Ma journée du 18 janvier 2013 – Matinée

Début – 15h 36min:

Bonjour tous le monde, je suis levé depuis 13h 45min, mais je n’ai pas pus venir vous faire coucou avant, tous simplement parce que pour une raison inconnue, ma connexion internet ne fonctionnait plus et c’est seulement maintenant qu’elle est revenue.

Pour ce qui est d’aujourd’hui, il fait toujours aussi froid dehors, donc à mon avis je pense que je vais rester ici bien au chaud.

A part ça, pas grand chose de prévu aujourd’hui encore, je vais peut-être continuer à ranger les photos que j’ai dans mon disque dur je sais pas encore.

Voilà, je vous laisse pour l’instant, et si il y à du neuf ou quoi, je vous met ça en mise à jour à la fin de cet article.

Fin – 15h 40min:

Ma journée du 17 janvier 2013

Début – 04h 23min:

Bonsoir tous le monde, comme chaque soir avant d’aller faire dodo, je viens vous faire le résumé de ma journée,… Voire au-delà.

Pour ce qui est de ma journée d’aujourd’hui, pas terrible, je me suis emmerdé comme un rat mort, en plus avec le froid qu’il fait dehors fallait mieux pour moi que je ne sorte pas.

En début de soirée j’ai Leedee qui m’a sonné pour rappeler de regarder N’oubliez pas les paroles, et dans le fond le fameux candidats d’hier dont je me demandais au début si c’était une fille ou un mec, je le trouve plutôt attachant, par contre Leedee est du même avis que moi, la nouvelle formule de l’émission est trop courte, en fait elle ne dure plus qu’une 20aine de minutes alors qu’avant elle duré le double.

Quand l’émission à était terminée, j’ai été un peu sur Skype (cette fois j’ai eu du bol, et j’ai pas eu de « visage pâle » africaine en manque de visa qui est venue me causer), en fait j’ai surtout essayé de me refamiliariser avec l’interface, et bon j’ai de la chance, ça n’a pour ainsi dire pas changé depuis environ 7 ou 8ans que je n’avais plus utilisé ce programme, et mise à part quelques détails, il est pour ainsi dire identique à celui que j’avais connu à l’époque.

En soirée j’ai été me laver, et quand je suis sorti de la salle de bain, j’ai vu que j’avais un sms de Leedee pour me dire qu’il y avait l’émission Complément d’enquête sur France 2 et que le sujet était la mémoire, donc de la c’est moi qui lui à sonné pour savoir si l’émission était commencée depuis longtemps et savoir ce que racontait le premier reportage, et bon l’émission était moyenne, j’en avais vu d’autre sur le même sujet qui était bien plus intéressante.

Il y à une vingtaine de minutes, j’ai eu une petite « frayeur », en fait j’avais l’iPhone qui était en train de recharger, et d’un coup je l’entend « parler », je sais pas pourquoi mais la première chose qui m’est venue en tête est qu’un fantôme était dedans et cherchez à communiquer :-/ j’ai alors était voir ce que c’était, et en fait c’était juste une notification du jeu Sims Gratuit qui me disait que ma récompense journalière était arrivée et qu’elle se trouvait dans le courrier, ce qui m’a surtout surpris c’est que l’iPhone se mette à parler tous seul vu qu’en général les notifications sonne ou quoi mais elle parle pas, de plus que les jours d’avant ça n’a pas ça, et je me suis demandé comment il à fait pour décrocher tous seul sans même avoir sonné avant, mais bon c’est con mais je peu vous dire que ça surprend quand on s’y attend pas.

Bon enfin je vais vous laisser et aller faire dodo alors je vous dis bonne nuit.

Fin – 04h 48min:

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Mise à jour – 05h 16min: Je suis pas encore couché mais bon, je passe juste parce que je viens de lire cet article qui parle de Polly le chat à qui il est arrivé une petite mésaventure mais qui c’est quand même assez bien terminée pour lui.

Mise à jour – 05h 22min: J’ai fini de lire, et bon cette fois c’est la bonne, j’y vais, alors re-bonne nuit tout le monde.

Les mémoires d’un pirate (074)

L’entrée du quai où se trouvait la petite maison d’Otis était complètement cernée par une demi-douzaine de pirates. Un petit homme à la quarantaine, au sourire mielleux et sournois, surmonté par un crâne recouvert d’une épouvantable perruque bon marché, inspectait avec satisfaction le demi-cercle des officiers pirates, tous mercenaires à sa solde. Celle de Largo Lagrande. S’avançant devant eux, il lança avec une voix de canard vers la maison :
– Sors de là, Otis ! Tu es encerclé !
– Dans ce cas, vous regardez du mauvais coté, fit une voix calme.

Largo Lagrande sursauta, en soi un spectacle étonnant. Ses sbires firent volte-face et virent Otis debout derrière eux.

– Tu vois, je suis venu, Largo.

L’absence d’arme visible inquiétait beaucoup plus Largo qu’il ne voulait l’admettre. Il y avait quelque chose de bizarre et il valait mieux ne pas prendre de décisions hâtives avant de savoir exactement ce qui ne collait pas.

– Otis, mon vieux, parfois tu me déçois. Je veux simplement savoir pourquoi tu ne m’a pas payé ce que tu me devais… comme tu aurais dû le faire depuis bien longtemps. Et pourquoi a-t-il fallu que tu grilles le sergent et Rambo Bean comme ça ? Après tout ce que nous avons traversé ensemble, toi et moi ?

Otis sourit durement.

– Ca suffit Largo. Il n’y a pas assez d’émotion dans ta carcasse pour réchauffer une bactérie orpheline. Normal pour l’ex-bras droit du tristement célèbre LeChuck dit le pourri.

Largo grimaça.

– Quant au sergent et à Rambo Bean, tu les avais envoyés pour me tuer.
– Pourquoi, Otis, protesta Largo étonné, pourquoi ferais-je cela ? Tu es le meilleur contrebandier de la profession. Tu as trop de valeur pour que je te grille. Le sergent ne faisait que transmettre mon souci bien naturel concernant tes retards. Il n’allait pas te tuer.
– Il croyait le contraire. La prochaine fois, n’envoie pas tes salopards à gages. Si tu as quelque chose à me dire, viens me voir en personne.

Largo secoua la tête. Il semblait si ridicule du haut de son mètre soixante face au mètre quatre-vingt cinq d’Otis qu’on avait de la peine à croire qu’il était chef de quoi que ce soit.

– Otis, Otis ! Si seulement tu n’avais pas jeté par-dessus bord cette cargaison d’épices ! Tu comprends… Je ne peux pas faire d’exception. Où serais-je si tous les hommes qui
travaillent pour moi se débarrassaient de leur chargement au premier navire de guerre royal venu ? Et qu’ensuite ils me montrent leurs poches vides quand j’exige réparation ? Ce ne sont pas les affaires. Je sais être généreux, je peux pardonner, mais pas au point de faire faillite.
– Tu sais très bien que même moi je me fais pincer de temps en temps, Largo. Crois-tu que j’ai jeté ces épices parce que je ne supportais plus leur odeur ? Je voulais tout autant que toi les livrer que tu désirais les recevoir. Je n’avais pas le choix.

Il fit de nouveau un sourire sardonique.

– Comme tu dis, j’ai trop de valeur pour griller. Or, j’ai un engagement et je peux payer ce que je te dois, plus un petit quelque chose. Il me faut juste encore un peu de temps.

Le petit nabot à la voix de canard parut envisager la proposition et s’adressa non plus à Otis mais à ses sbires.

– Rangez vos armes.

Son regard et son sourire carnassier revinrent se fixer sur le pirate contrebandier.

– Otis, mon pote, je fais cela uniquement parce que tu es le meilleur et que j’aurai encore besoin de toi. Donc, dans la grandeur de mon âme et d’un coeur clément – et pour un supplément de, disons, vingt pour cent- je t’accorde un petit délai. Mais c’est la dernière fois.

Si tu me déçois encore, si tu foules aux pieds ma générosité avec ton rire moqueur, je mettrai ta tête à prix pour une telle somme que tu ne pourras plus te montrer nul part pour le restant de tes jours, parce que ton nom et ton visage seront connus d’hommes qui t’étriperont volontiers pour le dixième de ce que je leur promettrai.

– Je suis heureux que nous ayons tous les deux les mêmes intérêts à coeur, répliqua Otis avec affabilité comme il passait devant les yeux ébahis des tueurs à gages de l’ex-bras droit de LeChuck. Ne t’en fais pas, Largo, je te paierai. Mais pas parce que tu me menaces. Je te paierai parce que… c’est mon bon vouloir.