Samedi le 25-02-2023: 13h 03min / J+02

Certain l’on peut-être remarqué (d’autres pas), mais j’ai été absent deux jours, pour rappel, jeudi je me suis fait opérer pour une deuxième augmentation mammaire, je suis passé d’un 100D à un 100EE (voire 100F suivant le modèle et la marque de soutifs).

Je suis arrivé chez le chirurgien vers 19h 40min pour être opéré au alentour de 20h 10min, l’opération c’est bien passée, il y a juste que l’anesthésiste à du me piquer une première fois dans le bras droit pour m’endormir, mais comme les veines était trop fine elle l’a fait au bras gauche, ce qui a été plus facile.

Je rigolais avec elle car elle me dit je vais devoir vous attacher les bras au cas ou vous auriez des sursaut, je lui répond alors « Ah chouette on va faire du bondage » on c’est mis à rigoler comme c’est pas possible, ensuite elle me dit qu’il faut pas m’inquiéter si a un moment en voie les lattes qui sont au plafond bouger, c’est normal mais elles tiennes très bien.

Je ne me suis rendu compte de rien quand j’ai été endormi, je me suis réveillé tous seul (alors que j’ai toujours pensé qu’on faisait une piqure pour réveiller les gens), l’infirmière m’a alors aidé a aller jusqu’à la voiture de mon beau père (c’est lui et ma mère qui m’ont conduit la bas), je me rappelle juste qu’elle me disait de la regarder dans les yeux quand je marchait (j’ai aucun souvenir de sa la première fois), puis elle me dit, j’ai su vous rhabiller sans problème (je m’en souviens pas qu’elle ma rhabillé) et la vous n’avancez pas, j’avais pourtant vraiment l’impression de marcher mais mon beau-père m’a dit que je faisais du sur place, lol.

En rentrant je me rappelle juste que je voyait tous en double, je suis resté chez ma mère pour ne pas rester seul après mon opération, j’ai dormis quasi direct (j’ai même pas enlevé ma veste tellement j’étais crevé) dans le fauteuil du salon, mais le lendemain je vous dit pas comme j’avais mal partout.

alors la nuit suivante j’ai dormi dans une des chambre ainsi que cette nuit, mais impossible de dormir correctement, je savais pas comment me mettre, alors vers 10h en me levant j’ai demandé a mon beau père de me ramener ici et j’ai dormi direct.

Pour le reste le premier jour impossible de bouger tellement j’avais mal.

Le deuxième j’avais toujours mal mais aux bras et ou était les cicatrices, cela me brulais un peu

Aujourd’hui j’ai mal au cicatrice quand je me lève toujours mal au dos à cause que j’étais mal mis pour dormir chez ma mère.

Pour le reste je marche encore un peu courbé vers l’avant parce que ça me fait mal mais sinon la douleur est bien présente mais quand même moins que lors de ma première augmentation mammaire.

Je vous ai quand même fait une photo pour vous montrer a quoi cela ressemble pour l’instant, comparé a ce que j’avais avant, je sais pas vous en montrer plus car je doit garder ce soutifs 6 à 8 semaine donc c’est tous ce que vous verrez.

Voici ce que j’avais avant

Et ce que j’ai maintenant, Je ne sais pas vous, mais je pense qu’on voie quand même un peu la différence.

Pour finir ce sont des implants mammaire de 1000cc, se sont les plus gros du marché, c’est l’équivalent de 1 litre chacun et 1kg de chaque coté, le chirurgien quand je suis allé pour les remplaces, au départ il pensait à une blague quand je lui ai dit ce que je voulais, déjà ceux que j’avais avant il en avait mis très peu car c’est pas ce qu’on lui demandais comme taille, en général on lui demandé du 250cc ou du 350cc pas plus et moi j’étais déjà a 500cc, sa arrive, on lui en a demandé mais c’est pas ce qui est le plus courant, mais ceux que j’ai maintenant en 25ans c’est la premières fois qu’on lui en demande aussi bien à lui qu’à son assistant, ils ne pensais même pas qu’un jour on leur demanderai sa.

J’avais pris mes infos à quasi tous les chirurgiens de Belgique pour remplacer mes implants et tous ce qu’on me proposais c’était ce que j’avais déjà du 500cc, aucun des chirurgiens que j’ai contacté ne voulais mettre plus, mis à par un qui accepté d’aller jusque 550cc et pour le prix que cela m’a couté 6000euros (4000 la première fois) je me voyait pas mettre une somme pareil pour avoir aussi peu de volume en plus (maintenant c’est des nibards qui me reviennes a 10.000 euros que j’ai), lol (quasi le prix d’une bagnole d’entrée de gamme)

Sans y avoir pensé, je me dit que je doit probablement être le seul homme au monde a avoir des seins pareil.


Mise à jour: Dimanche le 26-02-2023: 12h 45min.

Aujourd’hui, je suis sorti, je viens d’aller faire quelques courses à Delhaize (en fait surtout pour avoir une raison de sortir), je viens de rentrer à l’instant et tous c’est bien passé à l’aller et au retour, j’ai eu aucun mal pour aller jusque la et revenir, et je n’ai presque plus mal nulle part.

Blasphemous démo: Victimes de la foi (Nintendo Switch)

Je me suis aussi téléchargée la démo de Blasphemous sur ma Nintendo Switch et que j’ai aussi complet en version Playstation 4.

Développé par le studio espagnol The Game Kitchen (The Last Door) et édité par Team17 sur Nintendo Switch. Je suis parti explorer un monde cauchemardesque à la religion pervertie. Préparez-vous à affronter de terribles malédictions.

Dans Blasphemous, vous incarnez Le Pénitent, seul survivant du massacre du «Chagrin silencieux». Piégé dans un cycle sans fin de mort et de résurrection, vous devez libérer le monde de son terrible destin et atteindre l’origine de votre angoisse. Une terrible malédiction s’est abattue sur Cvstodia et ses habitants. Ils l’appellent simplement «Le Miracle». Le jeu débutera dans une bonne ambiance, avec notre personnage se relevant au milieu de cadavres et muni d’une seule épée. On terrasse un premier boss, on remplit notre casque pointu entouré de barbelé avec le sang de ce dernier et on part pour l’aventure. Forcément, c’est un titre mature pour adulte très dérangeant à ne pas mettre entre toutes les mains. Mais Blasphemous dispose d’une véritable profondeur. Le titre va chercher ses inspirations du côté de Metroid ou encore Castlevania avec un gameplay en 2D de type Souls-like.

Vous disposez de la puissance de Mea Culpa, une épée née de la culpabilité même, que vous utiliserez pour massacrer vos ennemis. Vous pouvez sauter, effectuer une parade en appuyant sur R pour ensuite enclencher une contre-attaque et une riposte pour étourdir ou achever un ennemi. Il faudra vite apprendre à maîtriser la parade pour survivre et privilégier les contre-attaques. Notre personnage peut également reculer en arrière via une glissade, très pratique contre de plus gros boss dont les attaques ne peuvent pas être parées. Il sera possible d’améliorer ses techniques de jeu en combattant diverses créatures ou en récoltant des prières. Cela apportera de la variété au gameplay particulièrement punitif. La mort n’est jamais loin, mais heureusement, les flasques de bile permettent de récupérer un peu de vitalité. On les recharge tout en sauvegardant sa partie devant des autels (prie-Dieu) mais en contrepartie, tous les ennemis réapparaissent sur la carte.

On peut aussi récolter des perles tout au long du jeu pour augmenter ses performances. Blasphemous est loin d’être un jeu facile. Les niveaux sont remplis de pièges mortels et d’objets/salles inaccessibles lors de votre premier passage. Une certaine frustration en ressortira parfois car sans avoir connaissance de certains passages ou ennemis, vous allez certainement mourir. L’apprentissage des patterns et primordiale et on ne peut s’empêcher de penser à un certain Dead Cells dans sa mise en scène même si ce dernier n’était pas aussi glauque et que l’on ne recommence pas du début à chaque fois. Notre personnage n’est pas non plus très agile et il faudra composer avec, au risque de s’exposer par moment à des attaques mortelles dont il est difficile d’échapper, ou encore à certains sauts hasardeux. Vu que les coups portés par les ennemis projettent souvent notre personnage en arrière, vous avez intérêt d’anticiper vos déplacements au risque de tomber plus bas.

Lorsque l’on se trouve dans un jeu ou notre vitalité est primordiale, on retient notre souffle jusqu’au prochain autel. Il est regrettable que, par moment, ils ne soient pas très bien placés et que l’on doive parcourir de longue distance sans en apercevoir un seul. Il y a bien une carte pour se repérer mais cela n’empêchera pas de devoir faire un certain nombre d’aller-retour. Et quand les dizaines de salles grouillent d’ennemis tous plus bizarres les uns que les autres, il faut être précis bien que notre personnage ne réponde pas toujours bien. Le bestiaire est très dense et, à l’image du jeu, très étonnant. On se retrouve face à des pèlerins enragés, créatures de cires, statuts de pierre qui porte une tombe sur leurs dos, des femmes attachés à des pierres sans oublier les ennemis volants ou sortant du sol. Ce n’est qu’un petit aperçu des ennemis mais ils sont très particuliers. Les boss, eux, sont absolument malaisants. Leurs attaques seront bien plus imposantes et nécessiteront une bonne connaissance des patterns et des points faibles.

Il faudra compter une douzaine d’heures pour en voir le bout, mais un peu plus pour tout découvrir tant le jeu regorge de salles secrètes. Il est bien dommage de ne pas pouvoir placer de point sur la carte du jeu car ce n’est pas évident de tout retenir sans passer par une soluce. Je n’ai pas encore parlé de la partie la plus convaincante du soft, à savoir sa direction artistique. Le côté 2D en pixel fonctionne à merveille et l’ensemble est très cohérent. Même si la bande-son participe à la création de l’univers, ce sont les graphismes qui permettent véritablement de se plonger dans cette ambiance dérangeante avec des arrières plans variés dont certains somptueux, des cinématiques sanglantes et des animations travaillées (chaque ennemi dispose aléatoirement d’une animation spéciale de mise à mort lors des contres, d’une violente beauté macabre). Le portage Nintendo Switch tourne très bien mais le jeu souffre de petits bugs, sans doute communs aux autres versions. Le jeu en lui-même n’est pas difficile mais il faut aimer apprendre les patterns de chaque ennemi et le style rétro du jeu. Cependant, en cours de route, la difficulté se corse subitement sans que l’on ne comprenne vraiment pourquoi. Malgré tout, rien d’insurmontable.

Voici ma vidéo de gameplay de la première partie du jeu.

Blasphemous #01: Partie 01.

Conclusion:

Pour s’intéresser à Blasphemous, il faut être curieux et ne pas être rebuté par son gameplay à l’ancienne ni par sa représentation malsaine de l’église catholique. C’est un jeu très dérangeant, sanglant et qui dispose d’une certaine difficulté. Mais Blasphemous dispose d’ambiances visuelle et sonore très travaillées, d’un bestiaire varié et d’une mise en scène macabre et lugubre. C’est un jeu qui pousse constamment à l’exploration et qui dispose d’une bonne rejouabilité pour tenter de découvrir tous ses secrets.

Max: The Curse of Brotherhood démo: Le coup de crayon magique (Nintendo Switch)

Aujourd’hui, je me suis acheté et téléchargé quelques jeux vidéo et démo pour ma Nintendo Switch, et le premier est la démo du jeu Max: The Curse of Brotherhood, que j’avais déjà complet sur la Playstation 4.

Développé par Microsoft Games Studio et édité par Press Play, Max: The Curse of Brotherhood est un jeu de plateformes regorgeant d’énigmes plus ou moins cocaces. Mêlant avec astuce le dessin et la réflexion, plongeons-nous le temps d’une aventure dans la peau d’un jeune garçon prêt à tout pour sauver son petit frère…

L’aventure débute par une courte vidéo introductive afin de vous conter la trame principale du jeu. Alors que vous rentrez péniblement d’une difficile journée d’école, votre petit frère, Félix, se prélasse dans votre chambre. Vous le découvrez en pleine partie avec vos jouets favoris et le petit filou ne se gêne pas pour vous faire partager sa frénésie par diverses vocalises. Tout comme il n’hésite pas à malmener vos précieux joujoux… Agacé, vous trouvez une mystérieuse formule sur internet pour vous débarrasser de votre frangin dans les plus brefs délais… Tellement brefs qu’il ne suffit de quelques secondes pour le voir disparaître, emporté par une créature démoniaque qui semble vouloir en faire son quatre heure. Débarrassé… vous regrettez aussitôt… et partez sauver votre frangin des griffes de ces créatures diaboliques pendant que le portail vers leur monde est encore ouvert. Bienvenue dans Max: The Curse of Brotherhood.

Dans un premier temps, nul doute que vous apprécierez le décor (après tout, le p’tit frère peut bien patienter un peu !). En effet les graphismes sont soignés et les dessins joliment colorés. L’ensemble est particulièrement agréable à l’oeil et certaines scènes pourraient bien vous faire émettre un petit « ooooh » d’émerveillement, pour le peu que vous soyez sensibles à ces choses-là.

Rapidement, vous prendrez en main les commandes pour maîtriser les premiers pas dans l’aventure qui se résument à un jeu de plateformes traditionnel. Néanmoins, rapidement, vous vous verrez confié un objet incroyable, un petit rien qui traine dans votre sac et qui va devenir votre bien le plus précieux une fois gorgé de magie, votre marqueur. Par l’intermédiaire d’une rencontre au commencement de votre périple, vous voilà le digne possesseur d’un stylo magique avec lequel vous pouvez désormais manipuler le décor ou encore dessiner divers agrès afin de parvenir à avancer dans votre quête.

Au début, vous serez capable de faire jaillir des troncs plus ou moins imposants. Ces derniers sont parfaits pour vous accueillir et atteindre rapidement la prochaine plateforme. Puis, au fil des chapitres de votre aventure, vos compétences s’additionneront et vous pourrez créer bien d’autres supports, et même de très longues lianes. N’ayez crainte, il ne sera pas question de dessiner tout ce qui vous passe par la tête n’importe où. Le soft vous aiguille à chaque fois, et vous n’aurez finalement pas le choix. Enfin, globalement… Car n’imaginez pas que Max: The Curse of Brotherhood se résume à une petite balade champêtre pour libérer votre petit frère d’une vilaine gargouille. Loin de là !

Pour les lecteurs qui ont allégrement dépassé la vingtaine, certains pourraient bien retrouver quelques aspects du célèbre Heart of Darkness sorti en 1998 sur PC et PS1. En effet, si la maniabilité de Max peut être quelque peu déconcertante au démarrage, le saut est assez aérien, la chute n’est pas vraiment brutale comme c’est souvent le cas dans un jeu de plateformes… sauf si le héros est muni d’ailes bien entendu, elle reste globalement agréable et nous rappelle la conduite du jeune Andy dans Heart of Darkness. Au final, il vous faudra au minimum une petite dizaine d’heures pour parvenir au bout de l’aventure pour les plus aguerris des énigmes. Pour les autres en revanche la difficulté de certains passages pourrait bien vous laisser perplexe.

« Mais que puis-je bien faire ici pour attendre la plateforme de là-bas ? », voilà bien une phrase que vous vous répèterez inlassablement au cours du jeu. D’ailleurs, certaines énigmes nous ont même fait penser aux sanctuaires de The Legend of Zelda: Breath of the Wild. Aussi, il vous faudra faire preuve d’une grande adresse pour certains niveaux. Les sauts doivent être particulièrement minutieux, et la moindre seconde de retard vous coûtera la vie. Heureusement, elles sont illimitées, et vous serez libre de multiplier vos tentatives pour espérer trouver le bon dénouement de l’énigme en cours. La persévérance est de rigueur, et le Die and Retry les maîtres mots de votre aventure.

Certaines phases de jeux s’apparentent enfin à des courses poursuites, alors que votre ennemi est à vos trousses, il vous faut éviter les obstacles et enchaîner les sauts calibrés pour parvenir à semer l’immondice qui vous colle aux basques. Ces passages sont particulièrement bien réalisés dans l’ensemble, et même s’il vous faut être rapide pour dégainer votre marqueur et créer LA plateforme manquante, les développeurs ont été plutôt sympas sur le coup, le jeu passe en mode ralenti pour vous permettre de réaliser convenablement votre prochain marchepied. Avec des commandes qui se prennent rapidement en main, vous y arriverez sans difficulté (mais peut-être après quelques tentatives tout de même).

Les musiques et les bruitages ne sont pas trop abrutissants et vous pourrez aisément garder le son au cours de vos nombreuses réflexions. Enfin, les dialogues sont en anglais mais sous-titrés en français.

Voici ma vidéo de gameplay de la démo complète.

Un site et une chaîne

Je vous fait ce message pour vous annoncer deux mini-nouvelles.

La première est qu’il y à une semaine environ, j’ai créé ma chaîne Youtube, sur la quel vous pourrez retrouver pour l’instant mes anciennes reviews, mes animations réalisée en stop motion, et dans quelques temps mes prochaines reviews que je prévois de faire.

N’hésitez pas à aller y jeter un oeil, commenter, liker, vous abonnée et activer les notification pour ne rien rater des prochains contenu, ainsi que la partager si vous la trouvez intéressante.


La deuxième nouvelle que je doit vous annoncer est que dans la foulée, j’ai aussi créé mon site internet il y a deux jours, afin de partager avec vous (et ceux que cela intéresse) ma collection de jouets.

La encore n’hésitez pas a liker les photos (qui seront mise à jour régulièrement), les commenter, et partager l’adresse autour de vous.

Voici les deux lien en question:

Ma chaîne Youtube.

Mon site Internet.

Et en bonus, voici l’adresse de mon groupe Facebook pour ceux qui aime ou collectionne les jouets.

Mon groupe Facebook.