Il est maintenant temps de retrouver les résumés et aperçus du jour de la série animée Spider-Woman.
Spider-Woman (1979) (01×06): Le continent perdu.
Résumé: Après la disparition d’avions de l’United States Air Force dans le Triangle des Bermudes, l’équipe du magazine Justice enquête. Ils se retrouvent bientôt projetés dans une dimension cachée où les dinosaures parcourent la Terre.
Spider-Woman (1979) (01×07): L’araignée Kongo.
Résumé: Avec la participation spéciale de Spider-Man. En couvrant le tournage d’un film, l’équipe du magazine Justice rencontre une araignée géante.
Note: Intrigue inspirée de King Kong.
Spider-Woman (1979) (01×08): Jeux du destin.
Résumé: Des athlètes participant aux Jeux athlétiques mondiaux de Moscou sont kidnappés et remplacés par des doublures android. Jessica Drew se fait passer pour une sauteuse en longueur pour enquêter.
Spider-Woman (1979) (01×09): Navette vers la catastrophe.
Résumé: L’équipe du magazine Justice se retrouve à bord d’une navette spatiale détournée, se dirigeant vers la Lune, où le méchant Mâchoire d’acier a l’intention d’asservir l’humanité et de la faire travailler à extraire des gemmes précieuses.
Spider-Woman (1979) (01×10): La revanche de Dracula.
Résumé: La population mondiale est menacée d’être transformée en vampires, loups-garous et monstres de Frankenstein. Spider-Woman découvre que Dracula est derrière tout cela.
ATTENTION: Je ne fais et ne propose AUCUNE COPIE d’épisode ni de quoi que ce soit, merci de ne pas me contacter à ce sujet car je ne répondrai pas.
Avant de commencer, voici les photos du boitier ainsi que de la cartouche.
Sorti il y a 28 ans et uniquement au Japon, Live a Live nous fait l’honneur d’arriver sur Nintendo Swich dans le monde entier. Square Enix lui offre une nouvelle jeunesse en le parant de ses plus belles couleurs avec un style HD-2D des plus soyeux. Cependant, on dit que l’habit ne fait pas le moine alors regardons sans plus tarder ce que nous réserve ce titre.
Père Castor, raconte-nous des histoires:
Bien que les derniers trailers en aient révélés trop à mon goût, je vais essayer de ne pas aller trop loin dans les révélations pour ne pas vous gâcher le plaisir de la découverte de ce titre. Au lancement de ma partie, Live a Live vous propose de jouer sept protagonistes, chacun appartenant à une époque précise et avec sa propre trame scénaristique. Vous pourrez alors découvrir dans l’ordre de votre choix les aventures liées aux personnages des époques suivantes, La Préhistoire, la Chine Impériale, la fin du Japon d’Edo, le Far West, le Présent, le Futur Proche, le Futur Lointain. Une fois les sept premiers scénarios achevés, une nouvelle époque s’offrira à vous comme huitième scénario, le Moyen Age. Chaque chapitre dresse un tableau complet et original de l’époque où l’histoire se déroule. Que ce soit les graphismes, les musiques, l’ambiance ou encore les clichés de genre et d’époque, rien n’est laissé au hasard et le rendu final fait mouche. L’immersion dans chaque récit est réussie et on s’attache très rapidement aux personnages. A côté de ça, tout en restant dans le registre du J-RPG avec des niveaux, de l’expérience et des combats, chaque histoire propose des mécaniques de gameplay différentes, diverses façon de se déplacer ainsi que des manières d’interagir avec ce qui nous entoure uniques.
Par exemple, dans le scénario du Présent, votre objectif sera d’affronter tous les combattants les plus forts dans leurs catégories respectives afin d’être l’Homme le plus fort du monde. Le jeu vous propose alors une interface de sélection d’adversaire à l’instar de Street Fighter, ce qui donne un charme fou à cette époque, tant dans les graphismes que dans sa bande-son. Dans le scénario du Futur Proche, votre personnage aura la capacité de lire dans les pensées, ce qui ajoutera des phases de recherches et des situations parfois gênantes à votre aventure. Son générique d’intro marquera les esprits de tous les fans de Goldorak. De son côté, la Préhistoire vous mettra en scène avec des personnages ne communiquant que très sommairement, ce qui apporte une autre approche et un charme distinct des autres époques. Chacun des scénarios a sa propre âme et propose des phases de gameplay différentes, à tel point qu’on a presque l’impression de jouer à un jeu différent à chaque fois.
Un gameplay simple et efficace:
Dans chaque scénario, vous serez amenés de manière plus ou moins fréquente à participer à des combats. Votre équipe et vos adversaires seront disposés sur une grille de 7 cases sur 7. Chaque unité est placée sur la grille et vous devrez déplacer vos personnages vers l’ennemi pour l’attaquer et le vaincre. Les attaques fonctionnent avec des compétences qui ont chacune une portée différente. Les cases à effet se mettent en surbrillance ce qui vous permet de voir si vous allez toucher un ennemi ou non. Certains personnages ont besoin d’être au corps à corps et d’autres non, tout dépend des compétences de chacun. Les attaques peuvent provoquer des bonus ou des malus ainsi que posséder des éléments et affinités, ce qui offre des résistances et faiblesses à tel ou tel type d’attaque. Rien de bien compliqué à prendre en main, le jeu est très lisible dans ses mécaniques et vous offre le luxe de vous proposer des tutoriels dès qu’un nouvel élément apparaît. Vous aurez même la possibilité de revisionner tous les tutoriels depuis le menu. Dans certains cas, vous aurez des groupes d’ennemis à affronter dont l’un sera le chef (indiqué avec un petit pictogramme). Si vous battez le chef, tout le groupe quittera le combat, ce qui peut s’avérer salvateur dans certaines situations périlleuses. A la fin de chaque combat, tous vos points de vie seront restaurés et les personnages KO ressuscités.
En dehors de ça, votre exploration est épaulée par une mini-map qui vous aide à retrouver les endroits que vous avez déjà visités, pas encore visités et là où vous devez vous rendre. Bien qu’elle soit très très sommaire, elle convient parfaitement et remplit son rôle sans problème. Certains chapitres proposent une carte un peu plus détaillée qui viendra en complément de la mini-map.
Bien que j’ai annoncé en début de test que je n’irai pas loin dans les révélations, il est très difficile de vous parler du potentiel de Live a Live sans parler du scénario ultime, lorsque vous avez terminé l’ensemble des huit scénarios. Je tairai son nom pour que vous puissiez le découvrir par vous-même mais il vient chambouler tout ce que vous venez de vivre au travers des huit précédentes époques. Il est par ailleurs le scénario le plus long de tous puisqu’il faut compter approximativement une bonne petite vingtaine d’heures pour faire les huit scénarios, contre un peu plus de cinq heures pour cet ultime scénario à lui tout seul (si vous souhaitez obtenir toutes les fins et les secrets cachés). Sinon, une à deux heures devraient suffire si vous y allez en ligne droite. Ce qui nous emmène en moyenne sur une durée de vie de vingt-cinq heures à peu près. Un poil court mais chaque minute les vaut largement.
Une DA aux petits oignons:
Lorsque nous jouons à Live A Live, la première chose frappante est clairement la HD-2D qui vient sublimer le jeu. Tout comme Triangle Strategy et Octopath Traveler, les décors sont sublimes, les effets de profondeur et des techniques de combat offrent un joli spectacle et un beau contraste avec les personnages. Si vous avez aimé ces deux titres, Live a Live risque de vous plaire également. Cerise sur le gâteau, même le menu pause de chaque chapitre est personnalisé avec sa petite pointe de couleur et ses effets visuels, ce qui apporte un charme supplémentaire. Côté musique également, rien à dire, c’est une masterclass. L’ambiance de chaque chapitre colle aux clichés que nous nous faisons de l’époque et l’immersion est totale. Absolument toutes les musiques sont vraiment sublimes et vous plongent totalement dans le jeu et dans l’histoire de vos protagonistes. Pour parachever le tout, la traduction française du jeu est d’une qualité rare et exceptionnelle. Il y a eu un gros travail d’adaptation qui se ressent et qui fait vraiment plaisir. Il y a aussi beaucoup d’humour bien dosé, que ce soit dans les descriptions des objets ou dans les répliques de certains personnages. Pour citer un exemple, dans le scénario de la Chine Impériale, le personnage principal se voit proposer de nombreuses récompenses dont celle venant d’une fille de maison close. L’allusion avec les miches de pain n’aurait pas pu être mieux trouvée qu’à ce moment-là.
Voici une vidéo de gameplay découvèrte.
Conclusion:
Live a Live est un excellent jeu dans lequel on ressent l’énorme travail, tant sur le jeu d’époque que sur la remasterisation en HD-2D. Chaque scénario dispose réellement d’une âme propre et qui le rend à la fois complètement différent des autres scénarios tout en gardant la ligne conductrice pour rappeler qu’il s’agit bien du même jeu. A côté de ça, le boulot d’adaptation en français est exceptionnel et vient ajouter une petite touche d’excellence supplémentaire. Très soigné sur tous les aspects, Live a Live est un incontournable de tout fan de J-RPG à l’ancienne qui ne se prend pas la tête avec des mécaniques compliquées. Immersion garantie.
Voici les résumés et aperçus des épisodes 16 à 20 de la série animée Les fous du volant.
Les fous du volant (1968-1969) (saison 01) (s01x16): Le roman d’un alligator.
Résumé: De Sappysota Springs à Squishy Squash City. Satanas et Diabolo libèrent un escadron de moustiques mécaniques pour semer le chaos parmi les autres voitures. Plus tard, il se déguise en alligator.
Les fous du volant (1968-1969) (saison 01) (s01x17): Tout le long du Mississippi.
Résumé: Satanas détourne le reste des coureurs vers un bateau à vapeur sur le Mississippi. Il trompe ensuite un colonel du Sud en faisant croire que les autres coureurs sont des intrus yankees.
Les fous du volant (1968-1969) (saison 01) (s01x18): Quel cirque.
Résumé: D’an Ankle Ache, Alabama à Shin Splint, Louisiane. Satanas utilise plus de stratagèmes pour ralentir les autres coureurs, y compris le changement de panneaux de signalisation et la création d’une route rebondissante. Il envoie également plusieurs coureurs à la recherche d’un gorille « inoffensif », qui est en réalité Satanas déguisé, dans un parc animalier.
Les fous du volant (1968-1969) (saison 01) (s01x19): Ça c’est du sport.
Résumé: En route vers Chillicothe, Ohio, Satanas vole une voiture de police et poursuit le gang des Fourmis dans un parc de baseball. Ensuite, pour échapper à l’agent de police, ils participent à un match de la Ligue Tout-Petits. Certains des autres coureurs se joignent à eux.
Les fous du volant (1968-1969) (saison 01) (s01x20): Scions scions du bois.
Résumé: De Sawdust, Saskatchewan à Short Stump, Oregon, dans la région boisée accidentée, Satanas tente d’utiliser des arbres qui tombent et des lames de scie tournantes pour arrêter les coureurs.
ATTENTION: Je ne fais et ne propose AUCUNE COPIE d’épisode ni de quoi que ce soit, merci de ne pas me contacter à ce sujet car je ne répondrai pas.