Le 31 / 10 / 2003: (Vendredi)
Laurence m’a sonné aujourd’hui à 15h14 d’une cabine se trouvant a Namur (22 rue de Charleroi et dont le n° est 081 / 74.67.20) et m’a appris qu’elle allait se fiancée a la fin du mois prochain car son copain lui avait demandé et qu’elle a beaucoup réfléchi et qu’elle avait dit oui parce qu’elle est sur que c’est le bon et quelle était sure d’elle, ensuite comme ça coupé et qu’elle me sonné d’une cabine téléphonique je lui ai envoyé un sms pour lui dire que j’allait a une soirée halloween avec Isabelle ce soir, et que a la Noël on allait a eurodisney avec Patrick et que a la nouvelle année on partait a Londres, et pour lui dire que j’était content qu’elle allait se fiancer et que je lui souhaité du bonheur dans son avenir (j’en pensé pas un mots mais bon j’ai fait semblant) et elle m’a répondu à 15h26 et me dit ceci « Je suis très contente pour toi je veux que tu sois heureux avec isa » pas le moindre bisou ou au revoir dans le message :(, ce qui m’étonne c’est qu’elle me sort qu’elle se fiance juste après que je lui dit que je vais a gauche et a droite avec isabelle, et je me dit que elle dit peut-être cela par jalousie, car elle avait pas de raison de me dire cela, et en plus elle me dit « ne le dit a personne » ce qui me fait aussi penser qu’elle ment, mais bon avec elle plus grand chose m’étonne car ça m’étonnerai pas qu’elle se fiance 🙁 et ça me fait du mal d’y penser, je sais plus quoi croire ni quoi penser 🙁 ici je sais qu’elle est encore avec son copain vu qu’elle sonné de Namur et bon je sais même plus quoi écrire car ça me fait vraiment mal de me dire que elle a peut-être dit la vérité sur ses fiançailles 🙁 je sens horriblement seul 🙁 et mon appartement me semble tellement vide sans elle, j’ai l’impression qu’il me manque une partie de moi même 🙁 et je me dit que petit a petit je commence a vraiment la perdre 🙁 je sais plus quoi faire ni quoi pense 🙁 je suis complètement perdu 🙁 la solitude me pèse 🙁 et le soir me parait long 🙁 elle m’a aussi dit que si je voulait lui resonner je pouvais.