Le pouvoir de la Force selon Célio ou quand on touche au Saint Graal, mieux vaut ne pas se tromper

Vous avez peut-être entendu parler du bad buzz du moment, qui implique la marque Celio.

Pour résumer rapidement, Celio souhaite booster l’activité de sa page Facebook officielle, et décide de lancer une animation commerciale utilisant la licence Star Wars, une licence particulièrement « sensible » chez les geeks. Pour assurer la réussite de son opération, la marque a diffusé mercredi un petit film sur Youtube, relayé sur sa page Facebook, donnant rendez-vous le 9 juin sur la page Facebook pour gagner des cadeaux Star Wars.

Problème : le petit film en question est une animation 3D d’un vaisseau spatial… directement issu de Battlestar Galactica (un Viper pour les puristes) !

Léger plantage, regardez l’image du vaisseau utilisé,…

Vous avez bien vu, rien à voir avec Star wars => c’est un Viper de Battlestar Galactica !!

#Fail ! Les réactions ne se sont pas faite attendre, et elles ne sont pas positives. Mélanger les univers de Star Wars et de Battlestar Galactica relève du sacrilège, pour les fans de l’un comme pour les fans de l’autre.

Codename Robocod

En allant voir ce qui se passe sur le Playstation Store, je viens de remarquer qu’il y a un jeu Playstation 1 (jouable sur la Playstation 3 bien évidement) qu’on peut aussi télécharger gratuitement (pendant un mois), et qui est James Pond 2 – Robocod.

Pour ce jeu bien que je préférais le premier, j’avais les deux sur mon Amiga 500, et je me suis dit en le voyant sur le Playstation Store, pourquoi pas l’essayer (tel quel) sur la PS3 et voir ce que cela donne.

Pour vous faire une idée je vous met deux vidéos avec pour commencer la « superbe » intro… d’époque, du jeu. ^^

 

Quand à la suivante c’est une vidéo du gameplay des deux premières minutes du jeu qui tous comme pour Streets of rage 2 à comme qui dirai « pris un coup de vieux ». ^^

Alors on danse… Avec les Black Eyed Peas

Nagui accueille toujours nombre d’artistes sur le plateau de Taratata. Ce qui laisse la porte ouverte aux duos les plus fous.

Cette fois, c’est Stromae et les Black Eyed Peas qui ont fait sensation. Le Belge et le groupe américain ont interprété le célèbre tube « Alors on danse » de Stromae, au grand bonheur du public.

Bienvenue à Monster City !!! (011)

Et là, comme à chaque fois, il s’ennerve, et sa peau se brunit de plus en plus. Même en colère il est craquant.

Il la sermonne un moment, lui donne une amende de 500 simflouz et repart en claquant la porte du camion. Que d’émotions !

Avec la police, c’est la même chose.

Serge : Alors Antoinette, ça fait combien de fois qu’on se voit cette semaine ?

Antoinette : Quatre.

Serge : Et il y a combien de jours dans une semaine Antoinette ?

Antoinette : En comptant dimanche ?

Serge : Oui en comptant dimanche.

Antoinette (elle compte sur ses doigts) : Lundi, mardi, mercredi, jeudi, vendredi attendez je change de main, samedi et dimanche. Sept !

Serge : Oui sept c’est ça. ALORS J’AIMERAIS POUVOIR FAIRE AUTRE CHOSE PENDANT LES SEPT JOURS D’UNE SEMAINE QUE VENIR CHEZ VOUS ALORS QUE JE N’AI RIEN A Y FAIRE !!!

Antoinette : Je peux faire du thé à la marjolaine si vous voulez ?

Serge : Pfff… Pas la peine. Tenez, votre cadeau habituel quand je viens vous voir. 500 simflouz pour dérangement sans fondement. A régler avant ce soir 18 heures.

Antoinette : Ah mais à 18 heures y’a Buffy contre les Vampires sur Sunset TV, je peux pas…

Et Serge s’en va en courant.

Ainsi va la vie, à Monster City…

Continuons notre visite de cette réserve, finalement pas si terrifiante que ça.
Si l’on s’aventure quelques mètres sur la gauche en sortant de chez les Byzzhar, nous trouvons la maison qui appartient depuis onze générations à la famille Zhaarbie. Les Zhaarbie ont été les premiers, il y a bien longtemps de cela, à être invités à venir s’installer à Monster City. Ils n’ont jamais très bien compris pourquoi ils devaient venir habiter là, mais comme ils n’étaient pas du genre à poser de questions, ils ont quitté Sim City et ont commencé une nouvelle vie ici. Aujourd’hui il ne reste qu’un survivant de cette famille au passé pourtant glorieux.