvelle fois, les fans semblent conquis. Pedro Pascal voit sa popularité encore renforcée après avoir pris de l’ampleur grace à Game of Thrones et The Mandalorian. Cette présence sous les projecteurs a conduit l’acteur à présenter le dernier épisode du Saturday Night Live, et on peut dire que l’écho de l’émission a été mondial. La raison ? Un sketch, produit avec soin et parodiant The Last of Us.

Mais la réussite du sketch ne tient pas dans le fait de tourner en ridicule la série de HBO, mais dans le fait d’avoir transposé son côté dramatique à une autre licence vidéoludique, pas particulièrement connu pour son aspect horrifique: Mario Kart 8 Deluxe. Oui, vous avez bien lu. Alors que le film d’animation Super Mario d’Illumination se profile à l’horizon, le SNL a décidé de parodier Joel Miller sous les traits de Pedro Pascal pour en faire Super Mario. Il est accompagné de Chloe Fineman dans le rôle de Peach, de Mikey Day dans celui de Luigi, ou encore de Kenan Thompson dans la peau de Bowser.

The Last of Us et Mario Kart, un drôle de couple !

Cette fois-ci, le Royaume Champignon s’est effondré, et un « colis » (Peach) est à livrer sur la route Arc-En-Ciel. La cliente se rapproche alors d’un Mario, dans son coin, connu pour savoir piloter. Le « It-a-me, Mario » est évidemment présent, mais joué de façon dramatique par un Pedro Pascal qui joue largement le jeu. Les tuyaux sont recouverts de champignons à la manière de The Last of Us, et les Goombas se comportent comme les claqueurs du jeu de Naught Dog. De son côté, Luigi vit reclus, armé d’un fusil, tandis que Bowser a l’apparence d’un Hellboy revisité et Yoshi celle d’un ado équipé d’un casque et d’un pyjama vert. La parodie pousse même l’idée jusqu’à transformer les carapaces rouges en munitions de fusil et la Plante Piranha en terrible créature. Le tout prend fin avec une course et l’évocation du retour sur la piste, opérée dans le jeu par Lakitu et sa canne à pêche.

La vidéo, qui parodie sérieusement Mario Kart des « auteurs de Mario Kart 1 à 8 », a évidemment fait le tour de la Toile et a été partagée par le compte officiel de la série The Last of Us HBO. Chacun se fera son propre avis sur la drôlerie de la production, mais impossible de nier que le mélange des deux univers a été savamment réfléchi. Les champignons de The Last of Us se mêlent à ceux de Mario, et les personnages évoluent dans un Royaume Champignon post-apo qui mériterait presque d’être développé. Précisons cependant, à toute fin utile, que Nintendo n’a rien à voir avec cette parodie.

Mario Kart:

Nintendo Switch: Mario + The lapins crétins Kingdom Battle #02: Partie 01 (Nintendo Switch)

Après vous avoir mis l’intro (que vous pouvez retrouver dans cet article) voici la première partie du jeu Mario + The lapins crétins Kingdom Battle sur Nintendo Switch.

Nintendo Switch: Mario + The lapins crétins Kingdom Battle #02: Partie 01.

https://youtu.be/3gtbCEfOF5c

Mario + The lapins crétins Kingdom Battle: Le lièvre et les tordus (Nintendo Switch)

Je viens de recevoir le jeu Mario + The lapins crétins Kingdom Battle sur Nintendo Switch.

Je ne suis pas du tous fan de Lapins crétins mais j’ai eu l’occasion d’avoir le jeu pour une bouchée de pain alors je me suis dit pourquoi pas ? Je verrai bien ce que c’est ainsi comme jeu, voici les photos de la jaquette ainsi que de la cartouche.

Avant de commencer, voici les informations de sécurité qui s’affiche à l’écran.

Quand à ce qui est des fichiers de sauvegarde, ils sont au nombre de trois.

Mario + The lapins crétins Kingdom Battle, un jeu au titre aux allures trollesques et qui pourtant existe bien. A lui seul, ce titre offre un mélange d’univers et de genres pouvant laisser perplexe ceux qui essayent de s’imaginer un aperçu avant même d’y avoir joué. Mais il ne faut pas jamais juger un livre à sa couverture, surtout ici, car vous pourriez être surpris.

Histoire et Univers:

Un jeune prodige a inventé un nouvel appareil électronique pouvant révolutionner le monde, un appareil permettant la fusion d’objets. La supervision de cet invention est gérée par une IA du nom de Beep-0. Cependant, son utilisation doit être contrôlée car l’appareil reste encore instable. Alors que notre prodige prend une pause pour réfléchir, nos joyeux lapins crétins débarquent dans la salle d’invention avec leur machine à laver à voyager dans le temps. Comme tout bons lapins qu’ils sont, ils mettent la pièce sens dessus dessous et activent malencontreusement l’appareil de fusion sur divers choses tels que des objets et des lapins. Avec toute cette agitation, la machine à laver se réactive pour un nouveau voyage temporel et aspire au passage une affiche du royaume Champignon, programmant alors la destination des lapins là-bas.

Pendant ce temps, au royaume Champignon se déroule l’inauguration de la nouvelle statue de Peach à son château. Mais un énorme trou noir apparaît dans le ciel, provoquant un énorme cyclone qui balaie le château et ses environs, projetant également nos lapins un peu partout dans le royaume. L’appareil de contrôle est aux mains (ou plutôt aux yeux) d’un lapin paniqué qui fusionne alors tout ce qu’il voit, fusionnant les lapins avec les éléments du royaume Champignon. L’IA devenue réelle en arrivant dans le royaume Champignon se fait sauver par Mario et lui explique qu’il faut récupérer l’appareil au plus vite. En effet, tous les lapins qui ont reçu les effets de la fusion sont devenus agressifs et saccagent le royaume Champignon. Vous devez les neutraliser pour qu’il reprennent leurs esprits et redeviennent de bons lapins crétins. L’aventure commence alors avec pour alliés lapin Peach et lapin Luigi et vous partez à la recherche de vos compagnons tout en neutralisant les lapins fusionnés sur votre route.

Dès les premières minutes du jeu, l’histoire est présentée de façon rapide et efficace. Cette rapidité est d’ailleurs très immersive et l’objectif est clair. La prise en main devient de ce fait intuitive et nous fait avancer sans se poser plus de questions. Le scénario est adapté à la fois à l’univers des lapins crétins mais aussi à celui de Mario, de manière complètement réussie. C’est même bluffant de voir que tout s’intègre parfaitement, tel un puzzle, ce qu’on avait encore du mal à s’imaginer avant l’introduction. Vous arpentez donc l’univers de Mario (avec de nombreuses références aux franchises annexes telles que Donkey Kong ou Luigi’s Mansion) chamboulé par l’arrivée des lapins. Les environnements sont drôles et déjantés à souhait, parodiant avec succès ceux de Mario. Le jeu est découpé en mondes et chapitres : 4 mondes de 9 chapitres chacun. A la fin de chaque monde, vous retournerez automatiquement au château de Peach. Tous les lapins qui vous neutraliserez dans le premier monde viendront construire et agrémenter les alentours du château.

Gameplay:

Mario et les lapins crétins offre plusieurs phases de gameplay qui s’alternent de façon efficace pour ne laisser aucune place à la routine, ni à l’ennui. Tout d’abord, parlons de la phase aventure. Vous déplacez Beep-0 avec votre petite équipe à sa suite. Des pièces sont éparpillées un peu partout au sol et vous pouvez les récupérer en passant dessus. Ces pièces vous servent de monnaie dans le jeu pour acheter vos armes. Vous pouvez trouver également à divers endroits des éléments d’interactions qui activeront, désactiveront ou déplaceront des dalles, des objets ou d’autres éléments du décor. Ces interactions seront souvent l’objet d’énigmes plus ou moins difficiles avec un coffre en récompense. Il y a aussi des éléments qui sont propres à l’univers de Mario tels que la récupération de pièces rouges ou les niveaux bonus de récupération de pièces bleues à toutes collecter dans le temps imparti. Ces deux éléments vous récompenseront d’un coffre spécial contenant un plan d’arme. La gestion de la caméra est un facteur important pour dénicher tous les coffres qui se cachent dans les recoins du décor, un peu à la manière d’un Cap’tain Toad. Deux autres éléments interactifs seront énormément utilisés, les tuyaux et les canons. Certains seront visibles, d’autres cachés, d’autres encore seront bloqués mais tous vous emmèneront à destination, que ce soit un coffre, des pièces ou la suite de l’aventure

Pour finir, parlons des coffres , le petit point triste du jeu. En effet, ouvrir des coffres consistera dans 60% du temps à récupérer des collectionnables pour le jeu tels que des artworks, des musiques, des modèles 3D et des cartes de tarot. Ces éléments seront plutôt pour les acharnés du 100% qui veulent tout récupérer mais pour un joueur lambda, ils ne servent pas à grand chose. Les 40 autres pourcents seront répartis entre des orbes de compétences et des plans d’armes. Mais il faudra les mériter après la résolution d’énigmes. Lorsque vous trouvez un plan d’arme, celle-ci devient disponible à l’achat pour le personnage concerné.

Parlons maintenant du contenu du jeu, les combats. Mario + The lapins crétins Kingdom Battle est un tactical RPG plutôt bien pensé avec une difficulté croissante et plutôt poussée dans les derniers niveaux. Mais le jeu reste accessible à tous grâce à son mode facile proposé au début de chaque combat, remettant vos personnages au plus haut de leur santé et augmentant leur santé maximale à hauteur d’un bonus de 50% de leurs points de vie. Lorsqu’un de vos personnages perd tous ses points de vie, il tombe inconscient et n’est plus jouable en combat jusqu’à ce qu’il récupère de la vie ou que le chapitre se termine. Un chapitre peut comporter une ou plusieurs phases de combats, donc un personnage inconscient peut être pénalisant (d’où l’intérêt du mode facile lorsque les choses ont été un peu trop compliquées pour vous). Chaque combat est régi par un objectif. Il existe 5 types d’objectifs différents, vaincre tous les ennemis, vaincre le boss/mini-boss, vaincre un nombre d’ennemis défini, atteindre une (ou plusieurs) zone(s) et escorter un personnage précis dans une zone. En fonction de l’objectif du combat, votre approche et positionnement ne seront pas les mêmes.

Vous contrôlez trois personnages aux armes et pouvoirs différents. Chaque personnage bénéficie de 3 actions par tour dans l’ordre de votre choix : tirer, se déplacer et utiliser son pouvoir. Le terrain de combat est décomposé en cases et chaque action est limitée par un nombre de cases variable. En avançant dans le jeu, chaque personnage pourra utiliser 2 armes (dont une avec un tour de repos à chaque utilisation) et 2 pouvoirs (avec des tours de récupération qui varient). Vous ne pouvez utiliser qu’une arme et qu’un pouvoir à chaque tour. Lors de votre déplacement, chaque personnage peut tacler un adversaire à portée, lui infligeant alors des dégâts et/ou sauter sur un allié pour se déplacer plus loin. Il vous faudra donc faire preuve d’observation et de réflexion pour savoir quelle action utiliser en premier pour infliger un maximum de dégâts lors de vos tours. Plus vous accomplissez un objectif rapidement et sans personnage inconscient, plus vous obtiendrez de bonus de pièces à la fin du combat.

Vous contrôlez trois personnages aux armes et pouvoirs différents. Chaque personnage bénéficie de 3 actions par tour dans l’ordre de votre choix, tirer, se déplacer et utiliser son pouvoir. Le terrain de combat est décomposé en cases et chaque action est limitée par un nombre de cases variable. En avançant dans le jeu, chaque personnage pourra utiliser 2 armes (dont une avec un tour de repos à chaque utilisation) et 2 pouvoirs (avec des tours de récupération qui varient). Vous ne pouvez utiliser qu’une arme et qu’un pouvoir à chaque tour. Lors de votre déplacement, chaque personnage peut tacler un adversaire à portée, lui infligeant alors des dégâts et/ou sauter sur un allié pour se déplacer plus loin. Il vous faudra donc faire preuve d’observation et de réflexion pour savoir quelle action utiliser en premier pour infliger un maximum de dégâts lors de vos tours. Plus vous accomplissez un objectif rapidement et sans personnage inconscient, plus vous obtiendrez de bonus de pièces à la fin du combat.

Juste avant de démarrer un combat, vous avez la possibilité d’établir une stratégie en observant le placement des ennemis ainsi que leurs portées de tir et déplacement. Il existe différents types d’ennemis qui ont chacun un comportement particulier. En fonction de votre façon de jouer, de l’objectif et des ennemis, la mode stratégique vous propose aussi la possibilité de modifier votre équipe. Les personnages jouables se débloqueront au fur et à mesure de votre progression, vous offrant de nouvelles opportunités et de nouveaux types de gameplay. Nous avons ainsi les choix d’armes suivants : Mario au blaster et marteau, Luigi au sniper et mine mobile, Peach au fusil à pompe et bombe rebondissante, Yoshi à la sulfateuse et bazooka, lapin Mario au fusil à pompe et marteau, lapin Luigi au bworb et bazooka, lapin Peach au blaster et à la mine mobile et enfin lapin Yoshi à la sulfateuse et bombe rebondissante. De même que pour les blocs explosifs, chaque arme peut bénéficier d’un effet qui aura un pourcentage de chance de s’activer contre les ennemis touchés. Libre à vous de composer l’équipe de trois membres de votre choix en fonction des effets que chacun peut activer sur ses armes. Attention cependant à un léger détail, votre équipe doit comporter obligatoirement un lapin pour être valide. Cela paraît logique pour être raccord avec le titre du jeu. Ce n’est pas un Mario contre les lapins crétins.

Pour finir la partie combat, à la fin de chaque chapitre 5, vous affronterez un mini-boss. Ces combats seront particuliers car ils mettront vos nerfs à rude épreuve. En plus de devoir gérer le mini-boss qui vous fera beaucoup de dégâts, il sera bien entouré par des nombreux lapins prêts à tout pour vous déstabiliser. La difficulté est présente, même dans les premiers mondes. Il faudra être fin stratège si vous voulez obtenir les bonus de fin de chapitre. Et ensuite, chaque chapitre 9 (final) vous met face au Boss du monde. Chaque Boss a ses propres attaques, pouvoirs et résistances qu’il vous faudra comprendre si vous voulez en venir à bout. Mais ce n’est pas tout puisque les combats de Boss se déroulent en trois phases. Vous devez en venir à bout trois fois de suite pour le terrasser. Cependant, certains boss seront moins conciliants lors de leurs deuxièmes et troisièmes phases. Faites attention à vos actions et positionnements pour ne pas succomber à leurs attaques spéciales ou aux lapins ennemis qu’ils auraient pu renforcer.

Passons maintenant aux compétences. Assez tôt dans la progression du jeu, vous débloquerez l’arbre de compétences des personnages. Grâce aux coffres et aux chapitres terminés, vous obtiendrez des orbes à dépenser pour apprendre et améliorer vos compétences. Par exemple, l’arme secondaire et le second pouvoir de chaque personnage devront être débloqués via l’achat de ceux-ci avec le nombre de points suffisants. Chaque personnage dispose de ses propres points de compétences. Si vous obtenez 20 points, ce sont 20 points pour chaque personnage et non 20 points pour le groupe. Il existe deux options dans l’arbre : réinitialiser les points et remplir automatiquement. Vous pouvez donc opter pour un remplissage par vos soins, avec possibilité de reset à tout moment sans aucun malus au cas où vous voudriez changer ou vous êtes trompé. Ou plutôt opter pour un remplissage par défaut si vous ne voulez pas vous embêter avec l’attribution des points pour tous vos personnages.

Dernier petit point au niveau du gameplay, les environs du château. A chaque fois que vous terminez un monde, vous revenez au château et recevez une nouvelle action d’interaction avec les décors. Cette action vous permet de refaire les mondes terminés et d’y trouver tous les recoins cachés. C’est à partir du château que vous pourrez accéder à pied aux différents mondes. Cependant, cette zone de paix vous permet d’autres actions telles que consulter l’équipe et son arsenal, visionner les bonus collectables récupérés via les coffres, vous téléporter pour refaire un chapitre précis, débloquer les bonus amiibo ou partir en Co-op. Refaire un chapitre d’un monde se débloque lorsque vous terminez ce monde. Cela permettra aux acharnés de terminer tous les chapitres à 100%. Mais en retournant dans un monde terminé, vous aurez à la place des zones de combat un lapin coiffé d’un chapeau champignon vous proposant des défis. Ces défis seront plus ou moins difficiles et vous récompenseront d’orbes de compétences si vous les réussissez. Les bonus amiibo seront à utiliser dès le début de votre partie si vous souhaitez le faire car les armes obtenues par ce biais seront très vite remplacées par celles proposées par le jeu. Et enfin, le mode co-op permet à deux joueurs de jouer ensemble pour accomplir des missions, chacun contrôlant 2 personnages. Cependant, ce mode de jeu est très simple. Vous jouez vos tours l’un après l’autre, et comme il n’existe pas de limite de temps pour effectuer vos tours de combat, il est facilement faisable en solo.

Graphismes, bande-son et humour:

Mario + The lapins crétins Kingdom Battle est bluffant graphiquement. Comme dit plus haut, les nombreuses références aux différents univers annexes de Mario ainsi que le mélange déjanté avec celui des lapins font de ce jeu quelque chose d’exceptionnel, tant dans le degré de débilité des lapins que dans la qualité proposée par le jeu. Dans les phases d’aventure, vous avez de temps à autre la possibilité d’interagir avec un élément du décor, symbolisé par une petite loupe. Beep-0 fera alors un commentaire (le plus souvent déconcertant) à propos du décor ou des lapins faisant une de leurs nombreuses pitreries. Côté graphismes, la caméra proposera souvent des slow-motions très bien cadrés lors de combats, ce qui ajoute un côté spectaculaire des plus réussis au jeu. Mais quelques rares fois, la caméra se placera derrière un décor, vous offrant une magnifique vue sur un mur ou un écran gris, le temps de l’action.

Le jeu nous offre également une bande-son extrêmement bien travaillée. Avec un bon nombre de pistes toutes collectionnables, les musiques sont toutes adaptées à chaque situation et sont suffisamment variées et sympathiques pour ne pas hanter vos oreilles la nuit ni au travail. Enorme coup de coeur sur la musique du Boss du troisième monde ! Un vrai régal !

Mario + The lapins crétins Kingdom Battle, c’est avant tout de l’humour décalé. Cependant, on est dans une démesure calculée. Ce n’est pas de l’humour juste pour faire de l’humour grotesque avec les lapins. Les scènes et décors sont travaillés, le dosage est juste parfait car le jeu reste tout de même sérieux avec un scénario vraiment inattendu et excellent au final. Que ce soit les noms et les descriptions des armes, les réactions de Beep-0 ou encore les réactions ou animations d’attaque des lapins alliés, le jeu est blindé d’humour à petite dose partout. Le jeu n’en pâtit pas, l’univers de Mario non plus, c’est un coup double réussi de la part d’Ubisoft.

En attendant de vous mettre mes séquences de gameplay, voici déjà l’intro du jeu que je vous ai enregistrée.

Mario + The lapins crétins Kingdom Battle #01: Intro.

https://youtu.be/qS204jAlmNY

Pour terminer, voici les différents flyer qui sont dans la boite et qui vous présente ceci.

Les figurines ainsi que le jeu Rayman Legends.

Ainsi que la BD et divers autres choses.

Super Mario Bros (Partie 02)

Après le premier coffret de Super Mario Bros, voici maintenant le détail du deuxième coffret.

Ce deuxième coffret contient quatre DVD numéroté de 06 à 09.

DVD 06:

Episode 27: Au service de sa majesté Koopa
Episode 28: Mario et le Baron Koopa
Episode 29: Le pot de pièces en or
Episode 30: Les noces de la princesse
Episode 31: La marque de zéro
Episode 32: 20.000 Koopas sous les mers
Episode 33: Les Koopas arrivent

DVD 07:

Episode 34: Koopenstein
Episode 35: Un invité pour la pizza
Episode 36: Le gros corruptible
Episode 37: Le cheval de Koopa
Episode 38: Vive le karaté
Episode 39: Quelle drôle d’histoire
Episode 40: Le père Koopa

DVD 08:

Episode 41: Koopa et les dix commandements
Episode 42: L’aventurier
Episode 43: La grande ruée vers l’or
Episode 44: Mario ne fait pas le singe
Episode 45: Crocodile Mario
Episode 46: L’école des plombiers

DVD 09:

Episode 47: Ne rapetissons pas
Episode 48: La dernière chance
Episode 49: Les aventures du champignon perdu
Episode 50: Star Koopa
Episode 51: La petite évasion
Episode 52: La petite princesse rouge

Super Mario Bros (partie 01)

Après vous avoir présenté les deux coffrets de la série Super Mario Bros dans le précédent article, je vous présente maintenant le détail du contenu des différents DVD.

Commençons par le coffret n°01.

Comme précisé précédemment, ce premier coffret comporte cinq DVD numéroté de 01 à 05.

DVD 01:

Episode 01: Ne fais pas l’oiseau
Episode 02: Butch Mario et Luigi Kid
Episode 03: Mario de Cramalot
Episode 04: Le tapis magique
Episode 05: En descendant la rivière
Episode 06: Le grand gladiateur

DVD 02:

Episode 07: Mario et le haricot
Episode 08: C’est beau l’amour
Episode 09: La course des BMX
Episode 10: Deux plombiers et un couffin
Episode 11: Gardez les au frais

DVD 03:

Episode 12: Gare aux pirates
Episode 13: Robot Koopa
Episode 14: Monsieur le Comte
Episode 15: La fièvre de la jungle
Episode 16: Jusqu’au bout

DVD 04:

Episode 17: L’incendie
Episode 18: Mario rit jaune
Episode 19: Mario et Juliette
Episode 20: Attention ça brûle
Episode 21: Le grand boum

DVD 05:

Episode 22: Les aventures de Sherlock Mario
Episode 23: Robin et les gais Mario
Episode 24: Le grand guerrier
Episode 25: L’infâme Koopa
Episode 26: Le roi prisonnier