Yvonne : Ah bon ? Comment ça se fait ?
Alphonse : Ben en fait on a eu une relation sexuelle dans…
Yvonne : Oui oui ! Ca je me doute, j’ai des enfants aussi, je sais comment on les faits ! Mais je croyais que tu étais encore vierge moi, quand on avait discuté l’autre jour.
Alphonse : Heu… Faut pas le dire trop fort non plus. Enfin je le suis plus quoi !
Steven : Tiens regarde, y’en a deux dans le magasin. Je te parie 50 Simflouz qu’ils viennent à ma caisse. J’ai la poisse pour ça.
Véronique : Ok je tiens le pari.
Alphonse : Bonjour monsieur !
Steven : T’as vu ?
Véronique : ‘Tain, je te filerai ton pognon à la pause.
Alphonse : Vous avez vu ? J’achète des vêtements pour femmes aujourd’hui !
Steven : Oooooh ben ça alors ! Je suis sûr que heu… qu’ils vont vous aller à ravir !
Alphonse : Arf arf arf ! Vous êtes rigolo ! C’est pour ma copine !
Steven : Oooooh ! Mais quelle chance elle a ! J’aimerais bien voir sa tête tiens ! Enfin je veux dire, voir comment elle est avec ses jolis vêtements !
Alphonse : Je viendrai avec elle une fois.
Steven : Oui ben, vous pressez pas non plus, c’est pas si urgent.
Alphonse s’est découvert une réelle fibre paternelle. Il adore Alfred !
Quelle joie de pouvoir le changer !
NB : Pour Alphonse, « changer » un bébé ne veut pas dire lui changer sa couche, mais lui changer ses vêtements toutes les trois heures.