Une salade qui fait « bip bip »

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Les légumes c’est bon pour la santé, ça ne coûte pas cher et ça peut rapporter gros. Un Français vient d’en faire l’expérience. Pour 1,79 euro de salade, il a reçu un GSM en prime.

Non, ce n’est pas une folle promo d’un supermarché, il s’agit en fait d’une « plaisanterie ». Un employé aurait glissé le téléphone dans l’emballage de la salade. « C’est une catastrophe », s’énerve la gérance du magasin. « Il s’agit probablement d’un acte de malveillance ».

De son côté, le client est ravi et ce même s’il ne peut utiliser l’appareil. « C’est un téléphone de société, il ne fonctionne qu’en interne » indique-t-il.

L’épouse du client n’aura pas non plus perdu sa journée. Pour se faire pardonner, le magasin lui a offert un beau bouquet de fleur.

David Guetta bugge en direct

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Personne n’est à l’abri d’un problème technique, pas même David Guetta. En plein concert, la DJ français s’est senti bien seul quand sa machine a refusé de jouer.

La vidéo circule depuis quelques jours sur le net. David Guetta est en plein concert devant des milliers de fans, quand, tout à coup, c’est la panne.

Embarrassé, le DJ a entrepris un petit démontage de sa console ne comprenant pas ce qui lui arrivait. Finalement, le son a repris pour le plus grand soulagement de la star française.

Rick Astley, premier virus de l’iPhone

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Un étudiant australien féru d’informatique a revendiqué le premier « ver » qui infecte certains téléphones portables iPhone. Le ver agit en remplaçant le fond d’écran par une photo de Rick Astley, un chanteur anglais des années 80 rendu célèbre par son tube « Never gonna give you up ».

Inoffensif, « Ikee » ne s’attaque qu’aux iPhone qui ont été « débloqués » par leurs utilisateurs: cette manoeuvre permet au téléphone de fonctionner avec plusieurs opérateurs ou d’installer des logiciels n’ayant pas été approuvés par Apple.

Ashley Towns, un étudiant de 21 ans habitant près de Sydney, a affirmé avoir voulu attirer l’attention sur cette faille de sécurité. « Quelqu’un de plus mal intentionné aurait pu faire tout et n’importe quoi d’autre: lire les SMS, regarder vos courriels, votre carnet d’adresses, vos photos », a déclaré le jeune homme cité par le groupe audiovisuel public australien ABC.

« Le virus en lui-même n’est pas méchant et ne fait pas de dégâts. C’est juste pour rire et éveiller l’attention des gens », a-t-il ajouté.

Ironie de l’histoire, le tube de Rick Astley a connu récemment un formidable retour grâce à la mode du « Rick-rolling ». La blague consiste pour les internautes à faire croire à son destinataire qu’il va cliquer sur un lien pertinent mais le redirige en fait vers le tube de Rick Astley.

Dans la cuisine d’Un dîner presque parfait

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Le rendez-vous est fixé à 19 h. Dans le jardin de la maison envahie par les équipes de production, certain fume une dernière cigarette, en attendant l’arrivée des quatre invités. Ce soir-là, Un dîner presque parfait se déroule à Waterloo et je me suis fait invité à table.

A 19 h, ding dong!
Le stress est palpable: en cuisine, l’hôte du jour commence à suer au-dessus de ses casseroles et dehors, le producteur de l’émission, Xavier Debatty, nous explique que c’est « l’heure critique ». Eh oui, comme dans la vraie vie, les candidats sont notamment dépendants des embouteillages et s’ils arrivent en retard, alors que les zakouskis sont déjà sortis du four, c’est une soirée qui commence mal. Ce jour-là, aucun problème à l’horizon: les quatre convives sont équipés de leur micro à l’heure dite et sonnent, tout sourire, un petit cadeau à la main, devant les caméras, comme prévu.

Le bureau de l’hôte se transforme en régie
Pour les caméramans et en régie, le marathon commence. Si Un dîner presque parfait est une émission télé, elle ne se déroule pas moins en live. Pendant des heures, les deux cadreurs vont suivre les moindres mouvements des affamés et les instructions précises que leur indique le réalisateur dans l’oreillette.

Ce dernier est installé dans le bureau de la maison de celui qui reçoit. Face à lui, deux écrans d’ordinateur retransmettent les images prises dans le salon, où l’ambiance n’est pas encore tout à fait détendue. On se permet un coup d’oeil. L’apéro vient d’être servi, l’alcool devrait commencer à faire son petit effet. Pas d’inquiétude pour la conduite (il n’y a jamais de Bob dans Un dîner presque parfait): chacun des candidats est déposé en voiture par un proche et ramené une fois la soirée terminée par une personne de la production.

Ni musique, ni lumière tamisée
Si les candidats ont du mal à se détendre, c’est notamment parce qu’il n’y a ni ambiance musicale, ni lumières tamisées. La musique est interdite: c’est la prod’, lors du montage, qui se charge d’en mettre, pour rendre les images plus dynamiques. Quant à la lumière, de gros spots ont été installés aux quatre coins du salon: la télé a ses impératifs…

Hypocrites, va!
Tandis que les invités passent à table et s’apprêtent à se régaler de saumon, en régie, on en profite pour engloutir une salade achetée à la pompe à essence d’à-côté, arrosée de Coca. Deux poids, deux mesure. A table, certains se lèchent les babines, d’autres grimacent discrètement avant de se fendre d’un: « Mmh, c’est délicieux! »

L’hypocrisie n’aura plus sa place lors des confidences en tête-à-tête dans la salle de bain, un lieu choisi pour « l’intimité » qu’il représente. Bien sûr, si elle est trop petite pour accueillir une équipe télé, une autre pièce peut être envisagée. C’est également le cas pour la maison ou l’appartement du candidat qui invite. Il arrive parfois que son habitation ne permette pas l’installation technique utile à l’émission. Il n’est donc pas exclu qu’ils reçoivent dans la maison d’un proche.

100 euros de défraiement
En discutant des ficelles de l’émission avec son producteur, j’apprends que seulement 100 euros sont offerts à chaque candidat. « Surtout pour électricité qu’on utilise avec les machines en fait. » Chacun y va donc franchement de sa poche pour recevoir comme il se doit. « Oui, mais à côté de ça, il mange gratuitement les quatre autres soirs de la semaine. »

Quitte à être dans la confidence, je m’interroge tout haut: « comment ça se fait qu’ils vont tous faire leurs courses chez le petit épicier du coin, et qu’ils font tous semblant de le connaître depuis dix ans? » « C’est vrai que nous incitons les candidats à se rendre chez un épicier plutôt que dans une grande surface. Visuellement, pour nous, ça n’a pas grand intérêt sinon… » Si la prod’ promet qu’elle ne force pas les candidats à agir malgré eux, elle les dirige doucement quand c’est nécessaire. Pour l’épicerie donc, mais également pour les activités prévues pendant la soirée. « On veut éviter que tout le monde fasse la même chose, donc on essaie de trouver avec eux ce qui seraient sympa à mettre en place. »

Tour de magie raté
Ce soir, ça sera un tour de magie… raté! En régie, on se marre. « Même s’il recommence et qu’il réussit, on gardera la première prise. Ce qu’on veut, c’est garder les choses telles qu’elles se passent. » En tout cas, une chose est sure: ce joli plantage a déridé les candidats. Les éclats de rire s’entendent jusqu’en régie. La soirée peut enfin commencer…

Un « gang de bimbos » détournait des dizaines de véhicules

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Deux personnes, un homme de 28 ans et une femme de 23 ans, ont été placées vendredi sous mandat d’arrêt et inculpées notamment d’escroquerie et de faux et usage de faux par le juge d’instruction bruxellois Hervé Louveaux, dans le cadre d’un dossier de détournement de véhicules, rapporte mardi le quotidien La Dernière Heure.

Elles sont soupçonnées d’appartenance à une association de malfaiteurs suspectée du détournement de plusieurs dizaines de véhicules mis en vente sur internet.

La bande était active depuis l’été 2007 et opérait en Belgique sur différents arrondissements judiciaires, selon La Dernière Heure. Elle s’intéressait aux véhicules quasi neufs mis en vente par des particuliers sur internet à des prix oscillant entre 20.000 et 30.000 euros.

L’association recrutait des femmes payées 1.500 euros de commission en vue d’appâter les victimes. Elle opérait au départ de la région lilloise et aurait détourné des véhicules notamment à Bruxelles, Liège, Charleroi, Mons, Tournai, Waterloo, Nivelles, Hasselt, Courtrai et Bruges. Les victimes étaient payées au moyen de faux chèques.

Les véhicules volés étaient immatriculés en France et revendus en région parisienne. La bande disposait de cartes d’identité volées en 2002 à l’administration communale de Schaerbeek et des chèques certifiés également volés en Région bruxelloise.