Limbo: Marche à l’ombre (Nintendo Switch)

Je me suis acheté un autre jeu qui est Limbo que j’avais déjà en Playstation 4 et en PS Vita, cette fois c’est sur la Nintendo Switch que je l’ai acheté.

Dans le genre petite pépite indépendante, je demande le petit garçon qui avance pour survivre, je demande Limbo ! Découvrez le premier chef-d’oeuvre du studio danois Playdead.

Sorti tout d’abord en 2010 sur la foisonnante plateforme de téléchargement de jeux de la Xbox 360, Limbo a fait son petit bonhomme de chemin. Disponible progressivement sur tous les supports, il fut même question d’une version Wii U en 2015, mais celle-ci n’est jamais sortie. Le titre est enfin présent sur consoles Nintendo Switch. Comme on dit, mieux vaut tard que jamais !

Marche à l’ombre:

Tout comme leur jeu suivant, Inside, il s’agit d’incarner un personnage muet qui doit avancer et se sortir de la situation cauchemardesque dans laquelle il se trouve. Dans Limbo, tout est représenté à sa plus simple expression, du garçon en ombre chinoise que l’on dirige aux environnements, entièrement en noir & blanc.

Ce minimalisme graphique n’a pour but que de renforcer la dureté des éléments et de permettre au joueur d’identifier immédiatement les plateformes ou objets qui l’entourent. Ajoutez à cela un brouillard environnant, une bande sonore faite de quelques bruitages et d’ambiances mystérieuses, et surtout de très nombreux pièges cruels, et vous obtenez une recette décapante de lutte pour la survie !

Les Mille et une vies:

Notre personnage se retrouve en effet confronté à de nombreuses situations mortelles dans lesquelles il devra néanmoins tomber la tête la première, comme le pauvre innocent qu’il est. Du piège à loup caché dans une zone d’ombre aux structures qui s’écroulent et emportent le corps de notre ami, il faut avoir le coeur bien accroché pour ne pas pousser un petit cri d’effroi lorsque le couperet tombe.

Il faut donc apprendre de ses erreurs et tenter de comprendre dans quel ordre procéder pour libérer un passage, actionner des mécanismes et pouvoir ainsi continuer notre route.

D’une sombre forêt à une usine désaffectée, notre personnage fait différentes rencontres étranges et doit toujours réfléchir à comment se sortir de situations dangereuses.

Un doux rêve ?

L’aventure n’est pas très longue et peut se boucler en quelques petites heures. Ceux qui tenteront de le faire en une traite auront impression à la fin de se réveiller d’un cauchemar intense et perturbant. De ce fait, les mécanismes plutôt variés n’ont pas trop l’occasion de se répéter. Les développeurs ont voulu faire court mais riche, ce qui nous permet de vivre des moments précieux.

A l’aspect purement plateformes avec des sauts et la quête de moyens pour progresser, s’en suivent des séquences hallucinées où le personnage doit lutter contre des parasites qui brouillent ses perceptions, quand certains mécanismes ne jouent carrément pas avec la gravité.

La gravité. Rarement un jeu de plateformes n’aura su aussi bien gérer la gravité terrestre et comment réagissent des objets lâchés dans l’atmosphère, que ce soit des plateformes en suspensions à des corps, que ce soit des corps étrangers… ou le vôtre, balloté dans tous les sens et réduit en charpie dans les pires des cas.

Voici ma vidéo de gameplay du tout début du jeu pour découvrir l’ambiance de ce titre unique en son genre.

Conclusion:

Limbo est un incontournable du jeu-vidéo que je ne peut que vous recommander. Par sa réalisation tranchée et son parti pris minimaliste, il s’avère encore plus abordable que Inside, l’autre excellent jeu du studio.

Mojito the cat (Nintendo Switch)

Je viens de m’acheter plusieurs jeux pour ma Nintendo Switch, voici le premier qui est Mojito the cat.

Le succès est à chaque coin de rue:

Aidez votre enfant (ou vous-même) à développer des compétences logiques aux côtés d’animaux mignons. Prenez votre temps et regardez autour de la carte pour les meilleurs itinéraires. Assurez-vous de considérer toutes les possibilités. Rappelles toi! La gravité n’est pas un problème si vous avez le bon état d’esprit.

Plusieurs caractères:

Découvrez plus de 10 personnages à débloquer pour vous accompagner. Vous pouvez devenir un requin féroce, un taureau en colère, un rhinocéros puissant ou un panda moelleux.

Voyage à travers le monde:

Découvrez tous les mondes uniques aux côtés de Mojito. Voyagez à travers un jardin élégant, une oasis désertique, un volcan actif, un iceberg ou même une forêt magique. Au cas où le dernier n’était pas à votre goût, vous pouvez également vous amuser dans une forêt ordinaire.

Principales caractéristiques:

  • 60 énigmes à résoudre.
  • Esthétique charmante.
  • 11 skins de cube 3D uniques.
  • Boucle de jeu satisfaisante.
  • Grands défis.

Voici pour terminer le trailer du jeu.

Mojito the Cat: Trailer.

Live A Live: 7 façons de jouer (Nintendo Switch)

Je viens de recevoir le jeu Live a Live sur Nintendo Swich dont je vous avez déjà présenté la démo dans cet article.

Avant de commencer, voici les photos du boitier ainsi que de la cartouche.

Sorti il y a 28 ans et uniquement au Japon, Live a Live nous fait l’honneur d’arriver sur Nintendo Swich dans le monde entier. Square Enix lui offre une nouvelle jeunesse en le parant de ses plus belles couleurs avec un style HD-2D des plus soyeux. Cependant, on dit que l’habit ne fait pas le moine alors regardons sans plus tarder ce que nous réserve ce titre.

Père Castor, raconte-nous des histoires:

Bien que les derniers trailers en aient révélés trop à mon goût, je vais essayer de ne pas aller trop loin dans les révélations pour ne pas vous gâcher le plaisir de la découverte de ce titre. Au lancement de ma partie, Live a Live vous propose de jouer sept protagonistes, chacun appartenant à une époque précise et avec sa propre trame scénaristique. Vous pourrez alors découvrir dans l’ordre de votre choix les aventures liées aux personnages des époques suivantes, La Préhistoire, la Chine Impériale, la fin du Japon d’Edo, le Far West, le Présent, le Futur Proche, le Futur Lointain. Une fois les sept premiers scénarios achevés, une nouvelle époque s’offrira à vous comme huitième scénario, le Moyen Age. Chaque chapitre dresse un tableau complet et original de l’époque où l’histoire se déroule. Que ce soit les graphismes, les musiques, l’ambiance ou encore les clichés de genre et d’époque, rien n’est laissé au hasard et le rendu final fait mouche. L’immersion dans chaque récit est réussie et on s’attache très rapidement aux personnages. A côté de ça, tout en restant dans le registre du J-RPG avec des niveaux, de l’expérience et des combats, chaque histoire propose des mécaniques de gameplay différentes, diverses façon de se déplacer ainsi que des manières d’interagir avec ce qui nous entoure uniques.

Par exemple, dans le scénario du Présent, votre objectif sera d’affronter tous les combattants les plus forts dans leurs catégories respectives afin d’être l’Homme le plus fort du monde. Le jeu vous propose alors une interface de sélection d’adversaire à l’instar de Street Fighter, ce qui donne un charme fou à cette époque, tant dans les graphismes que dans sa bande-son. Dans le scénario du Futur Proche, votre personnage aura la capacité de lire dans les pensées, ce qui ajoutera des phases de recherches et des situations parfois gênantes à votre aventure. Son générique d’intro marquera les esprits de tous les fans de Goldorak. De son côté, la Préhistoire vous mettra en scène avec des personnages ne communiquant que très sommairement, ce qui apporte une autre approche et un charme distinct des autres époques. Chacun des scénarios a sa propre âme et propose des phases de gameplay différentes, à tel point qu’on a presque l’impression de jouer à un jeu différent à chaque fois.

Un gameplay simple et efficace:

Dans chaque scénario, vous serez amenés de manière plus ou moins fréquente à participer à des combats. Votre équipe et vos adversaires seront disposés sur une grille de 7 cases sur 7. Chaque unité est placée sur la grille et vous devrez déplacer vos personnages vers l’ennemi pour l’attaquer et le vaincre. Les attaques fonctionnent avec des compétences qui ont chacune une portée différente. Les cases à effet se mettent en surbrillance ce qui vous permet de voir si vous allez toucher un ennemi ou non. Certains personnages ont besoin d’être au corps à corps et d’autres non, tout dépend des compétences de chacun. Les attaques peuvent provoquer des bonus ou des malus ainsi que posséder des éléments et affinités, ce qui offre des résistances et faiblesses à tel ou tel type d’attaque. Rien de bien compliqué à prendre en main, le jeu est très lisible dans ses mécaniques et vous offre le luxe de vous proposer des tutoriels dès qu’un nouvel élément apparaît. Vous aurez même la possibilité de revisionner tous les tutoriels depuis le menu. Dans certains cas, vous aurez des groupes d’ennemis à affronter dont l’un sera le chef (indiqué avec un petit pictogramme). Si vous battez le chef, tout le groupe quittera le combat, ce qui peut s’avérer salvateur dans certaines situations périlleuses. A la fin de chaque combat, tous vos points de vie seront restaurés et les personnages KO ressuscités.

En dehors de ça, votre exploration est épaulée par une mini-map qui vous aide à retrouver les endroits que vous avez déjà visités, pas encore visités et là où vous devez vous rendre. Bien qu’elle soit très très sommaire, elle convient parfaitement et remplit son rôle sans problème. Certains chapitres proposent une carte un peu plus détaillée qui viendra en complément de la mini-map.

Bien que j’ai annoncé en début de test que je n’irai pas loin dans les révélations, il est très difficile de vous parler du potentiel de Live a Live sans parler du scénario ultime, lorsque vous avez terminé l’ensemble des huit scénarios. Je tairai son nom pour que vous puissiez le découvrir par vous-même mais il vient chambouler tout ce que vous venez de vivre au travers des huit précédentes époques. Il est par ailleurs le scénario le plus long de tous puisqu’il faut compter approximativement une bonne petite vingtaine d’heures pour faire les huit scénarios, contre un peu plus de cinq heures pour cet ultime scénario à lui tout seul (si vous souhaitez obtenir toutes les fins et les secrets cachés). Sinon, une à deux heures devraient suffire si vous y allez en ligne droite. Ce qui nous emmène en moyenne sur une durée de vie de vingt-cinq heures à peu près. Un poil court mais chaque minute les vaut largement.

Une DA aux petits oignons:

Lorsque nous jouons à Live A Live, la première chose frappante est clairement la HD-2D qui vient sublimer le jeu. Tout comme Triangle Strategy et Octopath Traveler, les décors sont sublimes, les effets de profondeur et des techniques de combat offrent un joli spectacle et un beau contraste avec les personnages. Si vous avez aimé ces deux titres, Live a Live risque de vous plaire également. Cerise sur le gâteau, même le menu pause de chaque chapitre est personnalisé avec sa petite pointe de couleur et ses effets visuels, ce qui apporte un charme supplémentaire. Côté musique également, rien à dire, c’est une masterclass. L’ambiance de chaque chapitre colle aux clichés que nous nous faisons de l’époque et l’immersion est totale. Absolument toutes les musiques sont vraiment sublimes et vous plongent totalement dans le jeu et dans l’histoire de vos protagonistes. Pour parachever le tout, la traduction française du jeu est d’une qualité rare et exceptionnelle. Il y a eu un gros travail d’adaptation qui se ressent et qui fait vraiment plaisir. Il y a aussi beaucoup d’humour bien dosé, que ce soit dans les descriptions des objets ou dans les répliques de certains personnages. Pour citer un exemple, dans le scénario de la Chine Impériale, le personnage principal se voit proposer de nombreuses récompenses dont celle venant d’une fille de maison close. L’allusion avec les miches de pain n’aurait pas pu être mieux trouvée qu’à ce moment-là.

Voici une vidéo de gameplay découvèrte.

Conclusion:

Live a Live est un excellent jeu dans lequel on ressent l’énorme travail, tant sur le jeu d’époque que sur la remasterisation en HD-2D. Chaque scénario dispose réellement d’une âme propre et qui le rend à la fois complètement différent des autres scénarios tout en gardant la ligne conductrice pour rappeler qu’il s’agit bien du même jeu. A côté de ça, le boulot d’adaptation en français est exceptionnel et vient ajouter une petite touche d’excellence supplémentaire. Très soigné sur tous les aspects, Live a Live est un incontournable de tout fan de J-RPG à l’ancienne qui ne se prend pas la tête avec des mécaniques compliquées. Immersion garantie.

Puff le dragon magique (1978-1982): Aperçu des épisodes 01 à 03

Une nouvelle courte « série » arrive sur le blog le temps d’un article (et pour cause elle comporte que trois épisodes) c’est la « série » animée Puff le dragon magique.

Puff le dragon magique était à la base une chanson composé par Leonard Lipton et Peter Yarrow, popularisé par le groupe « Peter, Paul and Mary » sur leur album « Moving » en 1973. Ensuite, la chanson fut adapté en court-métrage d’animation de 30 minutes pour la télé en 1978. Il aura aussi droit à une traduction française, avec le générique chanté par le groupe Crëche, qui avait adapté le titre en vue d’un lancement sur un album 45 tours. Toutefois, cette version ne sortira jamais car le chanteur Claude François en avait déjà récupéré les droits pour sa propre version en 1970.

Cette adaptation eut deux suites, Puff le dragon magique au pays des mensonges en 1979, et Puff le dragon magique et l’incroyable M. Personne en 1982. (qui seront de même diffusés en France également pendant la période de Noël, sur TF1, respectivement le 30 décembre 1981 dans Les Visiteurs de Noël et le 22 décembre 1982 dans la programmation de Destination Noël).

Enfin, à noter que la chanson fut la cible d’attaques, victime de mauvaises interprétations et malentendus de la part de détracteurs qui voyaient en elle une incitation à la consommation de drogues, ce qu’ont réfuté les auteurs.

Voici les génériques de début ainsi que le prologue en français et anglais ainsi que le générique de fin.

Puff le dragon magique (1978): Générique + Prologue (français).

Puff le dragon magique (1978): Générique + Prologue (anglais).

Puff le dragon magique (1978): Générique de fin.


Puff le dragon magique (1978) (s01x01): Au pays des dragons.

Résumé: L’histoire est celle du petit Jacky, un enfant qui semble autiste et ne dit pas un mot, au grand désespoir de ses parents qui demandent l’aide des plus grands spécialistes médicaux pour trouver une solution. Hélas, le verdict parait bien cruel, Jacky ne pourra sans doute jamais parler. Pourtant, dans son imagination débordante, le petit garçon a pour grand ami le dragon magique, Puff. Celui-ci va l’emmener dans son monde et lui faire vivre plusieurs aventures qui, peut-être, finiront par donner à Jacky quelques leçons et l’envie de communiquer enfin avec autrui.


Puff le dragon magique (1979) (s01x02): Puff le dragon au pays des mensonges.

Résumé: Sandy est une petite fille pleine d’imagination mais qui ment beaucoup. Puff le dragon l’emmène au pays des mensonges pour qu’elle rencontre des menteurs célèbres comme Pinocchio et le petit garçon qui criait au loup pour que leurs histoires enseigne à Sandy le mal que peut faire les mensonges.


Puff le dragon magique (1982) (s01x03): Puff et l’incroyable Monsieur Personne.

Résumé: Puff trouve un petit garçon du nom de Terry qui possède une grande imagination, mais qui a de la misère à se faire des amis. A la place, il a un ami imaginaire du nom de Mr. Personne, un canard portant une casserole en guise de chapeau. Lorsque l’imagination de Terry commence à le mettre dans l’embarras, il accuse Mr. Personne au lieu d’assumer ses torts, et accepter que toute cette imagination est la sienne. Eventuellement, Terry est abandonné par Mr. Personne, et c’est avec l’aide de Puff qu’ils partent à sa recherche. Tout au long de la route, Puff apprendra à Terry à chérir sa créativité.

ATTENTION: Je ne fais et ne propose AUCUNE COPIE d’épisode ni de quoi que ce soit, merci de ne pas me contacter à ce sujet car je ne répondrai pas.

La star de The Last of Us se prend pour Super Mario dans cette hilarante parodie de HBO !

Certaines émissions de télévision sont de véritables institutions. Aux Etats-Unis, l’un des shows les plus populaires est le Saturday Night Live, qui en est actuellement à sa 48e saison. Et quand l’émission reçoit la star du moment, Pedro Pascal, et qu’elle s’attaque à un nouveau jeu vidéo, ça fait le tour du monde.

Quand Mario Kart rencontre Pedro Pascal:

Le quatrième épisode de The Last of Us est désormais disponible, et une nouvelle fois, les fans semblent conquis. Pedro Pascal voit sa popularité encore renforcée après avoir pris de l’ampleur grace à Game of Thrones et The Mandalorian. Cette présence sous les projecteurs a conduit l’acteur à présenter le dernier épisode du Saturday Night Live, et on peut dire que l’écho de l’émission a été mondial. La raison ? Un sketch, produit avec soin et parodiant The Last of Us.

Mais la réussite du sketch ne tient pas dans le fait de tourner en ridicule la série de HBO, mais dans le fait d’avoir transposé son côté dramatique à une autre licence vidéoludique, pas particulièrement connu pour son aspect horrifique: Mario Kart 8 Deluxe. Oui, vous avez bien lu. Alors que le film d’animation Super Mario d’Illumination se profile à l’horizon, le SNL a décidé de parodier Joel Miller sous les traits de Pedro Pascal pour en faire Super Mario. Il est accompagné de Chloe Fineman dans le rôle de Peach, de Mikey Day dans celui de Luigi, ou encore de Kenan Thompson dans la peau de Bowser.

The Last of Us et Mario Kart, un drôle de couple !

Cette fois-ci, le Royaume Champignon s’est effondré, et un « colis » (Peach) est à livrer sur la route Arc-En-Ciel. La cliente se rapproche alors d’un Mario, dans son coin, connu pour savoir piloter. Le « It-a-me, Mario » est évidemment présent, mais joué de façon dramatique par un Pedro Pascal qui joue largement le jeu. Les tuyaux sont recouverts de champignons à la manière de The Last of Us, et les Goombas se comportent comme les claqueurs du jeu de Naught Dog. De son côté, Luigi vit reclus, armé d’un fusil, tandis que Bowser a l’apparence d’un Hellboy revisité et Yoshi celle d’un ado équipé d’un casque et d’un pyjama vert. La parodie pousse même l’idée jusqu’à transformer les carapaces rouges en munitions de fusil et la Plante Piranha en terrible créature. Le tout prend fin avec une course et l’évocation du retour sur la piste, opérée dans le jeu par Lakitu et sa canne à pêche.

La vidéo, qui parodie sérieusement Mario Kart des « auteurs de Mario Kart 1 à 8 », a évidemment fait le tour de la Toile et a été partagée par le compte officiel de la série The Last of Us HBO. Chacun se fera son propre avis sur la drôlerie de la production, mais impossible de nier que le mélange des deux univers a été savamment réfléchi. Les champignons de The Last of Us se mêlent à ceux de Mario, et les personnages évoluent dans un Royaume Champignon post-apo qui mériterait presque d’être développé. Précisons cependant, à toute fin utile, que Nintendo n’a rien à voir avec cette parodie.

Mario Kart: