Ma journée du 18 mars 2013 – Matinée

Début – 10h 28min:

Bonjour tout le monde, je suis levé depuis 09h 50min, la nuit c’est bien passée, et j’ai aujourd’hui encore quelqu’un de blanc et gris qui c’est collé à moi de la nuit.

Pour ce qui est d’aujourd’hui, je pensais aller faire quelque course de la matinée quand je me suis rappelé que le Carrefour n’ouvre qu’après midi, donc j’ai pas trop le choix que d’attendre.

Je sais pas trop ce que je vais faire de la journée vu que j’ai pour ainsi dire fini de ranger mon appart, je vais peut-être jouer un peu à la PS3, je sais pas encore.

Ici je vais déjà aller me faire un cappuccino et puis je vais voir quoi faire en attendant midi pour que j’aille faire les courses.

Voilà, je vais vous laisser pour l’instant et si il y à du neuf ou quoi, je vous met ça en mise à jour à la fin de cet article.

Fin – 10h 32min:

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Mise à jour – 14h 38min: Merde il semblerai qu’il y ai encore un commentaire qui c’est perdu, envoyé cette fois à 14h 11min, je viens de voir qu’il y à l’air qu’il à était envoyé mais j’ai rien reçu ici, je suis pour l’instant sur le pc, donc si vous voyez que je ne vous répond pas dans les 2 à 5min après que vous avez posté votre commentaire, n’hésitez pas à me faire part du problème ou de vos question par mail si vous en avez.

Ma journée du 17 mars 2013

Début – 02h 31min:

Bonsoir tout le monde, comme chaque soir avant d’aller faire dodo, je viens vous faire le résumé de ma journée,… Voire au-delà.

Pour ce qui est de ma journée d’aujourd’hui, pour finir ça à été et je l’ai passée à continuer de ranger mon appart, ce qui fait que j’ai pas fait grand chose d’autre, et encore il y à 20 min, j’étais encore en train de ranger quelque bricole à gauche et à droite.

Pour ce qui est du reste j’ai juste allumé la télé en soirée quand Leedee m’a sonné pour me dire qu’on faisait Faites entrer l’accusé, et j’ai eu l’impression que l’émission tourné en rond, alors que d’habitude les intrigues sont bien expliquée et tous mais la c’était pas trop ça aujourd’hui.

Ah oui, j’ai failli oublier, pour la personne qui à essayé de mettre un commentaire sur cet article à 17h 31min, je ne sais pas si pour finir elle l’a posté ou pas, car je n’ai rien reçu, cela est assez rare mais il arrive des fois que des commentaires de « perde » ou ne se valide pas quand on les envoient, qu’elle n’aille pas penser que ça serai moi qui ne l’aurai pas validé ou qui n’aurai pas voulu répondre, donc ci cette dernière se reconnait, qu’elle n’hésite pas à venir le remettre et encore désolé pour ce petit désagrément.

Voilà, ici je vais vous laisser et aller faire dodo alors je vous dit bonne nuit.

Fin – 02h 34min:

Ma boule de voyant (464)

Voici la prédiction qui m’a été donnée aujourd’hui par Ma boule de voyant sur Facebook.

Ma boule de voyant 464 - 01

Depuis que tu me le dis, serai temps qu’elle rabaisse un peu sa fierté et qu’elle sorte de
l’ombre cette fameuse personne, car j’ai assez fait le premier pas pour ensuite plus d’une fois me faire cracher à la gueule et j’ai pas spécialement envie que ça recommence.

Ps: Quoi qu’il en soit comme je l’ai déjà dit, ça ne m’intéresse pas de revivre ce que
j’ai vécu et donc si cette personne n’a rien à me proposer elle fait bien de rester la ou elle est.

Les mémoires d’un pirate (111)

– Ouvre les yeux ! fit la tête de navigateur.

Lentement, j’ouvris un oeil. J’ouvris le second pour qu’il me confirme ce que voyait l’autre. Incroyable ! Un chemin s’était formé devant moi, le mur qui demeurait en face avait disparu comme par enchantement ! Quant au niveau de la lave, il était redescendu, à moins qu’il ne soit jamais monté. Sans doute la chaleur. La tête me fit signe d’avancer. Ne désirant pas retenter le diable en sa demeure, je fis ce qu’elle me demandait. En tout cas, après mon pantalon, c’était mon caleçon que j’aurais besoin de changer. De toute urgence.

Mais où étaient donc ces imbéciles. A part Goodnight qu’elle avait trouvé aisément endormi sous un arbre, elle n’avait pu retrouver Otis et Meethook. Carla entendit un bruit. Ca venait des buissons. Hum… Elle ramassa un gros caillou puis le lança dedans. Rien. Elle aurait pourtant juré que… Elle s’approcha du tas de feuilles et y mit le feu. Hum…

– Otis, je t’ai vu dans le buisson.

Pas de réponse. Quel sale tricheur celui là ! Il lui vint une idée.

– Oh ! Mon T-Shirt me tient trop chaud. Je vais l’enlever…
– Ca ne prend pas ! cria le buisson. Tu ne crois pas que je vais me laisser démasquer avec une ruse aussi minable quand même !
– On est bientôt arrivés ? demandais-je pour au moins la dixième fois.

Et pour la dixième fois la tête me répondit :
– On arrive bientôt.
– Ouais, tu parles !
– Bien sûr que je parle ! Tu vois cette grotte devant toi ?

Je la voyais. On pouvait y accéder par deux chemins d’ailleurs. Le premier en traçant tout droit, le second en passant par un chemin long et tortueux vers la droite.

– Bien sûr que je le vois. Qu’est-ce qu’il a de si spécial ?
– C’est après elle que tu arriveras enfin au bateau fantôme de LeChuck.
– C’est pas trop tôt ! dis-je en m’engageant logiquement sur le plus court chemin.
– Stop ! me cria la tête.
– Rohhhhhh ! Quoi encore ?
– Je te conseille fortement de prendre le chemin de droite.
– Pourquoi ? On ne t’a jamais dit que le chemin le plus court d’un point à un autre est la ligne droite ?
– Si. Mais on m’avait aussi dit que les têtes toutes seules ne parlaient pas non plus, alors tu sais…

Stupide. Je décidai d’ignorer son conseil. Il était peut-être très fort pour s’y retrouver dans les chemins tortueux mais il n’était pas à la hauteur quand tout était simple. Le cas typique de l’intellectuel qui ne sait rien faire simplement.

– Ne fais pas ta tête de mule ! me cria-t-il.
– Tu peux parler, toi !

Alors que je me trouvais à mi-chemin, le sol se mit à trembler.

– Oh, oh !

Le chemin se mit à partir en brioche, depuis la grotte, vers moi.

– Je te l’avais dit, me fis remarquer la tête.

Je tournai les talons et repartis en courant en sens inverse et en criant « Oh, maman ! ».

Je sentais le chemin qui disparaissait derrière moi et la lave qui se rapprochait de moi de plus en plus.

– Et si je ferme les yeux ? demandais-je à tout hasard à la tête.
– Tu crois pas que ça marche à tous les coups quand même. Cours espèce de demeuré !

C’est ce que je faisais. Je n’aurais jamais pensé être aussi rapide, surtout avec une telle chaleur. Je n’étais plus très loin de la berge, mais le vide derrière moi non plus. L’une de mes jambes, et peu m’importait si c’était la droite ou la gauche pour ceux qui aiment les
précisions, sembla soudainement pendre dans le vide. Avec l’autre, je pris mon élan et sautai vers la berge.

– Trois petites épreuves, qu’ils disaient !!!!!!

J’étais sauvé ! J’étais parvenu à retomber sur la terre ferme. Mais j’avais perdu la tête ?

Enfin, pas la mienne, ou plutôt si… Enfin la mienne mais celle du navigateur. Bref, où était-elle passée ? Je cherchai autour de moi en tâtonnant, quand il me sembla entendre des plaintes étouffées.

– Hého ma tête ? Où es-tu ma tête ?
– Mmmmh !

Elle était là ! Accrochée au bord grâce à ses dents. La tête vers le bas. Je la récupérai.

– Tu me dois une fière chandelle ! lui dis-je.

Elle me regarda de travers en serrant les dents. Elles étaient toutes noires à cause de la roche mordue.

– Tu es trop impatient ! me dit-elle. Tu n’as vraiment pas la tête sur les épaules !
– Oh, tu peux parler… dis-je gêné en évitant de croiser son regard globuleux.
– Et arrête de répondre comme un gamin de six ans !
– Et l’autre ! C’est celui qui le dit qui l’est !

Je repris ma route. En suivant cette fois le seul chemin qui me restait. Difficile de me tromper cette fois.