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Ma journée du 08 janvier 2013 – Matinée

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Début – 08h 10min:

Bonjour tous le monde, je suis levé depuis 07h 40min, la nuit c’est bien passée, et pour une fois même si j’ai pas dormi des masses j’ai pas l’impression d’être fatigué.

Pour ce qui est d’aujourd’hui pour une fois, ça ne sera pas une « demi journée » pour moi, vu que cette fois je me suis pas levé de l’après midi.

Tantôt je vais surement aller chercher à boire car j’ai plus rien ici, et surement quelque croissant en prime.

Voilà, je vais vous laisser pour l’instant et si il y à du neuf ou quoi, je vous met ça en mise à jour à la fin de cet article.

Fin – 08h 12min:

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Mise à jour – 10h 49min: Je viens de rentrer du Carrefour, en fait j’étais parti acheter six boites de Dr Pepper (pour l’instant ils ont plus de grande bouteille), et j’ai en même temps pris cinq croissants et deux pains au chocolats, et avant ça je suis passé vite fait au Dreamland mais j’ai rien acheté, c’était juste pour dire d’aller jeter un oeil vite fait.

Ma journée du 07 janvier 2013

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Début – 04h 24min:

Bonsoir tous le monde, comme chaque soir avant d’aller faire dodo, je viens vous faire le résumé de ma journée,… Voire au-delà.

Pour ce qui est d’aujourd’hui, comme je l’avais dit tantôt dans cet article, j’ai joué un peu à Skyrim enfin j’ai du jouer deux heures je crois et puis j’ai arrêté.

Après ça, je me suis reposé un peu car bien que ça semble aller un peu mieux, j’ai quand même toujours cette impression de fatigue qui persiste et dure, et ce sentiment de faiblesse dans tous le corps qui vas et qui viens.

Pour la soirée vu qu’il y avait rien grand chose à la télé, je suis resté sur le pc à m’emmerder comme un rat mort, et ne pas savoir quoi faire ni ou aller sur le net, alors de la je suis parti me laver et quand j’ai eu terminé je me suis mis un peu sur l’iPhone pour jouer à Les Simpson Springfield (en fait j’avais arrêté de jouer mais vu que j’avais reçu quelque commentaire que j’ai pas encore validé et dont j’ai pas encore répondu en fait, je me suis dit de m’y remettre) jusqu’à ce que je soit déconnecté du jeu avec comme message « Connexion impossible au serveur » et depuis impossible de me reconnecter.

A part ça, j’ai pas fait grand chose d’autre, je me suis surtout emmerdé plus qu’autre chose, et ici je vais aller faire dodo alors je vous dit bonne nuit.

Fin – 04h 33min:

Ma boule de voyant (395)

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Voici la prédiction qui m’a été donnée aujourd’hui par Ma boule de voyant sur Facebook.

Ma boule de voyant 395 - 01

Ben oui, moi aussi j’ai déjà menti comme tous le monde d’ailleurs, par contre je voie pas trop le quelle pourrai me tracasser (ah si quand j’étais petit j’ai filé un coup de pied à un « camarade » et j’ai fait croire que je l’avais pas fait exprès). ^^

Ps: Mais bon, que celui ou celle qui n’a jamais menti me jette la première pierre. ^^

Les mémoires d’un pirate (066)

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Il était si grand que je ne l’avais même pas vu. Un vrai monstre qui se nommait « IK le Titan ». Il portait bien son nom. Un vrai bateau de luxe, invincible et qui en plus flottait. Ce qui pour un navire est une recommandation agréable. Il me le fallait. Peu importait son prix.

– Regarde-moi ça, commenta Stan. C’est un bateau digne d’un roi ! Je n’exagère pas : quinze cabines de luxe, avec une cheminée dans chacune d’elle, deux piscines, une intérieure, une extérieure, une salle de fête tournante, une hune avec chauffage… En tout, 60 mètres de décadence flottante. Indestructible… que dis-je : in-sub-mer-sible ! Et tout cela pour le prix dérisoire de…

Soudain son sourire indélébile montra des signes de faiblesse. Il se tut un instant et m’examina de la tête aux pieds. Il semblait assez inquiet. Puis il reprit finalement :
– Tant qu’on parle de prix… Quel est ton minimum et ton maximum ?
– Oh, j’ai plus d’argent qu’il n’en faut. J’ai à peu près 203 pièces de huit.

Stan écarquilla ses yeux tout rond et sembla perdre l’équilibre.

– En comptant la pièce dans la machine à grog ? me demanda-t-il.
– C’est ça.

Les bras gigotant du vendeur de bateaux d’occase tout neufs semblèrent soudainement lesté de plombs. Quant à son sourire, c’était désormais plus une grimace qu’autre chose.

Puis, après quelques brefs instants de silence, il se reprit et récupéra son sourire de  vendeur de dentifrices :
– Je crois que l’on ne doit pas parler du même bateau, déclara-t-il. Ca se voit que tu n’es pas au courant des prix. Ca m’étonnerait que tu aies assez de liquide sur toi – et surtout ne me réponds pas que tu peux aller me chercher un seau d’eau merci – pour cette transaction. Tu n’aurais pas un autre moyen de financement par hasard ?
– Vous prenez les chèques ?
– Ni Tchèque, ni Polonais, j’en ai bien peur…

Zut, zut, zut… Et moi qui pensais me payer le navire dernier cri ! Je tentais une improbable transaction :
– Sinon, j’ai ce poulet en caoutchouc ?

Stan examina la bête. Il semblait intéressé.

– C’est un de ces poulets avec une poulie au milieu ?
– Oui, répondis-je tout heureux.
– J’en ai déjà un. Désolé.

Bigre ! Ca avait faillit marcher !

– Et vous ne faites pas crédit, par hasard ?

Stan sembla pris d’un frisson d’horreur. Il est vrai que faire crédit à un pirate relevait plus du cadeau que de la vente.

– Désolé, mon garçon. Je ne suis ni emprunteur, ni prêteur. C’est la philosophie du père Stan. Le marchand du village voudra peut-être t’accorder un crédit qui sait ? Ensuite, tu reviens me voir et on fera affaire, d’accord ?

Il se gratta la tête, et tirait une expression qui trahissait une opportunité manquée. Ce n’est pas encore aujourd’hui qu’il vendrait Ik le Titan, semblait-il se dire. Dépité, il me raccompagna à la sortie du magasin.

– Vous savez, lui dis-je, j’ai vraiment besoin d’un bateau.
– C’est vrai que c’est pratique quand on est pirate. Je t’en vendrais un volontiers… si tu avais assez d’argent. Va voir le marchand. J’attendrai ton retour avec impatience. Mais je ne te garantis pas que tous ces bateaux seront encore là.
– Je ne savais pas que la bourse du navire allait si bien.
– Ils se vendent bien aujourd’hui ! J’arrive à peine à garder le stock !