La marque de jouets Dreamland vient de lancer sa campagne de Saint-Nicolas « Déballe tes rêves ». Un spot émouvant et super bien réalisé qui incite les enfants à choisir librement leurs jouets, sans se soucier des stéréotypes de genre.
Dans le nouveau spot, on peut voir un petit garçon dresser sa liste de cadeaux à Saint-Nicolas en découpant, comme on l’a tous fait enfant, dans les brochures de la marque. Alors que ses frères découpent des Action Man, le héros se met à couper, à l’abri des regards, le cadeau de ses rêves: une poupée…
Je vous met le spot en question afin de vous laisser découvrir la suite.
L’objectif de cette chouette campagne ? Montrer aux enfants que leur plaisir et leur imagination sont prioritaires dans leur choix de cadeaux et qu’ils peuvent choisir en toute liberté le jouet avec lequel ils aimeraient jouer. Parce que Saint-Nicolas n’impose aucun jugement et que tout le monde devrait prendre exemple sur lui.
Reçu aujourd’hui de Les chevaliers Baphomet: The Director’s Cut sur Nintendo DS, c’est un des jeux que j’ai préféré sur PC, je me rappelle encore des bons moment que j’ai passé à y jouer à l’époque ainsi qu’à sa suite Les chevaliers Baphomet 2: Les boucliers de Quetzalcoalt et du bon souvenir que j’en ai gardé.
Ce jeu fait partie d’une époque ou on avait encore une vrai notice dans la boite.
Pour ceux qui ne connaissent pas le jeu, voici un petit résumé ainsi que quelque info sur ce qu’ajoute la version « Director’s Cut« .
En 1996 Les chevaliers Baphomet commençait par un attentat dans un café parisien auquel assistait George Stobbart, un touriste américain venu faire le tour de l’Europe. L’attentat avait la particularité d’avoir été commis par un clown, que la presse avait surnommé le « Tueur déguisé ». George, qui a étudié le droit et qui a un sens aigu de la justice, fait de cette histoire une affaire personnelle et se met en tête de traquer l’assassin, aidé par Nicole Collard, journalise à La Liberté. Ensemble, ils vont explorer Paris et ses mystères, mais aussi d’autres pays, sur les traces d’une société secrète et d’une conspiration de grande ampleur.
Si l’intrigue n’a pas été bousculée dans Les chevaliers Baphomet: The Director’s Cut, elle a cependant été quelque peu remaniée, ou plutôt densifiée. De nouvelles séquences ont en effet été ajoutées, durant lesquelles le joueur est amené à incarner Nico Collard, ce qui était impossible auparavant. Le titre commence d’ailleurs par l’une de ces scènes inédites qui se déroule la veille de l’attentat du bistro. La journaliste, chargée d’interviewer le magnat des affaires M. Carchon, va en fait assister à son meurtre. Le célèbre assassin s’était cette fois-ci déguisé en mime. Qu’on se le dise, le scénario des Les chevaliers Baphomet, qui peut sembler farfelu au premier abord, plonge George, Nico et le joueur dans une aventure incroyable, aussi drôle que prenante, et pleine de rebondissements, à la rencontre de personnages pittoresques et attachants.
En bonus je vous met la photo des différentes version que j’ai du jeu (manque juste Les chevaliers Baphomet: La malédiction du serpent en PS4 qui n’est pas sur la photo car j’ai pas réussi à remettre la main dessus dans tout mes jeux au moment de la photo.
PS: Je ne vous ai pas mis de vidéo car j’ai eu beau chercher, je n’ai trouvé aucune bande annonce de la version Nintendo DS du jeu et je me voyait mal mettre l’une d’une autre version sur cet article.