Ma journée du 16 octobre 2012

Début – 02h 09min:

Bonsoir tous le monde, comme chaque soir avant d’aller faire dodo, je viens vous faire le résumé de ma journée,… Voire au-delà.

Journée triste une fois de plus pour moi, mais bon des fois quand rien avance ou ne chance, il y à des décisions à prendre même si cela fait mal, ça ne sers à rien de tourner en rond ou prendre racine, ou encore essayer de redonner une chance à quelqu’un qui n’avance en rien et vous ralenti plus qu’autre chose, qui vous prend pour un imbécile depuis des années et recommence encore et encore les mêmes conneries à l’infini, mais bon je vais pas encore rentrer dans les détails et perdre mon temps à discuter de quelqu’un qui n’aura une fois de plus encore rien fait pour moi comme à son habitude.

Ce matin j’ai vu un texte pas mal sur Facebook, en général je ne diffuse pas les conneries qu’on trouve la dessus mais pour une fois je vais faire une exceptions car j’ai trouvé que ce texte était pas mal, et surtout que certain devrai en prendre de la graine.

« C’est quand on risque de perdre une personne que l’on aime que l’on se rend compte de tout. On prend conscience de nos erreurs, des choses blessantes et méchantes que l’on a pu dire, maladroitement. On regrette les bêtises que l’on a pu faire ou au contraire, ne pas faire. On comprend la douleur de l’absence des mots que l’on aurait du dire, des gestes que l’on aurait du faire. On dit que c’est en perdant une personne que l’on se rend compte à quel point elle nous était importante, mais parfois, le destin nous fait un clin d’oeil en nous faisant comprendre nos erreurs, quand on est à deux doigts de perdre cette personne, et quand le destin s’y mêle, crois moi, c’est que cette personne n’est pas n’importe qui, qu’il faudra faire des efforts, des sacrifices et n’importe quoi pour elle, cette personne méritera tout. Parce que, cette personne, c’est elle qui sera la raison de votre bonheur, de vos sourires, de vos fous rires. Ce sera avec elle que vos  » Je vais bien  » seront sincère. Ce sera dans ses bras que vous serrez bien, en sécurité, et heureuse. Alors quand vous trouverez cette personne, battez vous, donnez vous toute entière pour elle, car si cette personne reste dans votre vie, sachez qu’elle y sera pendant un long, long moment, et qu’elle n’est pas prête de vous quitter. »

Très joli texte je trouve, mais bon ça me rappelle aussi surtout que jamais était important pour quelqu’un au point que cette personne puisse avoir peur de me perdre (enfin si une fois c’est arrivée, une seul fois, mais la encore ça n’a pas duré).

Pour ce qui est de ma journée, j’ai été à Mons faire des papiers mais j’en ai que la moitié car en fait le services qui doit me donner les documents que j’ai besoin ne travaille que le matin, donc conclusion je devrai retourner à Mons demain de la matinée ce qui fait que je vais quand même essayer de pas aller dormir trop tard pour dire de savoir me lever, de plus qu’après demain c’est rebelote vu que j’ai rendez-vous à 08h 20min pour aller porter tous les documents et expliquer ce que j’ai à expliquer pour ma demande en espérant que tous se passe bien et que ça sera accepté.

Pour l’après midi, au départ j’avais prévu d’aller faire une surprise à quelqu’un mais vu la prise de bec de ce matin que j’ai eu avec cette personne je me suis dit qu’elle avais qu’à aller se faire voir et conclusion je suis rentré direct pour arriver ici à 16h 46min.

Quand je suis rentré j’ai passé une bonne partie de l’avant soirée au téléphone pour m’expliquer avec cette même personne.

En soirée j’ai regardé la séries Person of interest, et comme chaque fois, j’aime toujours autant cette série ou je ne m’ennuie pas un instant en la regardant.

Pour ce qui est du reste une fois de plus j’ai encore était perdu dans mes pensées, bon enfin je vais vous laisser et aller faire dodo alors je vous dit bonne nuit.

Fin – 02h 24min:

Ma boule de voyant (312)

Voici la prédiction qui m’a été donnée aujourd’hui par Ma boule de voyant sur Facebook.

Ben le choix est fait, fallait pas (entre autre) recycler ce que j’avais dit pour en faire profiter un dégénéré qu’on veux soit disant quitter,… et j’en passe.

Ps: Ca m’intéresse pas de revivre ce que j’ai vécu.

Les mémoires d’un pirate (014)

Un bruit d’os résonna dans la chambre : c’était le squelette qui croisait ses minces doigts.
Sentant une nette hésitation en celui qu’il avait nommé au hasard son second, LeChuck jugea nécessaire de le questionner plus en profondeur sur son existence psychologique spectrale.

– T’es content d’être mort, non ? demanda l’ignoble d’un ton menaçant.
– Oh oui, mon capitaine. J’ai eu tellement de chance que vous ayez capturé mon navire, tué tout le monde à bord… (il inspira fortement) Quelle chance !

LeChuck le fixa d’un oeil satisfait et sourit, détournant son regard du pauvre damné. Libéré du poids étouffant des yeux de son capitaine, il put enfin souffler.

– Je suis content de te l’entendre dire, reprit LeChuck. Pourquoi me déranges-tu au juste ?

Voilà. Il avait posé LA question.

– Ah oui… marmonna le spectre faisant mine d’avoir oublié le but de sa venue, et bien, il se peut que nous ayons un problème sur l’île de Mêlée.

LeChuck se retourna brusquement et s’agrippa au collet de son spectre de main.

– Un PROBLEME ?! gronda-t-il. Quel genre de problème ? (il réfléchit un bref instant songeant qu’il ne pouvait y en avoir puisque) Ces pirates froussards ont à présent si peur de l’eau qu’ils ne se lavent même plus !

Et moi qui avais peur de sentir le poisson après ma petite traversée.

– A vrai dire, fit le second tentant de se libérer des griffes du monstre, il y a un étranger au village (pour ceux qui ont du mal à suivre, c’était de moi qu’ils parlaient). Il est jeune, sans
expérience : il est sans aucun doute inoffensif. Je n’aurais même pas dû vous en parler.  Je vais m’en charger personnellement.

LeChuck lâcha le spectre.

– Je préfère me charger de lui moi-même, dit-il l’air songeur. Je ne vais pas laisser un petit amateur gâcher tous mes projets.
– A vos ordres capitaine, dit le squelette avant de déguerpir sans tarder.

Bougre de chance ! Son capitaine l’avait épargné. Il s’en était sorti indemne. A l’exception, bien entendu, de certains de ses doigts qui avaient sauté, à force de les croiser.

« Guybrush Threepwood ». J’étais le premier à défendre la belle locution de mon doux nom. Mais il fallait me rendre à l’évidence : c’était un nom tout juste bon à vendre des chaussures. Devais-je réellement le changer en « Barbapeur », « Sixdoigts » ou «  Corserator » afin de me faire un nom ? Diantre, j’espérais bien que non ! Ma mère en avait tant bavé pour me trouver un prénom aussi original ! Si j’avais été une fille, elle m’aurait appelé Robert. Ben quoi ? C’est aussi très original je trouve ! Vous connaissez beaucoup de filles qui s’appellent Robert vous ? Non ? Alors maintenant, laissez-moi continuer mon palpitant récit au lieu de m’interrompre à tout bout de champ !

J’avais besoin d’argent. Pas de grand chose mais d’au moins suffisamment pour  m’acheter le nécessaire minimum du pirate. Je n’avais pas beaucoup de choix pour en gagner. C’était soit la prostitution, soit la fabrication de fausse monnaie, soit ça : « Le Maxi Mêlée Circus cherche un cobaye (le mot avait été barré puis remplacé par « volontaire ») pour les préparatifs du spectacle de demain soir. Bon salaire proposé. ». Pourquoi pas ? Moi qui aimais le cirque. Je n’avais jamais autant ri que le jour où le pingouin carnivore avait dévoré le clown. Je m’en souviens très bien, une de ses chaussures dépassait de son bec tout fin ! Mais peu importe.

J’entrais sous un gigantesque chapiteau illuminé. Je surpris alors deux drôles de types dans une conversation musclée. Ils ne m’avaient pas vu. A croire qu’ils étaient tous  myopes sur cette île.

– Je veux bien rentrer dans le canon, mais la poudre à canon me fait éternuer, dit le
moustachu avec un atroce accent italien.