The Last of Us (2023) (saison 01): Résumé de l’épisode 01

C’est aujourd’hui que débute la diffusion de la série télé The Last of Us, vous retrouverez chaque semaine sur le blog, le résumé et l’aperçu du nouvel épisode avec pour commencer le premier.

The Last of Us est une série télévisée post-apocalyptique américaine créée par Neil Druckmann et Craig Mazin, diffusée depuis le 15 janvier 2023 sur la chaîne américaine HBO.

Au Québec, elle est diffusée sur Super Écran, en France depuis le 16 janvier 2023 sur Prime Video, en Belgique, elle est disponible sur BeTV et Yelow Play, et en Suisse depuis le 20 février 2023 sur la RTS.

Il s’agit de l’adaptation télévisée du jeu vidéo éponyme, développé par Naughty Dog et sorti en 2013 sur PlayStation 3.

Histoire:

L’humanité a été décimée à la suite de la mutation d’un champignon parasite, le Cordyceps. Vingt ans après le début de cette pandémie, Joel, Ellie et Tess, un trio lié par la dureté du monde dans lequel ils vivent, se lancent dans un périple à travers ce qu’il reste des États-Unis. Au cours de leur voyage, ils devront faire face aussi bien aux infectés qu’à des survivants hostiles

Voici le générique de début de la série.

The Last of Us (2023) (saison 01): Générique de début.


The Last of Us (2023) (s01x01): Quand tu es perdu dans les ténèbres.

Résumé: En 1968, les épidémiologistes Newman et Schoenheiss discutent du potentiel d’une pandémie mondiale. Newman suggère que les champignons sont une grave menace étant donné le manque de traitement préventif ou de guérison. Schoenheiss souligne l’impossibilité d’une infection fongique chez l’homme en raison de l’incapacité des champignons à survivre à la chaleur corporelle. Newman est d’accord mais note que les champignons pourraient évoluer pour surmonter cette faiblesse à mesure que le monde se réchauffe, auquel cas l’humanité ne survivrait pas.

En 2003, à Austin, Sarah, 14 ans, est réveillée en pleine nuit et découvre ses voisins attaqués par une créature, une femme âgée autrefois sénile. Le père de Sarah, Joel, revient avec son frère Tommy et tue la créature. Alors que Joel, Tommy et Sarah fuient à travers la foule, les débris d’un avion écrasé renversent le camion de Tommy. Joel essaie de courir avec Sarah mais est acculé par un soldat, qui leur tire dessus. Tommy tue le soldat, mais Sarah est mortellement blessée et meurt dans les bras de Joel.

Vingt ans plus tard, en 2023, après que la pandémie mondiale des champignons Cordyceps a détruit la civilisation humaine, Joel vit dans une zone de quarantaine militaire à Boston, (Massachusetts), gérée par la Federal Disaster Response Agency (FEDRA). Lui et sa partenaire Tess s’adonnent à la contrebande. Joel envisage de partir pour le Wyoming à la recherche de Tommy, avec qui il a perdu le contact. Ellie, quatorze ans, est détenue par les Lucioles, un groupe de résistance contre la FEDRA. Leur chef, Marlene, révèle qu’elle a placé Ellie à l’école militaire FEDRA lorsqu’elle était enfant pour sa protection, mais prévoit maintenant de la transporter vers l’ouest. Joel et Tess achètent une batterie de voiture à Robert mais se font doubler lorsqu’elle est vendue aux Lucioles. Ils découvrent que l’accord a mal tourné, laissant Robert et la plupart des Lucioles morts. Marlene supplie Joel et Tess d’emmener Ellie au Capitole de l’État du Massachusetts en échange de fournitures, Joel et Tess acceptent. Le trio attend la tombée de la nuit pour partir. Ils sont attrapés par un soldat et contraints de se soumettre à un contrôle d’infection. Ellie poignarde le soldat à la jambe. Ce dernier menaçant de tirer sur Ellie, rappelant à Joel la mort de Sarah, il l’abat. Le scanner d’Ellie est positif, mais elle jure qu’elle n’est pas infectée depuis qu’elle a été mordue des semaines plus tôt. Joel, Tess et Ellie entrent dans une zone de contamination biologique du quartier commercial de Boston pour fuir les soldats qui les poursuivent.

ATTENTION: Je ne fais et ne propose AUCUNE COPIE d’épisode ni de quoi que ce soit, merci de ne pas me contacter à ce sujet car je ne répondrai pas.

Wonder boy: Dragon’s trap: Tout commence par la fin (Nintendo Switch)

Le troisième et dernier jeu que j’ai acheté pour la Nintendo Switch est Wonder boy: Dragon’s trap.

Né à la fin des années 80, le troisième épisode de la série Wonder Boy: The Dragon’s Trap, est considéré comme l’un des meilleurs jeux de la Master System. A la fois beau, passionnant et original, ce titre a régalé les amateurs d’aventure et d’épopées fantastiques. Fruit d’une équipe de 5 personnes, il a été entièrement programmé et imaginé par Ryuichi Nishizawa, co-fondateur du studio japonais Escape, qui deviendra Westone. Inspiré par Metroid et Zelda II, il demeure l’une des oeuvres majeures de l’ère 8-bits et c’est sans surprise que l’annonce du remake a été favorablement accueillie il y a un peu moins d’un an. Maintenant que le jeu est disponible, parvient-il à nous faire revivre nos folles escapades pixellisées d’antan ? C’est ce que je vous explique dans ce test teinté de nostalgie.

Avant de commencer sachez que vous pouvez choisir d’incarner un garçon ou une fille.

Voici d’ailleurs les commandes qui sont identiques pour chacun d’eux

Et vous avez aussi trois emplacements de sauvegarde.

Hop, retour dans le passé. Alors qu’il réfléchit à un nouveau concept, Ryuichi Nishizawa demande à l’un de ses collègues s’il a des préférences en matière de jeux vidéo. Ce dernier lui parle alors d’un certain Wai Wai World signé Konami. Dans ce jeu Famicom (la NES au Japon), il est possible de passer d’un personnage à un autre afin d’obtenir des capacités différentes. L’idée plaît à Nishizawa qui décide de l’exploiter en se basant sur la thérianthropie, autrement dit la transformation d’un être humain en animal. Il y intègre une pincée de mythologie et glisse une pirouette scénaristique afin de faire le lien avec le précédent volet. Ainsi naissent les fondations de Wonder Boy III: The Dragon’s Trap, une oeuvre appelée à devenir culte.

Tout commence par la fin:

L’une des originalités du jeu, qui sera d’ailleurs reprise dans Castlevania: Symphony of the Night, réside dans son prologue qui prend place à la fin de Wonder Boy in Monster Land, le second volet de la série. Après avoir vaincu les ennemis du château, le héros défie le Mecha Dragon et le terrasse. Mais alors qu’il pense savourer sa victoire, une malédiction le frappe et le transforme en homme-lézard. Pour retrouver sa véritable apparence, le jeune gaillard doit repartir à l’aventure. Il va ainsi braver de nouveaux dangers et affronter de terribles dragons. C’est simple, efficace et cette nouvelle version vous offre même la possibilité d’incarner une Wonder Girl et d’adapter la difficulté à votre niveau. De cette manière, les fans de la première heure et les novices peuvent découvrir le jeu sans s’arracher les cheveux comme à l’époque des premières consoles.

Enter le dessin animée et la bande dessinée:

Ce qui frappe immédiatement avec ce remake, c’est la qualité impressionnante de sa direction artistique. L’équipe de Lizardcube, en se basant sur les sprites et les décors d’origine, est parvenue à retranscrire avec une grande justesse la féérie de la cartouche Master System. Du héros aux ennemis en passant par les effets, tout a été retravaillé et offre un rendu fabuleux à l’écran. Les graphismes, à l’esprit bande dessinée, profitent d’animations dignes d’un véritable dessin animé. Les couleurs sont parfaitement choisies, les environnements sont absolument magnifiques et l’immersion est totale ! En quelques secondes, on se fait ensorceler et on n’en décroche plus ! Pour les nostalgiques, les développeurs ont intégré une option très pratique qui permet, via une simple touche, de repasser aux graphismes et sons d’époque (la version 8-bits a été entièrement reprogrammée). De quoi se rendre compte du travail phénoménal abattu par la team française. Vraiment, Wonder Boy: The Dragon’s Trap est l’un des jeux 2D les plus beaux de ces dernières années. Et le constat est le même pour la partie musicale.

Michael Geyre et ses musiciens sont parvenus à capturer l’essence de l’original et livrent des compositions de haute volée, lorgnant vers différents genres. Et ce, pour le meilleur de nos esgourdes ! Les instruments à corde côtoient les instruments à vent avec élégance sans que les oeuvres de Shinichi Sakamoto ne soient dénaturées. Du travail d’orfèvre !

Un jeu d’éxeption:

Malgré son âge Wonder Boy: The Dragon’s Trap propose une construction remarquable. En dehors du village qui sert de hub, tout l’intérêt du jeu se traduit par sa variété, ses situations bien amenées et sa ribambelle de secrets et portes cachées. La progression à la Metroid est palpable du début à la fin et on reconnaît bien les idées empruntées à Samus Aran. Chaque transformation octroie des capacités inédites qui permettent d’accéder à de nouvelles zones, toujours plus hostiles et dangereuses. En plus de ses diverses spécificités, l’avatar peut compter sur quelques items offensifs (tourbillon, flèches, boules de feu, éclair, boomerang, etc.) et un équipement de plus en plus efficace « mais aussi de plus en plus onéreux » au fil de l’aventure. Les boutiques, l’infirmière qui rebooste votre santé, les salles de transformation, les coffres, les dragons… tous ces éléments font partie intégrante d’une épopée qui reste en mémoire. Même si elle est courte…

Lorsqu’on connaît le cheminement à suivre, Wonder Boy: The Dragon’s Trap n’est pas un jeu qui tient sur la longueur. Après avoir bouclé la quête principale, qui n’excède pas les 3 à 4 heures, les développeurs vous invitent à explorer le monde avec votre apparence humaine. Vous pourrez ainsi partir à la recherche des salles inédites, spécialement conçues pour l’occasion, qui proposent des challenges multiples pour les habitués du pad. Moderne et à la fois fidèle à sa base, le titre de Lizardcube est une totale réussite et pourrait peut-être donner, des idées à bien des éditeurs. Des remakes de cette prestance, ce n’est pas tous les jours que cela arrive.

Voici pour terminer ma vidéo de gameplay découverte.

Wonder boy: Dragon’s trap #01: Gameplay découverte.

Conclusion:

En s’attaquant à un monument de la ludothèque Master System, Lizardcube a pris un véritable risque. Dans le cadre d’un remake, il n’est pas rare de voir les matériaux d’origine être modifiés, voire dénaturés. Avec Wonder Boy: The Dragon’s Trap, les développeurs sont parvenus à respecter l’ensemble de l’oeuvre 8-bits tout en apportant un esprit bande dessinée à tomber à la renverse. Oui, le jeu est court et ses fondations reposent sur des éléments qui peuvent paraître caduques aujourd’hui. Mais en dehors de ça, sa réalisation somptueuse, ses thèmes musicaux, son gameplay bien réglé et ses multiples personnages en font l’une des productions 2D les plus épatantes de ces dernières années. Vraiment, des remakes de cette qualité, on en redemande !

Batman, la série animée (1995): L’épisode perdu / The lost episode

La série animée Batman. L’oeuvre qui aura marquée toute une génération de fans du Chevalier Noir a naturellement eu droit à de nombreuses adaptations sur toutes sortes de consoles, des jeux parfois trop durs mais rarement mauvais (Gotham City Racer gâche un peu le tableau) et sur lesquels on s’amusait rapidement ne serait-ce que pour le rêve de pouvoir jouer Batman ou Robin dans une nouvelle aventure.

Parmi eux, il en existe un nommé The Adventures of Batman and Robin sur Mega-CD qui a une particularité qui plaira aux fans de Batman, la série animée, même à ceux qui ne jouent pas aux jeux vidéos, et j’espère pouvoir faire découvrir à certains d’entre vous quelque chose de nouveau sur le dessin animé de votre enfance grâce à ce qu’on appelle parfois sur internet The Lost Episode.

The Adventures of Batman and Robin est donc sorti en 1995 sur la Mega-CD, qui était une Mega Drive équipée d’un périphérique permettant la lecture de CD-ROM, la série animée était sur sa fin et le studio Clockwork Tortoise développe les versions Sega de ses adaptations. Celle sur Mega Drive sera un run’n’gun plutôt difficile et très rythmé tandis qu’ils opteront pour un jeu basé sur des phases de poursuite en batmobile pour la version Mega-CD sur lequel nous allons nous arrêter avant de passer au plus intéressant. En termes de gameplay, le jeu se rapproche donc des jeux de courses de l’époque comme les Road Rash, sauf qu’il faudra ici tirer sur des ennemis et éviter les obstacles grâce à vos réflexes de Jedi. Le jeu reste en effet très difficile durant les premières parties, d’autant que les niveaux du début ne sont pas très enthousiasmants. Cependant, le jeu se diversifie légèrement au fur et à mesure des mondes et des super-vilains de Batman que l’on affronte. Cette version est donc distrayante si on aime le genre et le challenge, mais vous aurez sûrement envie, tout comme moi, de terminer le jeu pour les cinématiques entre les niveaux.

Le voilà, cet « épisode perdu ». Grâce au CD-ROM, le studio a pu intégrer 17 minutes de cinématiques prenant la forme d’un épisode exclusif animé par TMS Entertainment, boîte japonaise très reconnu qui s’était déjà occupée de quelques épisodes de la série animée (notamment Bas les Masques, Partie II, avec l’animation sublime de Clayface) entre autres succès comme Les Animaniacs, La Bande à Picsou et Superman : TAS. Encore plus fabuleux, les acteurs de la version anglaise sont tous de la partie, que ce soit Kevin Conroy en Batman, Mark Hamill en Joker et leurs camarades reprenant leur rôle respectif (par contre, pas de vf, vous vous en doutiez). C’est vraiment devant un nouvel épisode entrecoupé par des phases de gameplay en batmobile que nous nous retrouvons, mais outre la qualité amoindrie par les capacités de la console, on assiste à une histoire assez particulière. C’est ainsi que, personnellement, je ressortais partagé entre la joie d’assister à cette belle découverte alors que je faisais mes premiers pas sur internet et la stupeur de me retrouver face à l’épisode à l’ambiance étrange et avec une certaine violence gratuite.

Le jeu commence avec cette séquence hyper badass de Batman dans sa cave prêt à démonter du super-vilain, et c’est finalement ce à quoi vous assisterez. On termine le niveau et l’épisode suit son fil en opposant notre héros à Poison Ivy et l’une de ses plantes géantes humanoïdes. D’ailleurs, le parallèle au jeu Batman : TAS sur SNES se fera régulièrement, les designs et les méchants utilisés sont presque les mêmes. Batman affronte donc la bête, et après avoir découpé l’un de ses membres, notre valeureux justicier se saisit d’une hache et abat la créature. Si le geste semble si violent, c’est aussi par sa mise en scène assez terrifiante, ne montrant que l’ombre de Batman s’acharner sur la plante à grands coups de hache, qui fera gicler du « sang » jaunâtre provenant du monstre de Poison Ivy. On aura rarement vu le petit Bruce aussi violent dans la série animée et c’est un peu sur le cul que l’aventure continue.

Batman arrête Poison Ivy, foreshadowing, raccourcis scénaristiques, on défonce la porte avec la batmobile et hop, on se retrouve devant le Riddler dans une bonne scène malgré le fait que ça se met encore une fois des grands coups dans la tronche et que le criminel se fait électrifier allègrement. La valse des super-vilains continue avec l’arrivée de Harley Quinn et du Joker dans une musique que je trouve toujours assez malsaine. Après une scène à l’ambiance étrange, c’est donc au tour du clown de se faire tabasser et Batman peut aller à sa prochaine cible, Rupert Thorne, ou plutôt Clayface, gros twist de dingue. On passe le fait que notre preux chevalier tire son grappin en plein sur le front d’un sbire avant de se faire dégager par le super-vilain, mais Batman trouve une solution en tirant au canon 88mm dans sa face, mais c’est pas grave puisqu’il est en argile et que ses parents ne se sont pas faits tués par un canon de 88mm, non ? Bref, après ce moment compliqué et un niveau en Batwing, Batman abat l’hélicoptère de Clayface, qui tombe dans le fleuve et se dissout dans un cri de souffrance strident. Ça y est, les rues de Gotham sont bien nettoyées.

On sera d’accord en lisant ce résumé ou en regardant l’épisode lui-même (que vous retrouverez ci-dessous) que Batman agit vraiment bizarrement, et ce n’est pas la musique et la narration qui arrangera cet aspect. Pour un jeu vidéo, il ne vaut clairement pas ses autres versions ni même les jeux PS2 qui ont suivi, mais ce n’est pas le pire et propose une expérience plus déroutante finalement. Malgré tout, cet épisode dérangeant me fascine quelque part, par son ambiance et par son côté trésor caché. Je me rappelle encore quand je l’ai découvert aux débuts des années 2000, j’étais bien jeune et je pensais que cet épisode était interdit de diffusion pour sa violence justement, jusqu’à ce que je découvre le jeu un peu plus tard, mais ce Lost Episode est un peu devenu une légende avec le temps, une sorte d’anomalie dans ce chef d’oeuvre qu’est Batman, la série animée.

Batman, la série animée (1995): L’épisode perdu / The lost episode.

ATTENTION: Je ne fais et ne propose AUCUNE COPIE d’épisode ni de quoi que ce soit, merci de ne pas me contacter à ce sujet car je ne répondrai pas.

Sparklite: Préparez-vous pour l’aventure !

Je viens de recevoir le jeu vidéo Sparklite qui me tentait depuis pas mal de temps, et j’ai profité qu’il était en promo pour me l’acheter.

Voici les photos de la jaquette.

Ainsi que du blu-ray.

Le jeu propose trois emplacements de sauvegarde.

Je vous ai aussi enregistré la petite vidéo de gameplay découverte que voici histoire de vous donner une idée.

Sparklite #01: Gameplay découverte.

Pour terminer, je vous met l’écran de lancement du jeu.

Et une petite photo bonus.

Star Ocean: The divine force démo

Je viens de télécharger deux démos sur la Playstation 4, la première est celle du jeu Star Ocean: The divine force.

Voici le prologue du jeu.

Star Ocean: The divine force #01: Prologue.

Je vous ai aussi enregistré le contenu complet de la démo.

Star Ocean: The divine force #02: Démo.

Une fois la démo terminée, nous avons droit à un message de remerciement, attention toute fois, comme indiqué, les données de la démo (la sauvegarde), ne sont pas transférable dans le jeu, il vous faudra donc tous recommencer depuis le début.

Et pour fini voici l’écran de lancement.