Les caissiers le connaissent bien. Même si son apparence les répugne, ils se frottent les mains dès qu’Alphonse passe la porte du magasin. Le chiffre d’affaire est assuré !
Aujourd’hui Alphonse a découvert un vêtement qu’il n’avait jamais vu : il a bien fait de venir ! Et en plus ça lui va comme un gant, que demander de plus ?
Alphonse : Voilà ! J’ai trouvé mon bonheur encore une fois !
Steven : Ah ? Heu… Je vous fais un paquet ou vous partez très vite ? Enfin je veux dire tout de suite ?
Alphonse : Non ça va allez, j’habite pas loin. Merci à demain !
Steven : Oui oui… (à sa collègue) : Ah ben ça ! J’aurais jamais pensé vendre un costume d’Halloween à cette époque ! T’as eu une super idée ! Demain on sortira tout le stock qui nous reste.
Et Alphonse passe le reste de la journée à s’admirer dans son miroir.
Alphonse : Arf arf ! Qu’est-ce que je suis beau gosse quand même ! Will Smith peut aller se rhabiller. Mesdemoiselles préparez-vous, le tombeur de ces dames arrive !
Quand Alphonse a de nouveaux vêtements, il n’arrive pas à s’en séparer pour la nuit. Ces jours-là, c’est donc en général déjà habillé qu’il descend pour le rituel du courrier.
(Ce matin il n’a eu que des factures, et comme ça ne l’intéresse pas, il en a fait des avions et a joué avec pendant trois heures).