Ma journée du 25 janvier 2013 – Matinée

Début – 13h 18min:

Bonjour tous le monde, je suis levé depuis 12h 25min, la nuit c’est bien passée, et quelqu’un de blanc et gris est resté très calme.

Pour ce qui est d’aujourd’hui, ça va un peu mieux qu’hier et mes os ne me font pas mal, par contre je me sens encore un peu fatigué mais ça va.

Ici je vais déjà commencer par répondre aux quelque mails que j’ai reçu, et puis je verrai bien ce que je ferai.

Voilà, je vous laisse pour l’instant, et si il y à du neuf ou quoi, je vous met ça en mise à jour à la fin de cet article.

Fin – 13h 26min:

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Mise à jour – 16h 16min: Je vais commencer tout doucement à préparer mes articles pour le week-end quand même, parce que la j’ai encore rien fait du tout.

Mise à jour – 17h 06min: Voilà, j’ai fini de préparer mes articles pour le week-end (enfin le peu que j’avais à préparer), maintenant je vais commencer à me préparer moi et mes affaires et faire attention de ne rien oublier.

Ma journée du 24 janvier 2013

Début – 04h 19min:

Bonsoir tous le monde, comme chaque soir avant d’aller faire dodo, je viens vous faire le résumé de ma journée,… Voire au-delà.

Alors que des fois ça va plus ou moins, aujourd’hui c’était pas trop ça, j’ai de nouveaux eu cette impression de fatigue et de douleur partout dans les os pendant une bonne partie de la journée ainsi que début de soirée.

Pour ce qui est de l’après midi j’ai Leedee qui m’a fait un sms pour me dire qu’il y avais l’émission Toute une histoire… et que le thème d’aujourd’hui était les hermaphrodites, et bien que je savais déjà pas mal de choses de ce qui c’est raconté, je me dit que l’émission était assez intéressante surtout pour ceux qui n’y connaisse rien et qui confonde hermaphrodites et transsexuelles.

Après ça j’ai commencé à regarder Comment ça va bien !, mais j’ai pas vu la fin de l’émission car j’ai du m’endormir une petite dizaine de minutes après le début.

Quand je me suis réveillé j’ai joué un peu sur l’iPhone avec les nouvelles applications que j’avais téléchargé et après ça j’ai voulu essayer les démos que j’avais téléchargée hier sur la PS3 mais pour finir je les ai pas essayé car ça me disait rien de jouer à la PS3.

En soirée j’ai regardé Crazy night vu qu’il y avait rien d’autre, et bon bien que le film était moyen, c’était sympa à regarder quand même.

Ensuite j’ai était me laver et quand j’ai eu terminé je me suis j’ai fait quelque partie avec Leedee à Angry words, c’est sympa comme jeu, pour ceux qui connaisse pas, c’est un peu comme le scrabble en fait.

Pour ce qui est du reste j’ai rien fait grand chose d’autre, je suis même pas sorti, enfin si juste sur le palier pour aller chercher le courrier et puis c’est tout.

Voilà, je vais vous laisser et aller faire dodo, alors je vous dit bonne nuit.

Fin – 04h 30min:

Les mémoires d’un pirate (078)

Stan m’accueillit avec un grand sourire aux lèvres. Il me fallait penser à lui demander quel dentifrice il utilisait.

– Heureusement que tu es là ! fit Stan excité. Il y a dix personnes qui ont essayé de m’acheter cette beauté, alors que je reste là à t’attendre. Mais je leur ai dit : rien à faire, j’ai un client qui est AMOUREUX de ce navire et ça lui briserait le coeur de le perdre. N’ai-je pas raison ? Bien sûr que j’ai raison !

Il me tourna vers le Singe des Mers. C’est vrai qu’il était beau, le bougre ! Même sous cette pluie battante qui commençait à le faire pencher dangereusement vers l’avant.

Heureusement que les trous dans la coque évacuaient l’eau qui s’engouffrait à bord.

Stan continua dans son fou discours :
– Regarde-le un peu : élégant, aérodynamique… une beauté flottante couverte de moules.

Grand silence. Que pouvait-on ajouter devant pareil spectacle ? Il n’y avait pas de mot pour qualifier l’intensité du moment. Mon premier bateau…

– Quel moment émouvant… commenta Stan les larmes aux yeux.

Nouveau silence. Les gouttes qui coulaient le long des joues de Stan montraient à quel point ce professionnel des bateaux d’occase tout neufs, aimait sa marchandise. Je m’en voulais de lui arracher un de ses enfants, surtout à un prix si modique toutes taxes comprises.

Si j’avais eu la possibilité de lui offrir le triple je l’aurais volontiers fait, mais ma bourse étant désespérément vides je n’avais pu le faire.

Une étoile filante déchira le ciel de ses paillettes enflammées. Ce fut trop pour Stan qui craqua devant moi :
– J’ai changé d’avis, fit-il. Je ne peux pas le vendre. Tu peux reprendre ton argent.

Comment me séparer de quelque chose d’aussi précieux ?

Un éclair vint soudainement s’abattre sur le mât central du Singe des Mers. Il tomba dans un boucan de tous les diables. Il traînait à moitié dans l’eau et venait d’arracher un bon gros morceau de la coque avant du navire. Stan grimaça, puis se retourna subitement vers moi en disant d’une allure plus rapide que jamais :
– Mais en même temps une affaire est une affaire n’est-ce pas ? On est d’accord à bientôt bonne chance amuse-toi bien j’y vais.

Il jeta un dernier coup d’oeil à son bébé et me remit quelque chose avant de lever l’ancre : un manuel pour « garder la tête froide ». Que diable voulait-il que j’en fasse ?

– Dire que j’ai presque oublié de te donner cette brochure sur les voyages en mer. C’est un cadeau de ma part. Rappelle-toi bien qui te l’a donné : STAN !

Et il partit enfin. Je rangeais la brochure dans le Black Hole en me demandant si elle en ressortirait un jour, puis je me retournais vers mon dernier achat.

– J’aurais dû prendre une assurance quand même, me dis-je tout haut.
– Bonjour toi, fit une voix familière dans mon dos. Ca fait longtemps qu’on ne s’est pas vus.
– Otis ! car c’était lui. Tu es là !
– Bien sûr. Je ne rate jamais une occasion de me faire un peu d’argent.
– De l’argent ? criais-je stupéfait.
– Ouais, fit une seconde voix bien connue. On est bien payé ?
– Carla ! dis-je. Tu parles d’une attitude intéressée. A propos, c’est vrai ces rumeurs à propos de toi et le marchand ?
– Ecoute, ne commence pas à m’énerver !

Elle se tourna vers notre majestueux Singe des Mers.

– Tu peux me dire ce que fait ce bateau à moitié submergé ici ? demanda-t-elle soudain.

De quoi parlait-elle ?

– Comment allons-nous amener notre navire ici avec tous ces détritus flottants ? demanda Goodnight qui venait d’arriver alors qu’il dormait dans un coin.

Je tournai la tête vers mes trois compagnons. Etaient-ils aveugles ? Ne le voyaient-ils donc pas ce fier et beau navire ? D’accord, il commençait à sombrer lentement mais de manière critique sous les flots… Mais on le voyait encore. Un peu.

– Où est le porteur ? demanda Meethook qui venait de débarquer à son tour. J’ai besoin qu’il aille chez moi pour chercher mes bagages.
– Qu’est-ce qui se passe ici ? demanda Carla d’un ton inquiet.
– Où est notre navire ? questionna cette fois Goodnight.
– Où est notre équipage ? s’enquit à son tour Otis.

Oh la la ! J’avais comme l’impression que ça n’allait pas être aussi facile que ce que je me l’étais imaginé.