Inside: Je marche seul (Nintendo Switch)

Le dernier jeu que j’ai acheté pour ma Nintendo Switch est Inside que j’ai aussi en Playstation 4.

Playdead, déjà derrière le déroutant Limbo, a aussi livré une nouvelle aventure sombre et sinistre sortie en 2016, Inside ! Quelques années après, le jeu arrive sur Nintendo Switch, pour nous filer le cafard su début à la fin !

Je marche seul

Playdead n’a produit que deux jeux mais a déjà su se faire un nom dans l’univers impitoyable du jeu vidéo.

En 2010, le studio danois était l’un des fers de lance des « indies » avec Limbo sur Xbox 360, suivi six ans plus tard par Inside. En 2018, ces deux titres, acclamés par la critique, débarquent sur Nintendo Switch pour une bonne dose de jeux pas vraiment « feel good ».

Nous allons ici nous intéresser à Inside qui pousse à l’extrême l’univers désormais bien connu de Playdead des décors sombres jonchés d’énigmes et de pièges plus effrayants les uns que les autres. Le tout avec une trame à la fois omniprésente et discrète, tout au long de l’aventure qui vous attend !

Votre aventure dans Inside commence dans une sombre forêt. Vous y incarnez un jeune garçon au visage effacé et visiblement seul. A part de succinctes instructions concernant les déplacements du joueur, vous voici désormais seul face à la nature et surtout à un ennemi tout puissant qui semble vouloir annihiler l’espace humaine ou du moins ce qui en reste. Un scénario dystopique qui pourrait parfaitement s’inscrire dans le roman d’anticipation de George Orwell, 1984.

Glauque et sordide, tout ce qu’on aime:

Quel peut bien être votre mission dans tout cela ? Vous enfuir ? Sauvez le monde de la dévastation ? Résister ? Difficile à dire, c’est là tout l’intérêt d’Inside par rapport à d’autres jeux, tout au long de votre sordide aventure, vous progresserez dans un scénario qui semble s’écrire au fur et à mesure que vous résolvez les énigmes.

Ces énigmes tourneront autour des éléments disponibles dans le jeu, ça peut être des caisses à empiler pour passer au delà d’un mur, ou bien un contrepoids à créer pour vous balancer et plein d’autres éléments qui font bien d’Inside un jeu de plate-formes ! Sans oublier des astuces pour échapper aux différents ennemis qui ne semblent pas vous souhaiter que du bien, des chiens affamés, des créatures des mers et d’autres !

Mais les séquences les plus intéressantes d’Inside et qui le caractérisent peut être le mieux sont les séquences où vous prenez contrôle d’autres humains, désormais vidés de toute conscience. Se suivent différents puzzles où il vous faudra réfléchir aux déplacements des différents individus pour vous aider à résoudre les énigmes qui se présentent à vous.

Si dans son déroulé, Inside ne ménagera pas le joueur avec des séquences de tension, il est important de souligner qu’il ne s’agit pas pour autant d’un jeu d’horreur comme peut l’être un Resident Evil par exemple. La tension est ici une partie essentielle de l’atmosphère du jeu.

And I’m feeling… bad ?

Sur Nintendo Switch, Inside utilise les fonctionnalités du Joy-Con et du HD Rumble pour vous faire ressentir certaines émotions ressenties par notre personnage. Et elles ne sont pas forcément agréables ! Car votre personnage va souffrir dans sa quête vers l’inconnu, chaque échec (et ils seront nombreux), vous fera recommencer quelques instants avant votre péril.

Malgré le côté très sombre du jeu, pas forcément évident pour être joué sur l’écran de la Nintendo Switch en mode portable, la réalisation d’Inside est impeccable, visuellement très riche, les décors et les diverses séquences animées nous transportent dans ce monde pseudo-apocalyptique.

Cela nous montre à quel point un genre de jeu vidéo, la plate-forme, peut être décliné sous diverses manières, toutes aussi réussies les unes que les autres. Les fans inconditionnels des Super Mario Bros ont de quoi s’amuser avec Inside !

Alors évidemment, le jeu ne se destine qu’à un public adulte à la recherche d’une expérience vidéoludique atypique, relativement courte (comptez cinq heures pour terminer le jeu). Proposé à 19,99 € (hors promo) sur l’eShop, le prix d’Inside est peut être ce qui constitue sa plus grande faiblesse. Mais cela ne retire en rien à la qualité du titre !

Je vous met ma vidéo de gameplay, afin de vous faire découvrir le début du jeu.

Conclusion:

Tous le monde n’est pas forcément propice aux jeux sombres et plutôt glauques comme Inside. Pour autant, il serait dommage de passer à côté du titre d’Inside si vous appréciez les plate-formes et les énigmes et qu’un jeu qui vous fait quelque peu réfléchir ne vous fait pas peur. Sa réalisation visuelle, sonore rendent l’expérience, un peu trop courte, fortement agréable et inédite dans son genre !

Limbo: Marche à l’ombre (Nintendo Switch)

Je me suis acheté un autre jeu qui est Limbo que j’avais déjà en Playstation 4 et en PS Vita, cette fois c’est sur la Nintendo Switch que je l’ai acheté.

Dans le genre petite pépite indépendante, je demande le petit garçon qui avance pour survivre, je demande Limbo ! Découvrez le premier chef-d’oeuvre du studio danois Playdead.

Sorti tout d’abord en 2010 sur la foisonnante plateforme de téléchargement de jeux de la Xbox 360, Limbo a fait son petit bonhomme de chemin. Disponible progressivement sur tous les supports, il fut même question d’une version Wii U en 2015, mais celle-ci n’est jamais sortie. Le titre est enfin présent sur consoles Nintendo Switch. Comme on dit, mieux vaut tard que jamais !

Marche à l’ombre:

Tout comme leur jeu suivant, Inside, il s’agit d’incarner un personnage muet qui doit avancer et se sortir de la situation cauchemardesque dans laquelle il se trouve. Dans Limbo, tout est représenté à sa plus simple expression, du garçon en ombre chinoise que l’on dirige aux environnements, entièrement en noir & blanc.

Ce minimalisme graphique n’a pour but que de renforcer la dureté des éléments et de permettre au joueur d’identifier immédiatement les plateformes ou objets qui l’entourent. Ajoutez à cela un brouillard environnant, une bande sonore faite de quelques bruitages et d’ambiances mystérieuses, et surtout de très nombreux pièges cruels, et vous obtenez une recette décapante de lutte pour la survie !

Les Mille et une vies:

Notre personnage se retrouve en effet confronté à de nombreuses situations mortelles dans lesquelles il devra néanmoins tomber la tête la première, comme le pauvre innocent qu’il est. Du piège à loup caché dans une zone d’ombre aux structures qui s’écroulent et emportent le corps de notre ami, il faut avoir le coeur bien accroché pour ne pas pousser un petit cri d’effroi lorsque le couperet tombe.

Il faut donc apprendre de ses erreurs et tenter de comprendre dans quel ordre procéder pour libérer un passage, actionner des mécanismes et pouvoir ainsi continuer notre route.

D’une sombre forêt à une usine désaffectée, notre personnage fait différentes rencontres étranges et doit toujours réfléchir à comment se sortir de situations dangereuses.

Un doux rêve ?

L’aventure n’est pas très longue et peut se boucler en quelques petites heures. Ceux qui tenteront de le faire en une traite auront impression à la fin de se réveiller d’un cauchemar intense et perturbant. De ce fait, les mécanismes plutôt variés n’ont pas trop l’occasion de se répéter. Les développeurs ont voulu faire court mais riche, ce qui nous permet de vivre des moments précieux.

A l’aspect purement plateformes avec des sauts et la quête de moyens pour progresser, s’en suivent des séquences hallucinées où le personnage doit lutter contre des parasites qui brouillent ses perceptions, quand certains mécanismes ne jouent carrément pas avec la gravité.

La gravité. Rarement un jeu de plateformes n’aura su aussi bien gérer la gravité terrestre et comment réagissent des objets lâchés dans l’atmosphère, que ce soit des plateformes en suspensions à des corps, que ce soit des corps étrangers… ou le vôtre, balloté dans tous les sens et réduit en charpie dans les pires des cas.

Voici ma vidéo de gameplay du tout début du jeu pour découvrir l’ambiance de ce titre unique en son genre.

Conclusion:

Limbo est un incontournable du jeu-vidéo que je ne peut que vous recommander. Par sa réalisation tranchée et son parti pris minimaliste, il s’avère encore plus abordable que Inside, l’autre excellent jeu du studio.

Mojito the cat (Nintendo Switch)

Je viens de m’acheter plusieurs jeux pour ma Nintendo Switch, voici le premier qui est Mojito the cat.

Le succès est à chaque coin de rue:

Aidez votre enfant (ou vous-même) à développer des compétences logiques aux côtés d’animaux mignons. Prenez votre temps et regardez autour de la carte pour les meilleurs itinéraires. Assurez-vous de considérer toutes les possibilités. Rappelles toi! La gravité n’est pas un problème si vous avez le bon état d’esprit.

Plusieurs caractères:

Découvrez plus de 10 personnages à débloquer pour vous accompagner. Vous pouvez devenir un requin féroce, un taureau en colère, un rhinocéros puissant ou un panda moelleux.

Voyage à travers le monde:

Découvrez tous les mondes uniques aux côtés de Mojito. Voyagez à travers un jardin élégant, une oasis désertique, un volcan actif, un iceberg ou même une forêt magique. Au cas où le dernier n’était pas à votre goût, vous pouvez également vous amuser dans une forêt ordinaire.

Principales caractéristiques:

  • 60 énigmes à résoudre.
  • Esthétique charmante.
  • 11 skins de cube 3D uniques.
  • Boucle de jeu satisfaisante.
  • Grands défis.

Voici pour terminer le trailer du jeu.

Mojito the Cat: Trailer.

Spider-Woman (1979) (saison 01): Résumé des épisodes 06 à 10

Il est maintenant temps de retrouver les résumés et aperçus du jour de la série animée Spider-Woman.

Spider-Woman (1979) (01×06): Le continent perdu.

Résumé: Après la disparition d’avions de l’United States Air Force dans le Triangle des Bermudes, l’équipe du magazine Justice enquête. Ils se retrouvent bientôt projetés dans une dimension cachée où les dinosaures parcourent la Terre.


Spider-Woman (1979) (01×07): L’araignée Kongo.

Résumé: Avec la participation spéciale de Spider-Man. En couvrant le tournage d’un film, l’équipe du magazine Justice rencontre une araignée géante.

Note: Intrigue inspirée de King Kong.


Spider-Woman (1979) (01×08): Jeux du destin.

Résumé: Des athlètes participant aux Jeux athlétiques mondiaux de Moscou sont kidnappés et remplacés par des doublures android. Jessica Drew se fait passer pour une sauteuse en longueur pour enquêter.


Spider-Woman (1979) (01×09): Navette vers la catastrophe.

Résumé: L’équipe du magazine Justice se retrouve à bord d’une navette spatiale détournée, se dirigeant vers la Lune, où le méchant Mâchoire d’acier a l’intention d’asservir l’humanité et de la faire travailler à extraire des gemmes précieuses.


Spider-Woman (1979) (01×10): La revanche de Dracula.

Résumé: La population mondiale est menacée d’être transformée en vampires, loups-garous et monstres de Frankenstein. Spider-Woman découvre que Dracula est derrière tout cela.

ATTENTION: Je ne fais et ne propose AUCUNE COPIE d’épisode ni de quoi que ce soit, merci de ne pas me contacter à ce sujet car je ne répondrai pas.

La légende de Croc Blanc (1992-1993) (saison 01): Aperçu des épisodes 11 à 15

Passons maintenant aux aperçus des épisodes 11 à 15 de la série animée La légende de Croc Blanc.

La légende de Croc Blanc (1992-1993) (s01x11): Le puits d’or.


La légende de Croc Blanc (1992-1993) (s01x12): Un filon en or.


La légende de Croc Blanc (1992-1993) (s01x13): La vengeance.


La légende de Croc Blanc (1992-1993) (s01x14): Les loutres en danger.


La légende de Croc Blanc (1992-1993) (s01x15): Sharper.

ATTENTION: Je ne fais et ne propose AUCUNE COPIE d’épisode ni de quoi que ce soit, merci de ne pas me contacter à ce sujet car je ne répondrai pas.