« Monsieur Patate », jouet culte de notre enfance, laisse place à une famille non-genrée

Finie la marque “Monsieur Patate”, jouet culte du groupe Hasbro: le fabricant a annoncé jeudi qu’il allait commercialiser une famille patate non-genrée, même s’il a ensuite tenu à assurer que les jouets genrés eux-mêmes resteraient, seuls la marque et le logo perdant l’attribut “Monsieur”.

Ces jouets, introduits en 1952, et mis en scène dans la série de films “Toy Story”, font partie des incontournables des familles américaines.

A partir d’une forme de patate en plastique, les enfants sont appelés à créer des personnages en leur ajoutant des attributs comme des yeux, avec sourcils maquillés pour Madame Patate, par exemple, une bouche, avec rouge à lèvres pour Madame, une moustache pour Monsieur, chaussures à talons ou pas, etc…

Dans un premier communiqué publié sur son site internet jeudi, Hasbro indiquait vouloir désormais “s’assurer que tout le monde se sente le bienvenu dans le monde des têtes de patates en abandonnant officiellement la marque et le logo de Monsieur Tête de Patate”. Avec l’intention de “promouvoir égalité des genres et inclusion”.

Mais un autre communiqué, plus bref, l’a ensuite remplacé, indiquant que “les personnages emblématiques de Mr. et Mme Patate ne disparaîtraient pas”, sans préciser pour autant sous quelle forme ils seraient maintenus.

“Les différents visages des familles”.

Le nouveau texte retirait aussi toute mention d’inclusion ou d’égalité des genres, indiquant simplement qu’il s’agissait de “célébrer les différents visages des familles”.

Ces dernières années, les fabricants de jouets ont plusieurs fois fait évoluer des jouets traditionnels à commencer par les poupées en réponse aux dénonciations de stéréotypes sexistes, racistes, ou encourageant des canons de “beauté” traditionnels.

Les jouets “mixtes”, destinés à éviter les stéréotypes de rôle masculin ou féminin, notamment, se sont multipliés.

Mattel, créateur des poupées Barbie, a été à la pointe, avec notamment sa gamme “creatable world”, des poupées au corps d’un enfant de 8-10 ans et aux cheveux courts.

Journal RTBF: Sujet: Jeux vidéos / Vecteur de lien social

Je viens de regarder le journal télévisé de la RTBF (La Une) et je vous ai enregistré le sujet sur les jeux vidéos et plus précisément sur les liens sociaux qu’ils permettent de créé.

PS: Je pense qu’il serai bon que le mari de ma soeur voie le sujet, lui qui refuse que mes neveux jouent à Pokémon.

Même masqué, on t’as reconnu ^^

Alors que j’allais regarder le journal sur la RTBF, Leedee me demande de lui dire si rien ne m’a frappé pendant la diffusion du sujet sur les coiffeurs.

Une fois le sujet visionné, je remarque les figurines qui sont sur l’étagère, l’écran de la télé qui diffuse un aquarium, un caméraman qu’on voie qui passe devant un miroir et en fait c’était pas du tout ça qu’il fallait voir.

En fait ce qui aurai du me frapper (maintenant que je le sais je me demande comment je l’ai pas remarqué direct), c’est l’un des clients qui est interviewé qui aurai du attirer mon attention, pourquoi me direz vous ? et bien en fait le mec qu’on voie en train de se faire couper les cheveux n’est autre que l’ex-mari d’une de mes ex.

Le tricot a toujours la cote

Cela faisait une bonne quinzaine de jours que je devais vous mettre cette vidéos que Leedee m’a fait découvrir car bien que quelque peut approximative, j’ai trouvé ça plutôt mignon.

Pour vous résumer l’histoire, depuis 1955, Mme Loes Veenstra a tricoté plus de 550 pulls ! Elle les gardait dans sa maison située à Carnisestraat, à Rotterdam. Ces pulls ont été portés, pour la première fois, lors d’un flashmob inter-générationnel. Ce trésor vestimentaire fut découvert par le Musée Historique de Rotterdam.

Ps: Jusqu’au 18 Janvier 2013, le musée expose ces pulls dans le cadre de l’exposition «Over leven in Carnisse» (La vie dans Carnisse).