Pas de décision sur le sort du médecin de Jackson avant juin

Le docteur Conrad Murray, inculpé d’homicide involontaire pour la mort de Michael Jackson, va pouvoir continuer à exercer la médecine pendant au moins quelques mois, la Cour supérieure de Los Angeles n’ayant pris lundi aucune décision à son sujet, avant une nouvelle audience le 14 juin.

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Le procureur de Californie veut empêcher Conrad Murray d’exercer la médecine dans l’Etat, au motif que sa « conduite et son imprudence dans les soins et le traitement prodigués à Michael Jackson le rendent dangereux pour le public ».

Conrad Murray avait reconnu avoir administré au « roi de la pop » le puissant anesthésiant propofol, qui avait provoqué la mort du chanteur, le 25 juin dernier à Los Angeles, à l’âge de 50 ans.

Selon ses avocats, une interdiction d’exercer en Californie entraînerait inévitablement des décisions similaires au Texas et dans le Nevada, où le médecin possède des cabinets et constituerait pour le praticien « une catastrophe financière et personnelle ».

Le docteur Murray a toujours clamé qu’il avait administré le propofol à la demande insistante de Michael Jackson, qui l’utilisait comme somnifère.

Le chef d’accusation d' »homicide involontaire » pourrait lui valoir, en cas de condamnation, jusqu’à quatre ans de prison. Il plaide non coupable.

Le Coca et l’auto-médication, causes du décès de Jackson ?

L’addiction de Michael Jackson au Coca-Cola devrait faire partie de la stratégie de défense du docteur Conrad Murray, inculpé en février d’homicide involontaire sur le « roi de la pop », rapporte lundi le site TMZ.

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Selon le site spécialisé dans la vie des célébrités, la défense du docteur Murray va affirmer que Michael Jackson a causé son propre décès en ingérant une dose léthale de Propofol lorsque le médecin n’était pas dans la pièce.

La défense du docteur Murray va affirmer que Michael Jackson a causé son propre décès en ingérant une dose léthale de Propofol, en l’absence du médecin.

Le chanteur consommait énormément de Coca et donc de caféine, et avait besoin de somnifères pour pouvoir dormir. La défense disposerait de plusieurs exemples de situations dans lesquelles le chanteur, accro à la caféine, prenait des médicaments dont du Propofol pour s’endormir.

L’auto-médication du chanteur aurait été, selon la défense du médecin, la cause de son décès.

Ruiné, le Dr de Jackson supplie qu’on le laisse exercer

Les avocats de Conrad Murray, inculpé en février d’homicide involontaire pour la mort de Michael Jackson, ont exhorté jeudi la justice américaine à ne pas retirer au médecin son droit d’exercer, une sanction qui constituerait « une catastrophe financière et personnelle ».

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Dangereux pour le public:
Le procureur de Californie avait récemment annoncé qu’il allait demander à la justice de retirer à Conrad Murray son droit à exercer la médecine dans l’Etat, au motif que sa « conduite et son imprudence dans les soins et le traitement prodigués à Michael Jackson le rendent dangereux pour le public ».

Conrad Murray avait reconnu avoir administré au « roi de la pop » le puissant anesthésiant Propofol, qui avait provoqué la mort du chanteur, le 25 juin dernier à Los Angeles, à l’âge de 50 ans. Selon ses avocats, une interdiction d’exercer en Californie entraînerait inévitablement des décisions similaires au Texas et dans le Nevada, où le médecin possède des cabinets.

Dans des documents déposés jeudi devant la Cour supérieure de Los Angeles, ils assurent que si Conrad Murray n’exerce plus en Californie depuis la mort de Michael Jackson, un retrait de licence au Texas et dans le Nevada « compromettrait sa capacité à assurer sa défense ».

Ruiné:
« Les problèmes financiers consécutifs à l’enquête (sur la mort de Michael Jackson) ont été évoqués publiquement », écrivent Ed Chernoff et Joseph Hawkins Low IV. « Sa situation (financière), sans exagérer, ne tient qu’à un fil. Sa capacité à payer pour sa défense dépend presque entièrement de son activité de médecin dans le Nevada et au Texas ».

Le Dr de Jackson a cessé la réa pour planquer les médicaments

Nouveau coup d’éclat dans l’affaire Michael Jackson. Un communiqué de l’AP annonce aujourd’hui que Conrad Murray aurait perdu un temps précieux pour la survie de Michael Jackson en abandonnant son massage cardiaque pour cacher les doses de Propofol qui avaient été fatales à la star américaine.

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Selon l’homme à tout faire de la star, en découvrant Michael Jackson, le Dr Murray aurait appelé les secours avant d’entamer la réanimation du chanteur. Mais peu avant que les ambulances n’arrivent, le médecin controversé aurait tout stoppé pour planquer les médicaments qu’il avait lui même fournis au roi de la pop.

Toutefois, les avocats du médecin mettent en doute les propos de ce témoin qui viennent tardivement. Selon eux, son témoignage est incohérent.

L’enregistrement de l’appel des ambulanciers de Jackson: un hoax ?

Hier, un enregistrement d’un appel donné à l’hôpital d’UCLA par les ambulanciers qui transportaient Michael Jackson le jour de son décès était découvert sur la toile. Une voix dit sur cette bande: Le patient est Michael Jackson, le chanteur. Le coeur ne bat pas, il ne respire pas. Il ne répond pas. On tente de le réanimer. De manière infrutueuse. Nous avons fait tout notre possible. Nous devrions être là dans cinq minutes. Ce n’est pas bon, ce n’est pas bon.

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Selon le Sun, cette bande a été trouvée sur un forum Internet géré par des ambulanciers. Un porte-parole du Los Angeles Fire Department a déclaré aujourd’hui: Je ne peux pas confirmer que c’est l’un de nos travailleurs. Ca pourrait l’être. Mais ils parlent du « chanteur Michael Jackson » mais il n’est pas dans nos habitudes de citer les noms des patients.

Si cette bande est authentique, elle pourra être utilisée comme preuve dans le procès de Conrad Murray, le médecin de MJ, accusé d’homicide involontaire. Elle contredit les affirmations de Murray, qui raconte que Michael vivait encore et qu’il avait eu un sursaut quand on l’avait mis dans l’ambulance. Le médecin a admis avoir donné au chanteur un cocktail de médicaments, dont du Propofol, de puissants sédatifs.